[II] « Pardonne moi »

-dix-

Salam Aleykûm
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Tellement d'fils de pute qu'ont des mères irréprochables.
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Je m'approche de Tælian.

- C'est vrai !?

...

- JE TE PARLE !

Et c'est pas il commence à pleurer. C'est une blague, j'espère ?

Je le prends par le col, j'avais envie de lui niquer toute s-

Jamel - On est pas venus pour ça, tonton.

Je pousse Tælian sur le canapé.

- Va dans ta chambre, dépêche toi.

Kalia l'aide à monter.

Jamel - Alors c'est quoi l'histoire ?

- Écoute, je vais faire rapidement parce que j'ai des choses à faire. Je t'avoue quelque chose, ton vrai père c'est pas Youssef.

Je le vois baisser les yeux.

- Il s'appelle Amaid et... c'est juste qu'à la naissance, il t'a pas reconnu comme son fils mais après il a regretté mais comme Youssef t'avais déjà reconnu et bah il pouvais plus. Donc pour aider ta mère financièrement, il lui donnait de l'argent mais après, Youssef a recommencé à travailler donc Amaid n'a plus donner d'argent.

Il était choqué, normal en fait.

Jamel - Ma mère elle m'a eue hors mariage ?

- Ouais... On peut dire ça.

...

Jamel - Tu sais où je peux trouver cet Amaid ?

- J'en ai aucune idée, bonhomme.

Il souffle et ils s'en vont.

Tælian

J'étais dans ma chambre et j'avais laissé la porte ouverte. Donc comme ça le petit Jamelito ne connaît pas son vrai père ?

Je les entends fermer la porte et mon père monte les escaliers. J'allais me faire niquer comme jamais.

J'ai pris mon téléphone.

...

...

Zakaria - Bon à nous deux.

Je lève la tête.

Zakaria - Donc comme ça mon fils c'est un violeur ?

...

Il enlève sa ceinture, j'avais envie de pleurer putain.

- Attends, Papa !

Zakaria - Quoi !?

- Regarde.