[MHA] Kesshôdan Kodama, Neveu De Stain- Terminé

HS : Espoirs

Ce hors serie se passe juste après le chapitre 49.

Pdv Denki :

Mes mains tremblantes passe là où Kodama à tenter de me frapper mortellement.
Je le regarde les yeux écarquillés au moment où il glisse au sol.

Hors de moi, je prends son col et hurle. Je le secoue comme un fou en quête de réponses.
Les yeux fermés et le corps mou, il ne réagit pas.

Moi: KODAMAAAAA !!!

Ses cheveux bougent légèrement sous la brise.

Moi : POURQUOI ! EXPLIQUE MOI !

Une main se pose sur mon épaule pendant que je hurle à la mort.

Aizawa : c'est terminé. Viens avec moi maintenant.

Moi: non je veux pas... Pas comme ça...

Aizawa détourne le regard sur le corps à côté de moi.

Je pose mes mains sur son sternum et appuie en rythme. Aizawa se penche vers moi.

Aizawa : viens. Ne t'acharne pas. C'est finit. Il a déjà déjoué le diagnostic des médecins en survivant aussi longtemps.

Au moment où Aizawa commence à me tirer en arrière, j'entends un souffle. Je repousse mon prof et collé mon oreille au torce de mon ami.

Moi: il respire ! Il respire !

Aizawa : arrête de délirer...

Moi: regardez sa poitrine !

Aizawa lance un regard et prend le poignet de Kodama, toujours immobile au sol.
Sans un mot, il le prends dans les bras et cours vers les camions d' ambulances.

-_-_-_-_-_/:/:\:\:\_-_-_-_-_-

Quelques jours plus tard

Je suis dans la voiture de mon cher professeur principal quand nous arrivons devant l'hôpital. Une fois garé, nous y rentrons et allons à l'étage des soins intensifs. Arrivé devant la porte à code du service nous attendons. Un infirmier nous rejoint puis un docteur fait son apparition. Je n'écoute pas ce qu'ils se disent avec mon prof.

Au bout d'un certain temps, nous sommes emmené devant une grande vitre et une porte gardée par un policier. Mon regard dévie jusque dans la pièce.

Il est là, branché à toutes sortes de tuyaux et câbles. Les machines qui montrent ses constantes clignotent souvent en orange. Ces signes vitaux sont bas. Je regarde alors la tête aux cheveux gris qui dépasse des draps d'un blanc de nacre. Un gros et un petit tube sortent de sa bouche. Sa peau blanchâtre se font dans le décors.

Je lève ma main bandée et la pose sur le verre froid. Il est là, si près...

392 mots