Chapitre 6

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J'aperçois au loin JJ, il me fait un signe de la main pour que je viens. Je me dirige donc vers lui.
- Salut cv?
- Oui et toi?
- Euh ouais.
- Pourquoi tu m'as demandé de venir?
- Comme j'ai appris que tu aimais bien surfer je me suis dis qu'on pourrait en faire aujourd'hui.
- J'aurais bien voulu mais j'ai pas pris mon maillot de bain.
- La première règle sur cette île, toujours avoir son maillot de bain.
- Je prends note merci.
- Eh! tu as quoi au bras. Il me prend mon bras droit, oh. Lisa m'a attrapé le bras un peu trop fort, et voilà qu'elle m'a laissé un bleu super.
- Euh... oh ça? Je me suis juste cogner contre un meuble.
- Mouais. Comme tu est là ça te dit de faire un petit tour? Ouf, il ne me pose pas d'autres questions.
- Oui, pourquoi pas. Dis-je en faisant un petit sourire. On commence à marcher le long de la plage tout en discutant. Un moment, le silence prends place, ce n'était pas un silence gênant mais plutôt un silence apaisant.
- Bon maintenant tu vas me dire la vrai raison de ce bleu qui est sur ton bras? Finalement j'ai rien dis.
- Je te l'ai dis, je me suis juste cogné contre un meuble.
- Je ne te crois pas.
- Bah ne me crois pas. Je commence à m'éloigner de lui mais il attrape mon poignet.
- Désolé, je ne te poserais plus de questions.
- Umh... Je regarde mon téléphone pour voir l'heure et vois qu'il est tard et que mon père doit sûrement rentrer chez elle. Je suis désolée mais je dois y aller, j'ai passée un super moment. À plus tard
- Mais... avant qu'il n'a pu terminé sa phrase je pars en courant. Putain, putain, putain je devrais mettre un réveil maintenant. Après quelque minutes de course intensive je suis enfin arrivée, aller tu peux le faire Clara. Je monte les escaliers cette-fois pour retarder le moment d'être chez moi, mais on habitait qu'au deuxième ce qui fait j'arrive en même pas 1 minute devant chez moi. À peine avoir entrer ma clé dans la serrure que la porte s'ouvrit grandement, j'aperçois mon père dans une colère noir. Je rentre tête baissée, et m'assois dans le salon, il y a un silence de morts mais mon père coupe ce silence.
- On va parler cette fois-ci, et évite de faire des blagues car cela pourrait retomber sur toi. J'hoche la tête positivement. Qu'est ce qui t'as pris de parler comme ça à ta belle-mère? Elle n'a pas fait exprès de parler de ta mère, et je suis sûre quelle regrette, n'est-ce pas? Lisa oche la tête positevement, hypocrite va, je décide de parler.
- Certe je n'aurais pas dû lui parler comme cela mais depuis le temps qu'elle mérite qu'on lui dise ces quatres foutues vérités, j'en ai profitée et... avant que je ne puisses continuer mon père me coupe.
- Ta belle-mère est très gentille avec toi, si tu la trouve "insupportable", comme tu le dis si bien, c'est parce que TOI tu ne lui fais que des remarques. Je sais que la mort de ta mère n'a pas été facile à vivre pour nous deux mais... je rigole.
- Tu veux dire que ça n'a pas été facile pour MOI, car TOI tu t'est trouvé quelqu'un alors que moi j'étais et suis toujours en deuil.
- Arrête d'être égoïste!
- Pardon? Moi égoïste? Si il y avait un prix "de la personne qui se fout de la gueule du monde" serait venue à toi. C'est plutôt toi l'égoïste, à peine qu'elle fût enterrée tu ne t'est pas gênée pour trouvé des petites putes croqueuse de diamants! Je souffle un coup et prend mon calme. Maintenant je vais aller dans ma chambre vu qu'on a parlée. Je pars donc dans ma chambre mais j'entends Lisa pleurer, en plus d'être hypocrite et une salope c'est aussi une comédienne.
- Je voulais juste qu'elle m'aime. Dit Lisa "en pleure", qu'on lui mette un oscar sérieux.
- Maintenant Clara c'est décidée, dès que tu parles mal à ta belle-mère, tu seras punie. Plus de sortie, plus de téléphone, plus d'ordi...
- Tu sais quoi? Enlève-moi tout ce que tu veux mais la seule chose que tu ne pourras pas m'enlever c'est que j'ouvre ma putain de gueule. Je dirais tout ce que je veux que ça te plaise ou non, j'en ai complétement rien à faire. C'est sur ces derniers mots que je monte dans ma chambre. Il veut que je ferme ma gueule? Très bien je vais la fermer, pas de soucis ça fera moins de salive à gâcher. Je n'arrive pas à dormir, j'ai beau changé de sens ça ne marche pas je décide d'aller sur mon balcon. Je prend une veste car il fait un peu plus frais le soir, je pose mes coudes sur le rebord et mets ma tête en arrière en respirant un bon coup. C'est calme, très calme, en même temps vu l'heure cela est normale. Je regarde le ciel et ferme les yeux.
- Maman, tu me manques tellement cela fait presque un que tu n'est plus là. J'ai ce vide en moi qui ne se comblera jamais, tu me dirais sûrement avec l'amour. Et je te répondrais l'amour? Qu'est-ce donc vraiment l'amour? Une partie de bonheur et tout le reste n'est que tristesse et regret? Je m'en passerais bien merci, je penses tout les jours à toi, par rapport à papa. Comment a-t-il pu se re-marier aussi vite? Il dit qu'il a simplement tourné la page, mais comment a-t-il fait ça? Ça me parait impossible de tourner la page, peut-être que je suis destinée à être seule et triste? Tant de questions sans réponses, si tu aurais été là tu me les aurais donné mes réponses mais ce n'est pas le cas. Je t'aime maman et ça jusqu'à ce que je crève. C'est sur ces derniers mots que j'ouvre mes yeux et souffle, je rentre dans ma chambre enlève ma veste, je la dépose sur la chaise de bureau. Je me jette sur mon lit, prends mes écouteurs, mon téléphone puis mets une mudique aux hasards. Ça tombe sur All of me de John Legend, je soupire de nostalgie, c'était l'une des musiques préférée de ma mère. Je m'endors sur cette douce musique en espérant que demain sera un jour meilleure même si je le sais que non.

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Hey! Voici le sixième chapitres
de juste un été, j'espère qu'il
vous auras plu et je vous dis
au prochain chapitre. Bisous😘
- 1105 mots

By Emmq

Just One Summer - OBXOù les histoires vivent. Découvrez maintenant