BRISÉIS

BXXI

2 semaines étaient passées depuis cette soirée, Je me remettais petite à petit de ma blessure à l'épaule désormais je ne portais plus qu'un simple bandage pour recouvrir et protéger ma plaie presque cicatriser. L'atmosphère ici était plutôt calme les fête approchaient tout lier bien pour la première fois, sûrement car la maison était éloigné de la ville et isolé des autres propriétés autours.

Ce matin la je m'étais réveiller, trouvant le petit déjeuner déjà servis, je mangeais avant de me doucher rapidement et de m'habiller chaudement, rester dans cette maison enfermer aller me rendre chèvres. Je mis un simple Cole rouler avec un jean chaud. Avant de me rendre dans le salon à la recherche de Théo. Je saisit Bali au passage, le portant avec moi. Théo était assis sur le canapé son ordinateur portable sur les genoux a travailler comme à son habitude, depuis que nous étions là il passer ces journées dessus. Les échanges entre nous étaient très froid et rapide depuis l'accident, je le portais un peu pour responsable de ce qui c'était passer.

Briséis: Je veux sortir prendre l'aire, je vais aller promener Bali. Dis-je derrière lui

Théo: pose ce chien. Le médecin t'a demandé de ne pas forcé sur ton épaule.

Briséis: Très bien. Je peux avoir la clé de la porte maintenant. Dis-je en déposant Bali

Théo: je suis occupé. Dit-il en ne me lançant aucun regard

Briséis: Personne ne t'a demandé de venir je veux juste prendre l'aire. Et je pense en avoir beaucoup besoin avec tout ce qu'il c'est passer. Dis-je en soufflant

Théo: Bien. Va prendre ta veste. Dit-il en fermant son engins et se levant

Je me dirigeais vers la petite armoire à l'entrée et pris une veste, Théo c'était déjà habiller et chausser pour sortir. Il ouvrit la porte, Bali se précipita dehors suivis de très près par moi, Théo ferma le petit chalet à clé avant de nous rejoindre. Nous marchions à l'arrière de la maison vers une petite forêt à qui semblait être apaisante et calme. Tout en silence seule nos pas de faisait entendre. Bali courrait comme un fou dans cette neige.

Théo: Nous allons bientôt rentré. Dit-il soudainement

Briséis: hum... dis-je simplement

L'idée de rentré à Londres ne m'enchantais certes pas mais cela était inévitable, ce serait comme une retour à la case départ dans un jeu de société.

Théo: l'idée ne t'enchante pas à ce que je vois.

Briséis: bien sûr que non. Retourner dans la ville j'ai faillit perdre la vie, ne m'amuse pas désolé. Dis-je sèchement

Théo: Tu commences à me tapper sur les nerfs. Dit-il en avançant devant moi

Pardon ?! Mais pour qui se prenait-il c'était moi la victime dans toute cette histoire et si quelqu'un doit en avoir marre c'est bien évidemment moi et cette certainement pas lui. Il avait le dont de me mettre en rogne. Et de me pousser à bout, pour seule bute son plaisir à lui.

Briséis: Pardon ?!