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Je me caresse le bras en le regardant avec ma bouche en forme de "O".

Qu'est-ce qu'il vient faire ici?

-Mr.k: pourquoi tu cries? On t'as violé? hein! demande t'il en me regardant de haut en bas.

Quoi? Mais ça c'est quelle illustration?

-moi: non! m'exclamais je..  simplement, je suis surprise de vous voir ici.

-Mr.k: et lorsque tu es surprise tu cries? un sourcil relevé.

-moi: pas que....

-Mr.k: peut importe! en balançant mes mots d'un geste de la main.. pourquoi t'étais pas au bureau?  demande t'il en attrapant mon bras pour me faire marcher.

Le gardien me jette un regard comme pour savoir si j'ai besoin de son aide mais je l'affiche un sourire rassurant en mode: t'inquiète pas mon ami, cet fou je le connais.

-Mr.k: c'est ton amant? demande t'il.

Je tourne ma tête vers lui et il me faisait marcher en direction de sa voiture, j'essaie de retirer ses doigts qui entourent mon bras.

-moi: ne me touchez pas svp, je peux marcher. il suffit juste de m'indiquer où l'on va. dis je en voyant qu'il ne lâche pas mon bras.

Il lâche enfin mon bras avant de se dresser devant moi, les mains dans les derrière le dos. Il m'accorde toute son attention alors je respire fortement avant de commencer.

-moi: voilà hier vous m'avez virés autrement dit licencié. alors, comme la personne normale que je suis je suis resté chez moi comme tout licencié monsieur. Donc si c'est pour votre argent, eh bien je n'ai rien mais alors vraiment rien alors vous pouvez appeler la police je ne ferai preuve d'aucune résistance je sais que je suis en tord et vous avez raison. terminais je avant de débloquer ma respiration que j'avais bloqué le long du discours.

Il dit rien, ne fait aucun mouvement alors je lève ma tête vers lui.

Il me regardait avec un petit sourire au coin de la bouche, qu'il essaie de dissimuler.

Il est tellement heureux de pouvoir m'envoyer en prison qu'il ne parvient pas à retenir sa joie.

-moi: voilà! je dois vous suivre ou bien vous les appelez? en le regardant.

Il rigole carrément et passe une main pour se cacher la bouche tellement il se retient pas.

Le malheur des autres, fait le bonheur des autres.

-Mr.k: qu'est-ce que tu es hilarante dahlia! en riant plus fort.

-moi: merci, ça me fait plaisir que vous me trouvez comique. dis je ironiquement.

Mes larmes me tournent aux yeux carrément. C'est mieux s'il s'était caché pour se moquer de ma tristesse au lieu de le faire ouvertement comme il le fait là.

AMOUR aux ENCHÈRES Où les histoires vivent. Découvrez maintenant