Moja miłości | PLK [en pause]

Chapitre 35

10h45 02/07/19
point de vue d'Axelle

Je me réveillais doucement grâce aux rayons du soleil qui traversaient les volets. Je tirais les rideaux et en profitais pour ouvrir la fenêtre. Je filais sous la douche et enfilais un cycliste noir, un débardeur de la même couleur et le sweat que Math' m'avait prêté hier, pour ne pas avoir froid. Il sentait son parfum.

Je descendis les escaliers et marchais jusqu'au salon où je saluais rapidement les garçons. Le petit déjeuner n'étant pas encore prêt je proposais de faire des crêpes, ils étaient tous partants. Mon frère n'était toujours pas debout et mon polonais non plus. Arrivée dans la cuisine je commençais à préparer les crêpes en cherchant les ingrédients dans le frigo et dans les placards, j'en sortais un saladier où je versais la farine, quand je sentais des bras encerclés ma taille.

Mathieu : Bonjour il chuchote à mon oreille

Moi : Bon matin ! dis-je avant de mettre ma préparation de côté pour le prendre dans mes bras T'as bien dormi ?

Mathieu : Ouais et toi ?

Moi : Super bien j'essayais de me détacher de son emprise pour continuer ma recette mais il resserra ses bras autour de moi

Mathieu : Mmh tu restes là, on est bien comme ça il grogne

Moi : Mais j'dois continuer mes crêpes Math'... je dis, en riant

Mathieu : Je m'en fou, elles peuvent attendre il murmure avant de nicher sa tête dans mon cou

Je me tournais comme je pouvais pour ne pas interrompre notre câlin mais pour que je puisse tout de même continuer ma préparation, je replaçais ses bras autour de ma taille et il colla son torse à mon dos avant de sourire contre la peau de mon cou.

Mathieu : Comme ça, ça me va aussi.

Je mélangeais les ingrédients dans le grand saladier, et mon polonais, qui c'était enfin décidé à me lâcher, me sortait une poêle d'un placard qui m'était inaccessible, vu ma taille, je le remerciais d'un bisou sur la joue.

Il s'asseyait sur un plan de travail proche de la plaque de cuisson. Je versais un peu de pâte dans la poêle et fis la première crêpe.

Mathieu : T'es trop belle quand tu cuisines je rougissais légèrement Enfaite t'es belle tout le temps, c'est ouf !

Moi : Merci... je rougissais tout en lui souriant

Je continuais de faire une bonne dizaine de crêpes, jusqu'à ce que le peroxydé me demande si lui aussi pouvait en faire. C'est comme ça qu'il se retrouva au fourneau, moi assise sur la place qu'il occupait il y a peu, le regardant galéré.