BXXXXV

577 46 4
                                    

Énola et moi prenions notre petit déjeuner, Bryan et May nous avaient rejoint, seule Théo manquait à l'appel.

May: Theo n'est pas la ?

Énola, s'apprêta a répondre. Quand deux personnes firent leurs entrée.

Théo: Je suis là et pas seule.

Je me tournais en leurs direction, voyant le visage d'Ariane. Elle souriait face à nous, Mon visage c'était décomposé. Je ne comprenais pas ce qu'elle pouvait bien faire ici. Mon regard se dirigea vers Théo, qui lui ne me prêtait aucune attention, même pas un seule regard. Ariane nous avait tous saluer, elle c'était assise près de Théo. Je ne vous parle pas ma jalousie naissante. Elle riait de toute ces dents, provoquant en moi un sentiment de haine. Théo l'avait fait exprès.

Briséis: Vous m'excuserez. Dis-je en me levant

Je sortis de la salle. Sous leurs regards pressant, j'avais besoin de prendre l'aire, je saisit rapidement une veste et sortie dans le jardin marcher un peu. Pourquoi l'avait-il ramener ici ? cherchait-il simplement à me rendre jalouse ? il avait réussis, mais pas seulement, cette fille était une vipère et en aucun cas l'avoir devant moi ne m'aidait à contenir cette colère naissante. Je m'assis sur un des bancs en pierre du jardin. Me calmant.

Énola: Ça va ? Dit-elle en s'asseyant

Énola, était arriver et avait prit place près de moi.

Briséis: Bien sûr, pourquoi sa n'irai pas.

Énola: Si tu veux tout savoir, moi non plus je ne l'apprécie pas.

Je tournais ma tête vers elle, nos regards se croisèrent, avant d'exploser de rire, toute cette pression dû à son arrivée était retomber.

Énola: Elle a toujours collé Bryan et Théo. Et ma mère l'adore, logique elle aime tout le monde.

Briséis: Tu m'étonnes. Dis-je en souriant

Énola: vous, vous êtes disputé avec Théo ? Demande t-elle sérieusement

Briséis: Pourquoi tu dit ça ?

Énola: Hier, je l'ai vue sortir dehors très tard et il n'ai rentré que très tôt ce matin.

Briséis: Euh... ce n'est rien. Tu n'a pas à t'inquiéter.

Énola: Ce soir j'organise une soirée ici, sa sera LA soirée. Alors tu ferais mieux de venir avec moi acheter une robe. Et de la même manière faire rager mon frère. Dit-elle en rigolant

Briséis: Très bonne idée. Dis-je en pensant

Il voulait me pousser à bout, en amenant Ariane ici, j'allais faire la même, mais de manière différente, et il allait regretter.
Je me levais suivis d'Énola. Nous dirigeant vers la porte d'entré, nous étions sortis sans que personne ne nous ai vue. Énola, conduisait, nous nous étions arrêter devant une boutique de mode. On nous avaient accueilli comme des princesses avec des coupes de champagnes, vin. La vendeuse nous avait proposé des robes, seule une seule avait attiré mon attention. Celle-ci, arrivait au cuisse, et avait un dos nue qui descendait jusqu'aux rains, très peu de tissus séparais mon dos à mes cuisse. Elle était parfaite. Je filais l'essayer. Elle m'allait parfaitement au teint sa couleur beige me donnait une parfaite mine.

Briséis: Énola ? Dis-je en sortant de la cabine d'essayage

Énola: Tu n'as pas besoin de savoir où nous sommes, je te rendrais ta petite femme en un seule morceau... dit-elle au téléphone

Elle se retourna vers moi, son téléphone en main.

Énola: Oh mon dieu ! Je suis désoler faut que je te laisse. Dit-elle en coupant

Elle se précipita vers moi à grand pas, avant de me faire tourner sur moi même.

Énola: Tu la prend ! Tu va attiré tout les regards ! Théo va devenir vert de jalousie. Dit-elle

Nous avions choisie nos robes et nous nous apprêtions à payer, enfin elle s'apprêtait à payer.

Vendeuse: M. Brown a déjà payer vos deux robes. Dit-elle en nous tendant les sacs

Énola: Impossible, il n'a aucune idée d'où somme nous.

Briséis: Ces deux hommes devant la boutique, prouve pourtant le contraire. Dis-je regardant dehors

Deux de ces larbins ce trouvaient devant les portes du magasin. Il était pas croyable, nous étions sortie du magasin, et nous avions prit direction du coiffeur, on nous avait fait les ongles ainsi que nos cheveux, une longue tresse dévaler tout mon dos.

Énola: J'aurais du m'en douter, New-York est comme un terrain de jeu pour Théo. Dit-elle en se faisant coiffer

Près 1 heure après nous étions fin prête nous avions reprit direction de la maison, une fois arriver à celle-ci, je montais directement dans la chambre, cachant la robe dans la salle de bain. Théo ne se fit pas prier, il entra en trombe dans la chambre, reboutonnant sa chemise.

Théo: Pourquoi, tu es sortie, sans rien dire ?! Me criait-il

J'ignorais toute parole venant de lui continuant, de plier mes affaires. m'attrapant soudainement la bras pour me bloquer de tout mes gestes.

Théo: Ne joue pas avec mes nerfs.

Briséis: Si tu n'avais pas jouer avec les miens, en ramenant ta petite amie ici, je serais rester bien sagement. Dis-je calmement

Théo: Tu n'as qu'une chose à dire et elle partira. Dis moi que tu m'appartiens.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant