Olympus Gods, Partie 1

Chapitre 39

Persé 

J'avais passé toute ma journée avec Hadès à me promener et à découvrir son monde et tout ce qui s'y cachait. Je m'étais imaginé tant de souffrance ainsi que de violence, mais c'était tout le contraire. Certes, il y avait une partie comme ça, mais elle était seulement dans le Tartare le restant de son royaume ressemblait à une grosse ville qui était tout le temps dans l'ombre du soleil. Hadès répondit à toutes les questions que je pouvais poser même les plus simples tel que: quel genre d'horaire de travail il avait à comment il faisait pour juger les âmes. Pourquoi elles devaient attendre sur la plage que j'avais vue ? Pourquoi il y avait tant de personnes qui travaillaient dans son royaume ? Il m'expliqua que cela n'a pas toujours été de cette façon. Au début, contrairement à ses frères, il était totalement seul avec Cerbère pour régner sur ce monde. Cela lui prit un certain temps avant de rencontrer Hecate, car le monde était si grand qu'il a dû faire des recherches longtemps pour bien s'établir et un jour il rencontra Hecate qui décida de l'aider à gérer le royaume. Toute cette histoire me captivait au plus haut point et personne ne m'avait raconté le point d'Hadès et il était la meilleure personne pour le faire. Ce dieu qui me semblait si tranquille et froid qui me semblait bizarre de croire qu'à un certain moment il c'était battu. Oui, cela paraissait qu'il s'entraînait et avait le corps qui le prouvait, mais ce n'était pas son physique qui me montrait qu'il était un héros de guerre. Il parlait de son royaume sans haine, mais sans plus de joie. Son aura était d'un mélange entre le bleu ainsi que le noir. Je n'avais fait aucun commentaire sur son physique que je n'avais pas l'habitude de voir de cette façon. Ses cheveux étaient d'un noir si profond, ses yeux bleus moins brillants ainsi que son teint plus pâle. Il inspirait respect, mais aussi terreur ce qui m'était encore une fois de plus incompréhensible parce que je sais qu'il n'était pas la personne qu'il montrait.

Nous avions presque fini notre visite et nous étions de retour devant la grande tour qui montait jusqu'à l'Olympe quand un paparazzi se mit à nous suivre. Hadès me fit signe de rester calme et de ne pas prendre panique.

-Madame, madame, dit le paparazzi en nous rattrapant. Est-ce vrai que vous êtes l'invitée chez le roi? questionna-t-il à mainte reprise.

Hadès continuait à marcher et attrapa mon bras pour que je suive plus rapidement, mais je trébuchai sur une dénivellation et tomba au sol égratignant mes deux genoux. L'instant d'un clin d'œil, j'étais entourée d'un épais nuage noir avec Hadès et le paparazzi. Je me levai tranquillement regardant mes deux genoux en sang rouge qui coulait déjà sur mes bottes. Le paparazzi était sous le choc de voir la couleur de mon sang ne pus s'empêcher de passer un commentaire.

-C'est une humaine, souffla-t-il en me fixant totalement sous le choc.

À la vitesse de la lumière, Hadès tenait déjà le pauvre homme par le coup et sa caméra photo était déjà en mille miettes au sol. L'apparence d'Hadès devient beaucoup plus sombre et il prit l'apparence que j'avais l'habitude de voir, mais ses yeux étaient différents. Son bleu turquoise brillait, mais le restant de ses yeux était noir et ressemblait à une nuit étoilée.

-Tu vas oublié ce que tu viens de voir et tu ne vas jamais parler de ça à qui compte parce que, dit Hadès, mais ne terminant pas sa phrase que le paparazzi criait déjà de terreur.

Une fois de plus, dans un claquement de doigts, le nuage de fumée avait disparut et Hadès m'avait déjà pris dans ses bras pour nous téléporter dans son bureau. Il me posa délicatement sur le canapé que j'avais été et disparut dans sa salle de bain pour revenir avec une serviette froide pour nettoyer mes deux petites blessures. Hadès prit place au sol pour bien voir et nettoya délicatement mes genoux pendant qu'il hocha la tête de gauche à droite. Son aura était plus agitée que jamais et je sentais une rage contre lui-même.