Défier la mort en tombant amoureux en temps d'apocalypse ? C'est le choix qu'ils ont décider de mener à bien. Dans un monde où les défunts reviennent à la vie, languis de chaire fraîche et assoiffés de sang, la fille d'un fermier et un chasseur bour...
BETH Je me remet difficilement de la plus belle nuit de ma vie, j'essaye de ne rien laisser paraître. Mais mon sourire béat me trahissait. Bon il était grand temp de sortir de cette parenthèse de douceur parce-que ce monde n'avait aucun répit.
Je descend dans la cuisine, Daryl y buvait un café. Je prend mon petit déjeuner, - Je vais en raid avec Rosita tout à l'heure, pas de conneries je serais pas là pour te sauver les miches. me dit Daryl en rouspétant. - Compte sur moi. répondis-je en souriant.
Quelqu'un vint toquer chez nous, c'était Maggie, - Dis-donc t'es bien souriante qu'est ce qu'il t'arrive ? me dit elle en m'embrassant la joue. - Ah oui ? J'en sais rien Rire Qu'est ce qui t'amène ? répondis-je en la faisant rentré. - Je pars ce soir à la Colline je voulais te voir encore un peu, c'est Daryl qui te fait sourire comme ça ? Questionne t'elle en fronçant les sourcils. - Hein ? Qu'est ce que tu racontes ? - Ne me dit pas que... vous ? Beth ! - Mais qu'est ce qui te prend ! dis-je étonné, elle me suspectais mais comment est-ce possible ? Je ne lui ai absolument rien dit. Putain d'instinct de grande sœur à la con.
Elle commence à me blâmer et à me faire la morale en se basant sur ses propres suspicions. - Je suis une femme maintenant ! Ça devait bien m'arriver un jour ! Maggie se mit à hausser le ton, - Mais qu'est ce que tu t'imagines ? Que tu vas t'enfuire sur un bateau et fonder une grande famille avec lui ?! Il n'as pas ton âge Beth ! Il a beaucoup trop d'expérience pour toi. - T'as aucun droit de me juger ! J'ai dix-neuf ans mes décisions m'appartiennent. Maggie pousse un long soupire. - Tu as raison, c'est ta vie et c'est tes choix, j'adore Daryl du plus profond de mon cœur je ne pense juste pas qu'il puisse faire face à des sentiments... Tu va morfler soeurette. Elle me prit dans ses bras, c'était déjà pardonné. Restait à savoir comment est ce qu'elle a fait pour lire en moi avec autant de facilité ?
DARYL J'écoutais depuis le début leur discussion en haut des escaliers, Eh merde les problème commencent. Les propos de Maggie m'énervent, sûrement parce qu'elle a en partie raison, je prend sur moi et me résolu à ne pas intervenir entre elles. Je sort discrètement de la maison avec mon arbalète pour rejoindre Rosita. On monte dans la voiture, Eugène nous ouvrit les portes et nous nous dirigions en direction de la ville.
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Au bout de trois quarts d'heure de route on déniche un ancien quartier résidentielle abandonné. On sort de la voiture et se dirige vers la première maison, soudainement un rôdeur sort d'un bosquet de fleur et avança vers Rosita qui était dos à lui. - Au sol ! braillais-je. Elle s'exécute et le rôdeur se prend un carreau en plein milieu du front. - Merci me dit-elle, je lui donne ma main pour qu'elle se relève.
On ouvre la première maison en braquant nos armes à l'intérieur. Je me met à fouiller chaque placard, de chaque pièce, que dalle.
Rosita avait trouvé une canette de soda à la cerise et des poussières. Elle en bu la moitié d'une traite et me jette la canette, je l'attrape à la volée et bû l'autre moitié. - Alors ta nuit avec Beth ? Je manque de m'étouffer avec la canette. - qu'est ce que t'as dit ? Dis-je en toussant. Elle éclate de rire, - Tu verrais ta tête ! On dirait que t'as vu un fantôme. riait t'elle en se tenant les côtes. - Maggie t'as dis sa ? - Donc c'est vrai. J'avais pas rêvé ? - Nah c'est pas ce que j'ai dit. Dis-je en m'exaspérant - T'es le pire menteur que je connaisse, quoi que peut-être qu'Eugène est encore plus piètre menteur que toi. Je la fusille du regard, soudain un gros bruit nous interrompit on se retourna, un rôdeur venait de s'écraser au sol, le plancher du haut était moisie.
