BXVII

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Briséis: oh je vois sa doit être compliqué.

Énola: moi je vis plutôt bien cette situation. Sa me plaît de voyager en Australie, Londres, New-York. j'ai finis par m'y faire. C'est pour Théo que sa a était plus compliqué.

Briséis: comment ça ?

Énola: Quand mes parents se sont séparé, nous étions encore très jeune. Et Théo était très attaché à notre père, il a mal vécus le fait qu'il parte s'installer en Australie. Avec Théo on a un peu finalement grandit sans forme paternelle et il ne lui a jamais pardonné. Il qualifie ça d'abandons. M'expliqua t-elle

Briséis: je peux comprendre.

Énola: en parlant d'eux regarde, c'est la première fois que je les voies ensembles depuis des années. Dit-elle en regardant  derrière moi

Je me retournais pour apercevoir Théo accompagné d'un homme, ils discutaient ou plutôt se disputais, Théo avait le visage fermer.

Briséis: tu veux bien me montré les toilettes. Dis-je en me retournant vers elle

Elle m'avais accompagné jusqu'à toilettes, me laissant par la suite seule. J'arrivais face au miroir, enlevant mes chaussures qui avaient blessé mes pieds, voilà pourquoi je détestais mettre ce genre de talons. Tout d'un coup, Théo entra avec fracas dans les toilettes pour femme, des cries de surprise ce faisait entendre.

Théo: Briséis, on s'en va. Dépêche toi. Dit-il en m'attirant violemment vers lui

Briséis: Théo, doucement, tu me fait mal.

Théo: Tu dois pas rester ici. Dit-il en me serrant fort la main

Briséis: Mais ta mère ? Et Énola ? Dis-je le suivant

Théo: Tu aura d'autre occasion de les voirs.

Une fois dehors Théo fit signe au voiturier, d'amener la Berlin noir. Avant d'entendre un coup de feu assourdissant, Théo fit un tour sur lui même se retournant, croisant mon regards, remplis de larmes et douleurs, voyant ma robe blanche prendre une couleurs rosé et mon teint pâlir. Je tombais dans les bras de Théo. La douleurs a l'épaule se propager dans tout mon corps tout comme ce fleuve rouge qui s'étalait sur le sol.

Théo: Briséis... hey reste avec moi. C'est rien... APPELÉ LES SECOURS ! Criait-il en tenant ma tête

Briséis: je... j'ai... Arrivais-je difficilement à prononcer

Théo: chut... économise toi.

La seule pensée qui avais traverser mon esprits, si je m'en allais, comment ma famille le prendrais ? Je ne voulais pas les livrés à la difficulté du deuil il en était hors de question, mes yeux se fermer petite à petit, sur le visage de Théo complètement démunie. Les voix de Énola et May se mélanger dans ma tête, le bruit autour crée de multiple confusion dans le tête.

Énola: Les secours sont en route ! Ou est la balle ?

Théo: A l'épaule. Dit-il en compressant la plaie

Mes yeux commençais à se fermer, ainsi je me sentais partir pour le long voyage.

Théo: Briséis ? Ne ferme pas les yeux... reste avec moi ... réveille toi. Dit-il paniqué

Je sombrais, les bruits disparurent laissant place au silence.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant