BRISÉIS

BXXIII

Théo: Ce que tu appels un crime dans mon monde, et une simple question de survie. Et crois moi si tu aurais était à la placé de cette cible ils n'auraient pas hésité. Dit-il en me relâchant

Briséis: Dans quel affaire louche tu trempes ? Dis-je complètement perdus

Théo: Ce sont les affaires. Et dans ce monde il n'y a pas de place pour les faibles.

Briséis: Sa ne répond toujours pas à ma question.

Il n'avait pas répondus à ma question et la fuyais encore une fois comme à son habitude. Je le contournais m'apprenant à sortir. Quand il m'attrapa le bras pour me ramener vers lui.

Théo: Tu peux me haïr, mais tu ne peux pas m'empêcher de te protéger. Durant la période donner tu es sous ma protection, et j'honorerai ma part du contrat. Dit-il avant de me lâcher

Je le regardais dans les yeux. Pour y voir une once de vérité, il venait de me faire comme une sorte de promesse, qu'il se devait de tenir. Je lui lancer un dernier regards avant de sortir de cette pièce que je détestais, il en avait une dans chacune de ces propriétés ? sûrement. J'avais compris qu'en étant à ces côtés durant cette période j'allais en souffrir, tout son monde tournais autour de la violence et des armes. Et jamais le miens sera semblable au siens. Du moins c'est ce que je pensais. Je remontais à l'étage, remettant mes idées en place. Je filais en cuisine il fallait que je pense à autre chose et que je me détende. Je pris tout les ingrédients qu'il fallait pour faire un gâteau, à chaque fois que j'étais stresser et anxieuse ma mère m'invitait à faire des gâteau cela me détendais. au bout d'une vingtaine de minute de préparation je l'enfournais au four, et j'étais complètement détendus. Théo n'était pas réapparu depuis toute a l'heur. Bali aboyais devant la fenêtre. Je me dirigeais vers celle-ci découvrant un magnifique spectacle, des gros flocons tombaient du ciels presque sombre.

Briséis: T'aime la neige toi hein. Dis-je en prenant Bali dans les bras

Briséis: tu verras, les prochains Noël avec ma famille vont être magique.

Les coups de 21 heures ne tardaient pas à arriver, je me dirigeais vers la chambre, me changeant par la même occasion, une simple chemise ainsi qu'un short faisait l'affaire pour dormir. Je filais sous la couverture suivis de Bali qui se coucha à mes pieds. Je m'endormis comme un bébé, sentant dans la nuit des bras m'attirer et me protéger.

Le lendemain je fis réveiller par les rayons de soleils qui illuminaient la chambre ainsi que ma peau. Les bras que j'avais sentis la veille était toujours là je me retournais, voyant le visage de Théo dresser devant mes yeux, c'est paupières complètement fermer. Ces traits détendu. Un ange endormi à coter de lui serais une illusion, un démon cacher en lui serait la réalité. Je laissais promener mes mains sur son visage, ainsi que le début de son torse avant de me stopper brusquement me rendant compte de mon acte.

Théo: Ne t'arrête pas. Dit-il endormie