[MHA] Kesshôdan Kodama, Neveu De Stain- Terminé

Chapitre 40 : Down

Les dessins de cette fic sont tous de moi. Celui de ce chapitre a été très long à faire, j'ai mis 6 heures. En distanciel, j'ai la possibilité de dessiner mais pas d'écrire, alors je dessine Kodama.
Perso, je n'arrive pas à faire subir trop de chose à ce gentil garçon qui n'a pas de chances dans sa vie. Je le trouve assez triste aussi. Je ne sais pas ce que vous en pensez.

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J'ai mal et j'ai froid.

Je me sens vide.

Je n'ai aucunes forces.

Je n'arrive pas à voir autour de moi. C'est comme si j'avais quelque chose sur le visage.

J'entends des bruits, sans plus.

J'ai la gorge sèche, je n'arrive pas à émettre des sons autre que des gémissement.

Qu'est-ce qu'il se passe ? Où suis je ?

? : Garaki a dit qu'on devait l'enmener voir Sensei avant de pouvoir commencer.

? : tss toujours à nous de faire le sale boulot.

? : que veux tu ? Nous sommes nouveaux, comme ils aiment nous le rapeller.

Des gens ? C'est qui ça Garaki ?

On commença à me traîner sur un sol froid. L'espace entre les dalles abîmées me faisait mal.

Je gémis.

? : apparemment, enfin c'est ce que Toga dit, Dabi en aurait bavé face à ce gosse.

? : genre ! Le grand Dabi alias Crematorium!? Tu me fais bien rire. Avec l'alter de fou qu'il possède, je ne vois pas en quoi ?

Des éclats de voix beaucoup plus lointains me parvenaient. Je ne comprenais cependant pas ce qui se disait.

Moi : hmmm...

? : hey je crois qu'il se réveil...

Je reçu un coup dans la tête.

? : mais non regarde crétin ! Il ne bouge pas d'un pouce !

Au bout de quelques secondes, j'entendis quelqu'un toquer. Puis une porte grinça et on recommença à me traîner au sol.

? : Sensei voici le garçon à l'alter de sang.

Sensei : très bien. Rapprochez le. J'ai besoin de le toucher. Quant à vous quand je m'occuperai de lui, reculez.

Me toucher ? Non ! Je ne veux pas !

Les deux personnes m'avancèrent. Malgré ma faiblesse générale, j'essayais de me débattre en vain avec l'énergie du désespoir. J'ai alors constaté que j'avais les pieds et les mains liés. J'essayais alors de crier en vain, quelque chose m'empêchait d'ouvrir la bouche.

Une main rugueuse me toucha mon menton, caressant ma joue.

Sensei : tu es très fort et résistant mon garçon. Nous avons choisi le camp d'été car nous avions prévu ta fatigue. Malgré tout, on aura perdu pas mal de monde à cause de toi. Stain t'a bien entraîné sois en sûr. Dommage que je ne puisse pas faire de toi un Nomu. Vraiment dommage... Cependant vois tu, tu me sera, tout de même, grandement utile petit veinard.

Les bras qui me tenaient précédemment me lâcherent. La main de la personne qui venait de parler se mit alors sur mon front et une chaleur cuisante m'envahit. Mon corps entier semblait se consumer. Ma respiration se coupa. Mes poumons privés d'oxygène ne me brûlaient que peu comparé au reste.