Moja miłości | PLK [en pause]

Chapitre 33

NDA : Salut salut ! J'ai fait énormément de modifications sur mon profil ces derniers jours. Mais ne vous en faites pas, vous suivez toujours l'histoire d'amour naissante entre Axelle et Mathieu !
Bisous et bonne lecture :)

9h30 30/06/19
point de vue d'Axelle

Dans quelques heures notre avion, pour retourner à Paris, allait décoller. En toute honnêteté j'avais hâte de rentrer sur la capitale, mes amis me manquaient, Math' aussi...

Durant l'intégralité de mon séjour on s'appelait touts les soirs ou presque. Certains jours j'étais trop fatiguée, lui aussi, on se contentait donc de nos messages échangés dans la journée.

Ce serait vous mentir si je vous disais que je n'ai pas eus peur qu'il ne me réponde pas, ou disparaissait comme il l'avait déjà fait. Mais ça ne s'était pas produit, au contraire, on attendait tout les deux nos appels du soir avec impatience. Et ça me rassurait. Le fait qu'on reste en contact même à distance me prouvait qu'on était entrain, doucement mais sûrement, de construire quelque chose, de solide.

J'avais aussi évoqué avec mes grands-parents et Brahim une possibilité, qu'après le jugement, on pourrait, peut être, envisager de réemménagé à Paris. Je dis « on » parce que si ça se ferait mon frère me suivrait sûrement. Le fait de vivre seule n'était pas un problème, j'avais mon propre studio ici, et puis rester sur Paris me permettrais de rester proche d'Amand', qui est maintenant ma seule amie fille, ainsi que des garçons et surtout de mon polonais. Même si on est pas ensemble, officiellement, même si ça ne serait trader, la question du : On fait comment après le procès ? serait sans doute prochainement sur le tapis.

Je rangeais mes produits de cosmétiques dans ma trousse de toilette avant de boucler ma valise. Je la descendais jusqu'à l'entrée et me dirigeais vers la salle a mangé, où se trouvaient déjà mes grands-parents ainsi que mon frère à table. Je m'installais rapidement et me servais un verre de jus.

Mamie : Alors ma chérie, t'as bien dormi ?

Moi : Ouais, tranquille. Retourner sur Paris me stresse pas trop.

Papi : Faut dire que y'a de superbe vacances qui vous attends aussi !

Brahim : Ouais c'est vrai ça.

On papotait encore une bonne heure. Le petit déjeuner terminé et débarrassé, il était l'heure pour nous de quitter notre maison d'enfance pour aller à l'aéroport.

Je saluais mes grands-parents chéris, en leur promettant de les prévenir dès qu'on aura atterri et de leur envoyer des photos de la Corse, Brahim fit pareil. Et ni une ni deux, on se retrouvait dans le taxi qui allait nous ramener jusqu'à l'aérogare.

Installer sur la banquette arrière avec mon frère, nos valise dans le coffre, on entamait une discussion sur comment nos vacances en Corse allait se passer.