Aria

Chapitre 41

Je me sent différente.
Plus femme.
Plus forte.
Invincible.

Je glousse devant miroir avant de continuer mon maquillage. Je ne m'étais jamais sentis comme ça. Comme l'impression que rien ne peu m'arrêter, que plus rien ne peu m'atteindre.

Je suis invincible avec lui.

Je comprends enfin la métaphore de sa soeur "il est comme mon gilet pare-balles". Lenzo est exactement ça.
Et dire qu'au départ je le détester, sa présence si arrogante et imposante me rendait si nerveuse et cette manière qu'il avait de me dévorer du regard  me faisait frissonner de peur alors que maintenant j'adore ça.
Je tremble de frisson à chaque fois qu'il ose poser sa main sur moi ou qu'il me frôle innocemment.

On est aimantés l'un à l'autre. Je le veux lui et personne d'autre, je veux qu'il m'embrasse en permanence comme si c'était la première fois, que sa main tienne la mienne et que plus jamais il ne l'a lâche, qu'il la tienne jusqu'à épuisement.

Je veux connaître tout de lui, je veux le connaître mieu que quiconque.
Tout simplement car il est l'homme que j'aime. Jamais je n'aurais imaginé être aussi dépendante affectivement d'un homme encore moins d'un homme comme lui.
Ses rares sourires font exploser mon coeur de joie et son regard me fait battre bien plus fort. Même si il attire un tas de danger, il m'en protège. Je pourrais me détruire à petit feu rien que pour lui, je pourrais pleurer toutes les larmes de mon corps si il venait à disparaître de ma vie. Je ne pourrais pas, mon coeur ne le supporterait pas.

"-A quoi pense tu mio tesoro ( mon trésor) ?

Mon corps sursaute mais il ne l'a pas vu. Je pose mon pinceau avant de me pivoter pour le regarder, un bras sur le haut de la chaise. Mes yeux l'observent s'habiller de ses mains habiles. Ses cheveux encore humides du à la douche éveille en moi trop de chose et en réchauffe mon bas ventre.

"-Arrete de me regarder comme ça veux tu. Parle t'il en boutonnant sa chemise.

Je lève les yeux au ciel avant de me lever pour me diriger vers lui d'un pas lent. Un de ses sourcils se lève avant que je le stoppe dans son mouvement pour le faire à sa place. Son parfum m'enivre et j'ai encore plus envie de lui. Ses mains viennent s'emmêler à mes cheveux avant de tirer ma tête en arrière pendant que je boutonne sa chemise.

-Dit moi ce que tu veux Aria.
-Je veux que tu me baise Lenzo.

Un sourire vient prendre place sur sa joue droite alors que son regard brille de malice.

-Je n'ai malheureusement pas le temps.
-Ah oui ? Demandais en posant ma main fermement sur ses parties intimes.

Je sent son sexe se durcir alors qu'il tire un peu plus sûr ma tignasse en soupirant doucement.

-Je n'ai pas le temps pour être doux...
-Je t'es pas demandé de me faire l'amour idiot. Voglio che mi fotti. (Je veux que tu me baise.)

J'entends sa respiration s'arrêter, ses yeux me fixe d'une lueur que je ne connais pas. Je regarde ses yeux devenir blanc quelques millièmes de secondes avant qu'il ne plaque mes mains sur le fauteuil et de baisser mon pantalon d'un coup sec faisant sauter le bouton. Mon dessous par en lambeau entre ses doigts.

Mon dieu ! Je suis déjà prête pour l'accueillir. Je suis trempée pour lui.
J'entends la fermeture éclair de son pantalon alors qu'une de des mains me rapproche de son bassin. Il rentre en moi sans aucune précaution. Je pense qu'il à comprit ou qu'il sait par diverse fouille illégale dans ma vie que j'ai un implant de contraception. 
Ses coups de reins sont puissants et rapides, le fauteuil est à deux doigts de tomber sous notre ébat bestial. Il se retire me faisant grogner de frustration avant qu'il ne me porte jusqu'au lit. Lenzo retenir complètement mon jeans avant de se repositionner et de chercher mon entrée,  de jouer avec un clitoris quelques instants et de pénétrer une nouvelle fois.

J'ai terriblement chaud.

