Mai 2018
Espagne
PDV ANGELINA
On est arriver le lendemain de leur décès. On avait tout plein de chose à préparer pour les funérailles. On a fait le choix qu'elles soient public, étant donner les proportions du soutient qu'on a, et des amis de mes pères.
-Prête? me demande Hakim.
-On en fini. je répond.
-T'es magnifique. il dit en embrassant ma joue.
-Câlin.
Il me prend dans mes bras, et je je lutte contre moi même pour ne pas pleurer. On est tous à l'hôtel, on ne voulait pas allez chez mes pères. Et c'est plus simple. On descend dans le hall ou il y a tout les gars, en costumes, et Adèle. J'ai le droit à un câlin et c'est pas de refus. J'ai plus que besoin de soutient. On prend les voitures pour aller jusqu'à l'église ou à lieu la cérémonie.
Le chauffeur s'est garé et on est descendu. Je suis directement aller voir mes frères, on s'est pris dans les bras. Et c'était trop pour moi. J'ai pleurer comme un bébé. Hakim m'a discrètement donner un mouchoir.
J'ai pris le temps de regarder sur moi. Les télés du monde entier sont là, la foule est là. Il y a je ne sais combien d'inconnu qui sont présent et qu'ils pleurent. Les deux corbillards arrivent et je me tient à Hakim. Il me serre sort dans ces bras. Le roi d'Espagne à fait le déplacement. Il a pris la parole avant qu'on observe une minutes de silences. Mes frères sont aller porter les cercueils et on est rentre dans l'église. Tous leurs amis, nos familles sont là. Je suis assises avec mes frères et Hakim est juste derrière moi. Sa main est toujours dans la mienne. Je suis incapable de le lâcher actuellement.
Le prête commence la cérémonie, les caméras filment la cérémonie. J'ai demander des écrans qui traduisent pour les français, ils sont mis de façon discrète.
Les discours commencent entre chaque temps de champs.
-On va accueillir Angelina, la fille de Pablo et Malik.
Je prend mes béquilles et mes feuilles et je vais prendre sa place.
-J'ai bien fait de ne pas me maquillé. je dis en espagnol. Je crois c'est ce qu'ils auraient voulu, il n'y a ici que les personnes qui ont comptais pour eux. Et étrangement, ça les résume bien. Des personnes de toutes origines, nationalités, métiers. Ils aimaient pas tellement les cases qu'imposent la société. Et on peut dire qu'ils les ont exploser. je dis en souriant. Enfant, je n'avais pas confiance, j'avais Daddy et papa, pas de maman, et pour moi c'était normal. Deux personnes qui s'aiment ont un enfant. Il n'y avait pas à épiloguer plus. Pourtant dès la primaire j'ai était montré du doigt. J'étais automatiquement différente. Alors j'ai demander pourquoi. Et mon Daddy, Pablo, m'a raconter l'histoire d'un papillon blanc, Mariposa. je dis en souriant. Mariposa, avant d'être une chenille, était un rêve. Elle était un rêve pour consolider une union, un amour sincère, un amour quelque peu impossible. Mais Mariposa est avant tout un rêve. Et tout rêve quand il est voulu est réalisable. Alors Mariposa est devenu réalité. Elle né mais elle était différente. Mariopsa était arc en ciel. je dis en souriant. Mariposa était arc en ciel et elle était espoir. Il avait terminer en disant mon nom. Angelina Carmen Mariposa Garcia. J'étais leur espoir d'être en fin eux même, j'étais leur espoir que les mentalités pouvait changer. Car deux hommes ensembles, ça fait pas d'enfant. Et pourtant. Je suis là. Ils m'ont toujours élever en acceptant la différence, en acceptant le jugement. Car quoi qu'on fasse on est jugé. On est dans une société, ou on ne peut pas être nous même. J'ai perdu. je dis en pleurant. Pardon. je souffle. J'ai perdu mes pères parce qu'ils étaient eux même. Parce qu'ils étaient heureux, parce qu'ils s'aimaient. Et parce qu'ils s'aimaient on m'a privé d'eux, alors que j'ai même pas 20 ans. Y'a quelques années maintenant, ils m'ont appris à marcher. Et là faut que je réapprenne à marcher mais sans eux. Honnêtement je sais pas comment est ce qu'on fait ça. je dis la voix casser. Mais je sais que parce que j'ai leur grandis avec eux, je saurais le faire. Parce que j'ai leur force. Et parce que j'ai pas le droit d'abandonner. Parce que ce qui s'est passer c'est que le combat que vous avez commencer en vous aimant est loin d'être terminer. Et parce qu'on est en 2018, parce que je suis Mariposa, je sais pas comment mais je vais faire en sorte qu'il avance. Papa, Daddy vous me manquez tellement. je dis en regardant le ciel les yeux plein de larmes. Je sais pas comment je vais faire sans vous, mais je vais le faire. Je suis bien entourée, vous avez pas à vous inquiétez. Je vous aimes fort.
Je m'arrête là, et je descend pour aller à ma place. Hakim reprend ma main et on termine la cérémonie. L'incinération à était ce qui m'a achever. J'ai jamais était aussi contente d'aller à l'hôtel. On a rejoins les garçons au réfectoire.
-Tu manges un truc? demande Hakim tout bas.
-J'ai pas faim.
-Je vais te prendre un truc.
Je suis sur mon portable et je suis sur Twitter. #Mariposa est en TT. Ca fait du bien de voir l'humanité, de voir du monde nous soutenir. J'en avais besoin.
-Tiens.
Il m'attendrit avec des Bueno. Je le remercie et je le mange. Je suis rester silencieuse et on est remonter dans les chambres.
-Hakim?
-Oui.
-Je peux pas rentrer.
-Je sais. il me dit. Je te connais. Et t'a place est là, avec ta famille. T'a besoin d'eux. Reste. Je vais rentrer et je vais t'envoyer ce que t'as besoin.
-Tu ne m'en veux pas?
-Bien sur que non. T'as besoin d'eux. C'est normal. Prend tous ton temps.
-Je t'aime, tu le sais ça?
-Je t'aime tout autant. il répond en m'embrassant.
On a fait nuit blanche tel des adolescents à parler de tout et de rien. Et j'en avais besoin, de penser à autre chose. Je suis chanceuse d'avoir quelqu'un de si compréhensif à mes côtés.
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Coup de foudre MEKRA
FanfictionIl était plus vieux. Elle était plus jeune. Et pourtant ils s'attiraient tel des aimants. Histoire finie.