El'hadj Nabil Sarr
Je raccompagne tout le monde après leur avoir remis une belle somme, là encore, j'ai eu droit à des remerciements interminables.
Enfin seul avec ma femme, ma femme, cette phrase ravit le sentiment de possessivité que j'ai toujours eu à son égard, j'adore le prononcer.
Je vais en chambre et la trouve toujours assise sur le lit.- J'ai eu un mal fou à les faire sortir, enfin pas que je les chasse, mais le désire d'être seul avec ma femme me pesait, dis-je en entrant dans la chambre.
- Mhhhh !
- On a perdu sa langue bébé ? La taquine-je.
- Qui prrr jamais.
- Ok ok !
- Va faire tes ablutions, je t'attends pour la prière. Je descends récupérer le lait et les fruits que j'avais préparés avant son arrivée. Je remonte en chambre et la trouve déjà prête.
Nous nous plaçons en direction de la Qibla. Je guide la prière jusqu'à avoir fini d'exécuter nos 2 rakats.
- Allâhoumma innî as alouka khayrahâ, wa khayra mâ jabaltahâ 'alayhi. Wa a'oûdhou bika min sharrihâ wa sharri mâ jabaltahâ 'alayhi.
(mon Seigneur, je te demande ce qu'elle a de bien, le mieux de son caractère , et te demande de me protéger contre son mal et le pire aspect de son caractère).Je lui fis un bisou sur le front et la soulève avec douceur afin de la déposer sur le lit. Je m'installe à mon tour.
Je prends le verre de lait et le dirige à ses lèvres. Elle entrouvre la bouche afin de goûter. J'y plonge une fraise et la lui mets dans la bouche.
- Mhhhh ! Trop doux, murmure-t-elle les yeux fermés.
- Tout comme toi ma douce, dis-je en lui caressant la joue.
- Je veux aussi t'en donner passe moi le lait. Nous dégustons le petit apéritif, oui apéritif car je compte déguster son corps dans l'amour et la bonne humeur. Je viens recueillir ses lèvres quand elle me stop.
- E-euh, je dois... En fait...J-je doit euh aller pisser voilà, c'est ça pisser hihihi. J'éclate de rire devant sa mine gênée alors qu'elle s'enfuit dans la douche.
Dalida s'est enfuie dans la douche depuis maintenant 30 minutes. Je ne voulais pas la brusquer, je suis donc resté sur le lit torse-nu à manipuler mon téléphone. La porte de la salle de bain s'ouvre ce qui me fit relever les yeux et la vue que j'ai devant moi est la plus belle que je n'ai jamais vu en 32 ans d'existence. L'effet se fait sentir immédiatement dans mon jogging.
- Putain ! Elle est en nuisette rouge transparent, un nœud au niveau de ses magnifiques seins, des fentes sur chaque côté qui dévoile un peu son dessous. T'elle une déesse Aphrodite, pour ça, l'attente en valait la peine. Elle se tient devant moi avec ses courbes délicieuse, c'est une chose de voir ses formes lorsqu'elle est habillée, mais là, exposée totalement à moi, c'est trop pour mon cœur. Ma bouche est en Ô depuis qu'elle a ouvert cette porte.
Elle baisse les yeux et se cache les seins à l'aide de ses mains sûrement gênée de mon silence depuis, je ne sais combien de minutes.
Je me lève et m'approche d'elle lentement tel un tigre qui guette sa proie. Je lui relève le menton et la dévore des yeux de haut à en bas. Magnifique !- N'aie pas honte de ton corps mon amour, tu es magnifique. Me fais-tu confiance ?
- Aveuglément.
Je fonds sur ses douces lèvres charnues. Je ne me rassasierai Jamais la sensation de ses lèvres sur les miennes, mon ventre se contracte, nos souffles se confondent dans un baiser harmonieux, nos lèvres heureuses de se retrouver se mouvent dans une danse endiablée. Je me repais de ses petits gémissements qu'elle pousse à chaque fois que je mordille sa lèvre inférieure. J'essaie de lui faire ressentir tout mon amour et l'ampleur de mon désir à travers cet échange buccal plus qu'érotique.
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Le Pouvoir De L'amour
Romance« Tu es mon oxygène » Dalida décide de quitter sa belle Côte d'Ivoire où elle est née et a grandi pour s'installer à Dakar auprès de son père et de ses frères. Au détour d'une ruelle, sa vie changea. El'hadj est un homme d'affaires accompli qui s'e...