moonshine || twd bethyl

chapitre XIX

ÉGLISE MASCARA ET COOKIES.

EXTERNE
Le petit groupe de six arrive sans accroche à Alexandria, le père Gabriel propose une fête entre membre du groupe de Rick pour retrouver des moments tous ensemble et honorer la paix et l'équilibre qu'ils avaient tous retrouvé dans la petite ville. Daryl refuse catégoriquement d'y mettre les pieds même si il n'y a que les intimes mais il fini par céder à Beth qui réussi à convaincre l'arbalétrier en lui disant que ce serait une occasion en or pour eux d'annoncer aux autre leurs secret.

Il râle car il ne supporte pas les fêtes mais qu'est ce qu'il ne ferait pas pour sa blonde ? Tout le monde se fait beau en perspective d'une bonne soirée conviviale excepté Daryl qui en a comme toujours rien à foutre de son apparence et ce n'est pas demain la veille qu'il fera un effort.

Beth enfile une robe verte pastel au dos en dentelle qui arbore un joli décolleté. Pour une fois qu'elle se trouve féminine elle en profite pour volé un mascara à Tara et en mettre légèrement sur ces cils du haut, rajouter une touche de blush sur ces pommettes et un brillant à lèvres discret. Elle trouve ça amplement suffisant, elle fait tomber ces cheveux en cascade dans son dos sans les attacher dans son éternel queue de cheval.

Elle sort de la salle de bain, Daryl est affalé sur le lit de leur chambre, il la reluque de haut en bas pendant ce qu'il paru à Beth une éternité.
- Alors ? Questionne la jeune femme en essayant de cerner son expression. Il baragouine quelque chose dans sa barbichette qu'elle ne comprend pas, il se lève et l'attrape de plus près pour voir son visage, en le tournant doucement.
- Débarbouille toi t'as pas bsoin d'ça. marmonne t-il.
- C'est tout ce que t'as à dire ? répond t'elle avec une mine agacé.
- Nan y'a que moi qui ai le droit de te voir avec ça. Grogne t-il en désignant son décolleté.
- On va être en famille Daryl, tu veux que je me fasse reluquer par qui ? Carl ? répondit Beth avec un rictus. Il soupire et lève les yeux au ciel.
- T'es très belle comme ça. marmonne Daryl dans sa barbe en embrassant le haut de sa tête.
- Tu peux répéter plus fort ? J'ai pas bien entendue. Interrogea Beth en souriant de toute ses dents. Daryl lève son majeur au visage de la jeune femme qui explose de rire en voyant sa tête de grognon.

Ils sortirent tout les deux pour se diriger vers l'église, ils croisèrent Carol en chemin qui avait un chemiser blanc en dessous d'un pull à fleur, elle les salua chaleureusement.
- T'as pris une douche Daryl ? taquine t-elle, celui ci acquiesce en grognant.
- T'as l'air ridicule. Marmonne t-il en observant l'accoutrement de grand mère de sa meilleure amie.

Ils rentrèrent tout les trois dans l'église, tout le monde était déjà là, Glenn était assis en tailleur dans un coin avec Abraham, Eugène et Tara qui riait des conneries des garçons. Rick était adossé à un banc assis par terre avec la petite Judith sur ces genoux qui souriait. Michonne était avec lui, ils s'échangeaient des regards amoureux. Carl discutait avec Rosita et Gabriel. Tandis que Aaron venait vers le groupe de trois qui venait d'arriver. Il leur tendit des verres que Daryl déclina pour Beth, ce qui fit rire Carol qui savait pertinemment pourquoi.

Abraham propose un toast au survivant et à Maggie, Sasha, Enid et Jésus qui n'était pas présent ce soir. Tout le monde lève son verre. Beth prend finalement la parole, elle étais au bord de l'évanouissement. En sentant tout les regards sur elle Daryl s'approche d'elle et entrelace ses doigts au siens en public ce qui eut pour effet de déclencher des sourires sur les visages des gens qui s'y attendait quelques peu. Mais ils ne s'attendaient pas à la nouvelle qui allait s'en suivre.

Beth prit une respiration tremblante et l'annonce d'une voix clair, Abraham fut le premier à répondre,
- Oh putain j'pensais qu'tavais grossie ! Dit-il en s'exclaffant, Rosita lui met un coup de coude dans les côtes et Daryl le fusille du regard. Rick s'empresse de les félicité, il était sous le choque mais heureux tout comme le reste de leurs amis, la pression retombe quand tout le monde les félicite et qu'on reporte un toast au futur « Dixon-Greene ».