Perdue- Inoxtag

10- joint

Je retrouve doc sur la terrasse alors que le reste de la villa est à la piscine.
Il regarde justement vers la-bas, les bras sur la petite rambarde, penchée vers l'avant.

Je me pose à sa gauche.
- on peu fumer sur la terrasse?
Doc- normalement non, mais si tu veux, fait le.

Il a une cigarette sur ses lèvre et moi j'ai mon joint sur les miennes.

- j'ai pas l'argent au complet. Il me manque 10 balles.

En même temps  je lui temps les 90 euro que je lui doit.

Il les prend de manière à ce que personne ne puisse se douter que je lui en donne. Le seul truc qui ne sais pas c'est qu'il y a 60 euro qui vienne de lui même. Je lui ai volé. Comme j'ai volé maxime pour les 30 euro restant.

Doc- comment tu les as trouvé?

- tu préfères pas le savoir.

Doc- sérieux, j'aimerais bien savoir.

- Quand je suis allé en ville, j'ai sucé deux mecs pour 100 balles.

Doc- t'es sérieuse ? Tu as vraiment fait ça ?

- en fait, c'est mon métier.

Doc- t'es sérieuse ? C'est trop dard.

Je me met à rire et il m'accompagne.

-je croyais pas que tu allais bien le prendre.

Doc- je croyais pas que tu allais rire.

Je finis mon joint.

- je vais allé les rejoindre en bas, tu viens ?

Doc- J'arrive.

- oh, euhh si tu pourrais le garder pour toi, sur ce que je fais, ça m'arrangerais.

Doc- T'inquiète.

Je descend et alors que je suis encore habillé avec les vêtements d'Inès, on me prend dans les bras et on me jette dans l'eau.

Elle m'engloutit comme une vague engloutirait une plume. Je me laisse couler dans le fond de l'eau. Je remonte avant que mes poumons ne se vide complètement de leur air et je prend une grande respiration en riant. Quelque chose me touche le bas du dos, quand je me retourne, je remarque que c'est Inès qui me tend ses bras pour que je m'y loge, ce que je ne me prive pas de faire. Je suis comme un koala accroché à sa branche. Mes jambe sont à l'entoure de son ventre et de son dos et mes bras son a l'entoure de son cou. Je le regarde dans les yeux et lui aussi. Nous nous éloignons un peu de toute cette joie collective pour essayer de se retrouver que nous deux. La piscine est petite on resend donc encore les vague d'eau, et pourtant, c'est comme s'il n'y a que nous deux à ce moment précis.

J'approche ma tête de la sienne, mais j'attends tout de même que ce soit lui qui engage le baisé, ce qu'il fait quelques secondes après. On entend alors un cris général plus fort que d'habitude. Ils le regarde tous, comme s'il avait fait gagner une médaille à son équipe. Je suis comme totalement effacé alors qu'il se rue vers lui et que je me détache de lui. Il lui donne une tape dans le dos. Je suis effacé, oublié, laissé tombé.

Je suis laissé de côté.

Je ne vais évidemment pas m'arrêter à cela.
Mais, je vais leur laisser leurs moment. Je m'assieds sur le bord de la piscine et j'enlève le sweet que j'avais sur moi et je me retrouve en tee-shirts nike blanc. Je garde les short a Inès et je regarde toute les personnes qui rit ensemble.
Tout est si harmonieux et si minutieux.
Chaque personne est à leur place et chaque personne sait quoi faire pour protéger le roi.

En réalité, je fais un peu tache parmi tout ce beau monde.
Alors que j'observe les gens, Inès se rapproche près de moi et pose des bras sur mes cuisse et il lève la tête vers la mienne.

Inox- Tu viens te baigner avec moi ?

- avec toi ?

Inox- oui, avec moi. Ou plus, avec nous.

- je veux bien me baigner avec toi.

Je me sui penché vers l'avant et n même temps de l'embrasser je me suis laissé tomber dans l'eau.

On sort notre tête de l'eau en éclatant de rire.

Quelqu'un met une musique Funk et alors qu'il la chante par cœur et que l'on saute dans l'eau, je me rend compte que c'est Inox qui la chante.

Je m'approche de lui et je lui dit,

- Elle est bonne ta musique, je l'adore !

Il sourit à cette remarque et il me prend dans ses bras.

On a finit dans le jacuzzi avec Inès, doc et ap0.

Je lutait contre moi même pour ne pas fumer, mais j'ai faillit. J'ai pris un joint et je l'ai consumé avec les autres à côté. Ça n'a surpris personne. Apolline m'a même demandé de tirer dessus. J'ai accepté gentillement.

Doc- Bon, moi je vais aller me coucher. Tu viens Appoline ?

Apo- Oui, moi aussi je suis crevée.

Je suis posé sur Inox et je n'ai pas bougé quand ils sont parti.

-tu veux essayer?

Je lui ais tendue mon joint en même temps. A ma grande surprise, il l'a prit dans sa main et j'ai levé la tête pour le voir et il a essayé. Il a toussé émédiatement après et il me l'a redonné.

Inès- toi tu arrives à prendre ça ?

J'eclate de rire suite à son commentaire.

Mia- maintenant, je suis habitué.

Inès- Et tu n'as pas peur que ça détruise ton cerveau?

Je me suis reposé de manière à voir le ciel.

Mia- Il y a bien un bon moment que je ne me soucie plus de ça.

Inès n'a pas su quoi dire de plus.

On est resté un bon moment dans le silence.

Il a repris le joint de mes mains et je le soupçonne d'avoir réessayé car un petit moment après, il c'est mis à tousser légèrement.
Je n'ai rien dit tous simplement, car je ne veux pas le faire sentir mal par n'importe quelles paroles que je pourrais prononcer.

Il a approché le joint de ma bouche et j'ai tiré dessus. Je me suis redressé pour l'embrasser et en même temps, j'ai soufflé l'air dans sa bouche.
Je me suis mise à califourchon sur lui et ma main est passé dans ses cheveux. Lui avait une des ses main sur le côté de ma tête, à moitié sur ma mâchoire et à moitié dans mes cheveux. L'autre main  a mis le joint je ne sais où et il l'a déposé sur mon bas du dos. Les baisés se sont allongés et les caresses se sont adoucies.

Ses mains se sont baladées sur mon Corp, et les miennes sur le siens. Au moment où tous a dû se concrétiser, il a enlevé ses main de sur moi pour les poser sur les miennes et j'ai compris. J'ai compris qu'il ne fallait pas aller plus loin. Je vois qu'il se sent mal de me demander d'arrêter à chaque fois.

- T'inquiète, je t'en veux pas. J'attendrai. Et si ce n'est pas avec moi, et bien c'est pas grave.

Inès- Merci.

Nous avons parlé pendant un bon moment, et nous sommes rentrés après 1 joint de plus.

- Bonne nuit.

Inès- Bonn nuit.

On s'endort bras dans les bras.