BXIX

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La journée entière était passée et j'avais l'impression de me momifier en restant à ma place durant ces longues heures. Je me redressais dans mon lit, essayant de me lever, une douleurs atroce c'était échapper de mon épaule, en déboutonnant ma chemise j'aperçus un immense bandage me prenant presque toute la poitrine. Des cicatrices indélébiles graver en moi pour la vie. Je me dirigeais alors vers la fenêtre observant ces innombrables champs blanc. Réalisant que deux mois de ma vie c'était écoulé sans que je puisse voire, entendre, parler. Ce choque était rude mais j'allais me relevé, et devenir plus forte encore. Même si cela allait s'avérer être très compliqué, il le fallait. Les mots de Ariane plus tôt dans la journée m'avais réellement blesser. J'ouvris la porte de cette chambre découvrant un toute autre décore, cette maison était en bois, et ne posséder pas d'escaliers point plutôt favorable. Je marchais le long du couloir avant de débouché sur le salon ouvert sur la cuisine, je trouvais Théo de dos un téléphone à l'oreille. 

Théo: Elle c'est enfin réveiller... Elle a besoin de beaucoup de repos... Merci de prendre de ces nouvelles... je te préviens si il y a du nouveau... prendre soin de maman Énola.

Soudain j'entendais des aboiements, qui m'étais très familier. Le petit chiots avait doubler de volume et avait soudainement grandit. Théo se retourna coupant cours à sa conversation.

Théo: Briséis ? Qu'est-ce que tu fais debout. Dit-il en se dirigeant vers moi

Bali sauta sur moi, me léchant de partout, Théo le repoussa pour m'aider à m'asseoir sur le canapé.

Briséis: j'ai pas besoin de ton aide, je peux me débrouiller seule. Dis-je sèchement

Il m'ignorais comme si je n'avais prononcé aucun mots, me laissant seule assise sur ce canapé. Bali était juste à côté de moi, tout calme. Il m'avais manqué, mais était devenus bien grand je n'avais pas pus le voir grandir.

Briséis: tu sais que tu m'as manqué. Dis-je en le caressant

Théo: Une infirmière passera te voire toute les 4 heures pour contrôler.

Briséis: Si c'est ta petite amie sympathique, je n'en veux pas. Dis-je sévèrement

Théo: Ariane et la seule en qui j'ai confiance.

Briséis: Eh bien pas moi.

Théo: tu devras t'en contenter, elle est très bien qualifier en médecine.

Briséis: Oui c'est ça..., espérons qu'elle n'essaie pas de me tuer. Chuchotais-je

Il déposa soudain devant moi une tasse de thé, avant de regagner la cuisine. L'idée qu'Ariane puisse posé ne serait-ce qu'une main sur moi, me donnais déjà des envies de meurtres, mais je devais impérativement prendre sur moi. Je me levais à nouveau pour reprendre la direction de la chambre difficilement.

Théo: accroche toi à moi. Dit-il en me portant

Briséis: je n'ai pas besoin de toi.

Théo: je te laisse le choix ? Non. Dit-il en marchant vers la chambre

Je soupirais, vue l'état dans lequel le j'étais il ne pouvait pas me punir pour x raison alors si je pouvais en profiter, j'allais le faire. Il me déposa sur le lit avant de m'aider à bien m'installer. Il se retira une fois assuré que je ne manquais de rien, Bali avait pris place à mes côtés. Je m'étais endormie à contre coeur, du à cette fatigue interminable et a la morphine que je prenais pour faire taire la douleurs.

Je fis réveiller quelques heures après par le visage enjôlé d'une personne que je n'aimais pas et que je désirais voire éradiqué de mon espace vitale. Ariane

Ariane: Réveille toi, il faut refaire ton bandage. Dit-elle durement

Je vérifier au alentours si Théo était là. Et aucune trace de sa présence ne se fit ressentie. Ce qui justifiait la duretés de Ariane.

Ariane: Si seulement il pouvait comprendre qu'il perd son temps avec une gamine comme toi. Dit-elle en m'aidant à me redresser

Briséis: une gamine ? Dis-je en me réveillant et rigolant

Ariane: Regarde toi. Tu ne sais pas où tu vas. Sa se voit que tu n'es pas à l'aise dans tout ce qui touche au monde de Théo. Ce n'est pas une femme comme toi qui lui faut.

Briséis: bien évidemment il lui faut une personne semblable à toi. Dis-je en rigolant

Ariana: Au moins moi j'aurais pus éviter de me prendre une balle.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant