GRINCHEUX ET POTS POUR BÉBÉS.
BETH
J'étais plongée dans la lecture d'un livre que Tara m'avait prêté, c'était une histoire d'amour, un triangle amoureux plus précisément, j'en étais au tome deux. J'avais déjà empruntée le premier à Tara suite à sa recommandation et on avait débattue sur nos personnages préféré et rigoler de bon cœur pendant des heures en regardant le coucher du soleil sur un banc d'Alexandria.Une odeur que j'aimais sentir plus que tout traversa ma chambre, c'était celle de Daryl, il était rentré sans faire de bruit et était dos à moi en train d'enlever sa chemise en levant les bras, me laissant une pleine vue sur son dos musclé en mouvement, mon regard dériva même sur ses fesses bombé et musclé, et ses cicatrices qui recouvraient son dos, la vue était à vrai d...
- J'te dérange ? Je sursaute et tourne au rouge pivoine, j'avais même pas remarqué qu'il s'était retourné.Il a un rictus moqueur que je trouve charmant, il s'amusait et jouait de l'effet qu'il me faisait en se foutant de ma gueule, je baisse les yeux ne sachant plus où me mettre.
- Tu veux que j'te lave ta chemise ?... bredouillais-je tandis qu'il me fixait intensément. Il me balance la chemise en me remerciant, et s'affale sur le lit tandis que je me levais pour la faire tremper dans de l'eau brûlante et du savon.La porte était grand ouverte sur la chambre, et en regardant dans le miroir j'aperçus Daryl qui me reluquait toujours du regard avec son air impassible. Je quitte ses yeux, toujours impressionné par son regard impressionnant. Je met ensuite sa chemise à sécher en l'essorant de toute mes forces.
Deux grosses mains me firent sursauté et m'attrapèrent par derrière doucement par la taille. Je n'avais pas vu Daryl arriver, il avait un don pour surgir de nulle part.
- L'essores pas trop fort tu vas te fatiguer. Marmonne t-il dans sa barbe, je me mis à rire.
- Arrête d'être parano grincheux, j'peux me débrouiller toute seule.
- Ouais bien sûr. Bougonne t-il sarcastiquement tandis qu'il rapprochait mon bassin du sien. J'étais dos à lui, j'étendais toujours sa chemise sur l'étendoir à linge, je me libère de son emprise pour retourner à ma lecture.
- Tu d'vrais pioncer. Il est tard.
- Il est à peine vingt trois heures Daryl. Fis-je en riant de plus belle, il marmonne un truc incompréhensible et ronge machinalement l'ongle de son pouce. Il me capture le livre des mains, je proteste mais il me met sous la couette et éteint la lumière comme si j'étais une enfant alors que je me débattais pour rattraper mon livre.Il embrasse mon front et me dit de dormir. Je grogne en l'envoyant bouler, il était de plus en plus protecteur au fil de ma grossesse ça me faisait bien rire au début mais ça en devenait légèrement insupportable. Il avait raison sur un point (comme d'habitude en fin de compte) j'étais exténuée et je m'endormis quelques minutes après qu'il soit partit fumer.
Un frisson parcourut mon corps quand je l'entendis remonter dans la chambre au bout d'une heure d'absence. J'entendis ses pas sur le plancher, puis la couette dans laquelle j'étais emmitouflé se soulever et laissa rentré une bouffée de fraîcheur, qui ne tarda pas à être remplacée par la chaleur corporelle de Daryl.
Je faisais mine de dormir en lui tournant le dos, et eu un énorme sourire plaqué au visage quand je sentit sa main caresser mon ventre et sa tête se poser au creux de mon cou, humant le parfum de mes cheveux. Chacune de ses expirations brûlante sur mon cou faisait frémir tout mon corps et je me rendormis toujours accompagné de mon sourire béat.
DARYL
Je me réveille en premier comme chaque matin, je me détache de Beth et descendit lui faire à manger, je remonte avec un plateau et j'avais pour initiative de la réveiller pour qu'elle mange mais elle était trop mignonne quand elle dormais et qu'elle me les brisait pas. Alors je dépose le plateau sur sa table de nuit, embrasse son front et part à la recherche de Glenn, Kira, Rosita et James.
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moonshine || twd bethyl
General FictionDéfier la mort en tombant amoureux en temps d'apocalypse ? C'est le choix qu'ils ont décider de mener à bien. Dans un monde où les défunts reviennent à la vie, languis de chaire fraîche et assoiffés de sang, la fille d'un fermier et un chasseur bour...