Ses mains agrippent la tête de lit pour mettre plus de force dans ses mouvements. Bordel que j'aime ça.  On est complémentaire sexuellement. J'aime toute autant quand il est doux comme j'aime quand il est brutal.
Sa main claque mon derrière en  laissant des traces mais ce n'est pas une mauvaise douleur.

Je n'arrive même plus à lui rendre ses coups de reins tellement il ait rapide et brutal.
Mes jambes commencent à trembler et des fourmillements se font ressentir dans mes orteils. Je vais jouir. Alors que mes cris de plaisir aigus se font rapprocher, Lenzo vient titiller mon bouton de chair faisant contracter plusieurs fois mon vagin m'offrant un orgasme spectaculaire qui ne veux plus s'arrêter. Je sens son pénis vibrer en moi dans un gémissement roque avant qu'il ne s'écroule sur mon dos. La chaleur dans mon ventre est encore présente et sa peau humide de sueur colle à la mienne.

Sa respiration rapide contre mon crâne me fait frissonner.
Il reste en moi quelques minutes dans un silence de bien être avant de basculer sur le côté, une main sur le ventre ferment les yeux. Il vient de m'offrir l'orgasme le plus long de ma vie. Encore une fois.

Je reste allongée sur le ventre l'observent. Il est magnifique. Sa chemise qu'il a gardé est toute froissée.

"-J'ai vais devoir me méfier maintenant. Parle t'il encore les yeux clos.
-De quoi parle tu ?
-Tu comprends l'Italien mauvaise fille...
-Sei tu che mi rendi cattiva. E sono sicuro che lo ami.
(C'est toi qui me rends mauvaise. Et je suis sûr que tu adore ça.)

Ses paupières s'ouvrent, m'examinent encore une fois. Je me redresse libèrent ma poitrine de mon top. Le brun louche dessus avant de venir caresser mes tétons encore fièrement dressés à cause de son assaut.

-Sono due cose meravigliose, sono mie.
(Ses deux magnifiques choses sont à moi.)

Je soupire de bien-être agrippant sa main qui tien un de mes seins. Il rentre parfaite dans sa main. Comme si il à était créé juste pour lui, rien que pour lui.

-Je suis rassuré.

Ma tête s'incline sur le côté.

-Comment ça ?
-Je pensais que tu voulais que faire l'amour donc je peux arrêter mes recherches pour une maîtresse qui veux du sexe dur.

Je retire violemment sa main de ma peau sous son rire. Un vrai rire qui réchauffe mon coeur. Je le regarde se redressé et s'asseoir sur le bord du lit, les bras croisés sous la poitrine.

-Tu sais pourquoi on dit faire l'amour mio tesoro (mon trésor)
-Parce que c'est doux ?
-Non, c'est quand deux personnes s'aiment.

Mes bras tombent comprennent son aveu à demi-mot. Je viens encercler son coup l'empêchant de prendre la fuite.

-Dimmelo per favore ...
(Dit le moi s'il te plaît...)

Il soupire doucement avant de tourner légèrement la tête vers moi pour me regarder. Il est si beau.

-Une femme comme toi ne devrait pas quémander l'amour d'un homme.
-Et toi tu devrais arrêter de me faire chier.

Je fus soudainement plaqué au lit, les mains au-dessus de la tête ,des baiser mouillés sont laissées un peu partout sur ma peau encore humide. Un gémissement résonne dans la pièce quand il m'embrasse, là. Par instinct mes doigts s'emmêlent à ses cheveux. Il sait si bien le faire. Ses doigts rentres en moi terriblement lentement. Il aime entendre mes plaintes.

Soudainement son corps surplombe le mien et son sexe se retrouve devant mon visage alors que ses dents mordes doucement mon clitoris me faisant soupirer de plaisir. J'attrape son pénis et le fourre dans ma bouche et css hanches se mouves toutes seules.

Je croyais qu'il n'avait pas le temps....

Son gland tape dans le fond de ma bouche alors que je joue avec ces testicules d'une de mes mains.
D'un coup de hanche, il enfonce tout son membre dans ma bouche laissant un liquide chaud y sortir dans un râle de plaisir. Il embrasse mes lèvres du bas avant de s'allonger au près de moi me montrent toutes ces dents.

"-Ti amo Aria."

Un sourire prends place automatiquement sur mon visage alors que je sent mes joues chauffer. J'ai la réaction typique d'une ado et j'en est honte.
Il me montre une nouvelle fois toute ses dents avant que je me cache dans ses bras, le bas-ventre sur le point d'exploser.