BVIII

744 48 0
                                    

Je pris peur, reposant la boîte sur la table, relevant les yeux vers lui.

Briséis: Je ne peux pas le mettre. Dis-je repoussant la boîte de son côté

Théo: tu n'as pas le choix. Dit-il remettant ces lunettes de soleil

Briséis: mettre cette chose, serais me résigner à vraiment t'appartenir. Dis-je en me défendant

Théo: Briséis, ne ravive pas ma colère. Dit-il en se levant

Il se levait de sa chaise fit le tour, pour se retrouver derrière moi, il pris le médaillon avant de le passer sur mon coup.

Théo: ça empêchera tout les ordure comme Aaron ou autre de t'approché.
Dit-il en se rasseyant

Je passais mes doigts sur l'objet métallique. Me rendant compte que toute était fait, je lui appartenait vraiment.

Théo: oh, et n'essaye pas de l'enlever je le saurais, et je ne te dit pas se qui se passera si c'est le cas.

Briséis: je veux rentré. Dis-je sur le bord des larmes

Théo: bien. Dit-il en se levant laissant quelques billets sur la table

Je me levais et le suivis de près, pour éviter de me perdre parmi tant d'inconnus. Nous étions monté dans la voiture sur le chemin du retour. Le trajet fut silencieux, je ne pouvais pas m'empêcher de tripoté la maudit babioles qui pendait autour de mon cou. Une fois la voiture garer je descendais sans même l'attendre, entrais dans le hall de l'immeuble, attendant l'ascenseur. Nous montions ensemble, je filais directement dans la chambre sans même me retourner, j'enlevais mes chaussures en chemin les laissant en plein couloir, et me ruais en dessous de la couverture pour explosais en sanglots, la pression de ces 5 jours passer en sa compagnie avec le manque de ma famille était une épreuve trop difficile pour moi. Il en rajoutais chaque jours qui passait, il le faisait exprès si son seule bute était de me détruire, et bien à cette vitesse la il aller bientôt y arriver.

J'avais passer le reste de ma journée au lit, croiser son regard une fois de plus m'aurait fait peter les plombs, l'idée d'arracher se médaillon me démangeais,  cependant je ne voulais me blesser plus que je ne l'étais déjà, mes paupières étaient devenues lourdes et se fermaient petite à petit, le sommeil m'avais rattrapé, la journée avait était longue et fatiguant.

Des douces caresses m'arrachais de mon sommeil, m'obligeant à ouvrir les yeux pour connaître l'auteure de celles-ci.

Théo: on va bientôt s'en aller, réveille toi. Dit-il en replaçant une mèche de mes cheveux

Cette sieste qui était sensé me réveiller n'avait fait que m'endormir encore plus, je saisis sa main là repoussant de mon corps, avant de me lever sous ses yeux et de sortir de la chambre. Pour me dirigeais vers la salle de bain où je lavais mon visage avant de me regarder dans le miroir, depuis quelque jours j'avais remarquer ces cernes qui avaient pris place en dessous de mes yeux. Je n'y prêtais pas attention et sortie, je descendis les escaliers, remarquant encore les sacs de shoppings à l'entrée.

Théo: je suis presser dépêche toi je veux être rentré à Londres le plus vite possible... dit-il en coupant le téléphone

Briséis: Londres ? Dis-je en fronçant les sourcils

Théo: tu te doutes bien que je n'habite pas à Manchester quand même. Dit-il en me contournant

Briséis: ma famille est là-bas. Dis-je me retournant

Théo: et j'en ai quelques chose à faire ? Si tu compte ramener tout c'est sacs Londres tu ferais mieux de les rangés maintenant nous partons dans 30 minutes. Dit-il en montant les escaliers

Londres n'était très loin de Manchester, il fallait que je prenne sur moi, il cherchait à me faire flanché, je respirais un bon coup, il voulait jouer avec mes nerfs, j'allais faire de même. Je pris les sacs a l'entrée les mettants dans la cuisine prennent chaque habit de haute couture, le déchirant en lambeaux, avant de le mettre dans la poubelle de la cuisine. Cela me pris tout pile 30 minutes avant de voire arriver Théo dans la cuisine.

Théo: Briséis on s'en ... dit-il avant de remarquer les vêtements détruits

Briséis: tu permet je vais récupérer mes baskets. Dis-je en le contournant

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant