Chapitre 40- Pretty...? Hot !

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Hello :)

Dans ce chapitre, Al s'affirme et décide de se battre. Vous allez enfin pouvoir voir une partie de l'ancienne  Alexandra, Celle qui n'a peur de personne. Dîtes moi ce que vous en penssez ! Aussi, si vous voulez un apperçu d'une scène, une photo d'un moment a poster sur instagram , tenez moi au courant! 

Ne soyez pas silencieux , vous savez qu'avoir des "lu" et aucune impressions sa me tue ! D'ailleur, je voulais vous remercier car Another Story à de plus en plus de lecteurs ! Vous êtes Geniaux ! 

XoXo

-A

- - -

Quand le chauffeur arrêta la voiture devant la maison des Reevers, je sentis en moi de l’anxiété naître. Et si c’étais Paul qui ouvrait la porte? Que dirais t’il ? Il serais fâché avec moi non?
Un major d’homme ouvrit la porte.
- ..Et que le show commence ! ma grand mère fit, en souriant
- Pourquoi es ce qu’on dirais que tu aime ca ?
- Parceque c’est vrais ! maintenant ma chérie, Ignore tes problèmes. Tout ira bien. ET N”OUBLIE PAS : Garde la tête haute !

Nous entrâmes dans la maison ou étaient réunis pleins de personnes que je n’avais jamais rencontré. Certaines d’entre elles me reconaissèrent, donc je leurs dit bonjour. Ensuite, ma grand mère et moi continûames a marcher. Je vis finalement mes parents. Mon père portais un costume bleu marin et ma mère portais une roble longue de couleure rose pastelle avec un chignon et des éscarpins. Bien sure qu’elle étais magnifique, Soudainement, je sentis quelqu’un me prendre la main. Je me retourna. Mila.
- OMG ! Ohmondieuohmondieuohmondieu! AL ! tu es venue ! Je n’arrive pas a y croire ! Es ce que je rêve ? Frappe moi ! … Non… en fait, ne me frappe pas.
- Mila ! dis je . Elle étais superbe. Elle portais une robe verte longue qui mettais en valeur ces coubes.
- C’est tout ? c’est vraiment ca ta réaction envers la future marié ? Maintenant je suis celle qui va te frapper. Es ce que Paul sait que tu es la ?
- Non… Je veux dire… C’est pas comme ci ca allais changer ca vie de toute façon.
- Pourquoi tu parles comme ca ? Qui d’autre sait que tu es la ?
- Ma grand mère?
- SEULEMENT ta grand mère ? pourquoi ?
- Parceque… c’est une surprise. Pour tout le monde. Météo m’a fat venir et…Taadaaaaaa!
- Ok. je comprends. Je suis contente de te voir. J’allais prendre la cousine de Mickael pour te remplacer et je ne vais te dire qu’une seule chose a son propos : Il n’y avait aucune possibilité que ta robe aille a un seule orteilel de son corp.
- C’est méchant Mila.
- Attends de la voir… Tu veux quelque chose a boire ?
- Bien sure !

Je la suivit jusqu’au bar ou je comenda un Vodka-Cramberry. Et ce fut la que je le vis. Paul. Avec son allure irréprochable et tout le reste. Pourquoi devait il être aussi beau?

- Es ce que vous comptez vous regarder bizzarement tout le reste de la soirée ou alors es ce que le plus courageux va dire un mot ? Je commence a m’ennuyer… OH mon dieu ! Amaretto ! Mila fit en trottinant vers la première serveuse qu’elle vit.

Elle avait raison. C’étais ennuyant. Je le regardais toujours et après il me demanderais ce que je faisais ici et pourquoi je ne lui avais pas dit que je venais … ensuite il ferais comme ci tout va bien alors que secrètement , il me haïrais parce que je ne lui disais pas tout. Je connaissais cette chansson par coeur. Je devrais faire quelque chose, être normale, Executer le plan de Rosa.

- Paul ! Désolé ! J’étais entrain de me dire a quel point tu étais mignon dans ce costume…
QU’ES CE QUI NE VA PAS CHEZ MOI ? Ce n’est pas être normal ca AL !
- Mignon ? me demanda t’il d’un ton bizzare
- J’ai dit mignon ? je voulais dire… tu sais… Beau Gosse !
Bravo Alexandra… Bravo.
- Beau… Beau gosse ? Pourquoi es ce que tu me dirais que je suis Beau gosse?
- J… ben… Je ne sais pas !
Il me regardais de plus en plus bizzarement
- En tout cas… hum… SURPRISE !
- Es ce que la raison pour laquelle tu es ici est VRAIMENT une surprise ?
- … Oui ! Tu ne peux pas être content ?
- Je SUIS content. je suis actuellement très content de te voir Al.

Un couple nous interrompis pour dire bonjour a Paul pendant que je restais silencieuse. Après quelques secondes, la femme me regarda avec un sourire et redirigea ces yeux vers Paul.
- Es ce que c’est ta petite amie ?  fit elle en l’interrompant
Sa tête se tourna vers moi
- Qui ? Al ? fit il en me prenant la main pour me rapprocher de lui
- Non … nous sommes juste amis…répondis je en lui souriant
- Ouais… Juste amis… répéta t’il en me regardant toujours
- Je devrais probablement vous laisser parler. Je vais aller finir de dire bonjour a tout le monde. On se voit plus tard accord ?
- D’accord ! me répondit il

Me séparer de sa grande main chaude était dure mais je m'en sentais obligé. Cette conversation était definitivement quelque chose… Plus particulierment définitivement bizarre… Mais je préfère un conversation bizzare avec lui que de ne pas lui parler du tout. Je n’arrive pas a croire que je lui ai dit qu’il étais mignon d’ailleurs. Mon dieu… Il n’étais même pas beau gosse. Il étais le plus canon qu’un canon peut être canon. Es ce que ca fait du sens ? Daccord, Je devrais probablement calmer mes hormones avant de parler a mes tres cher parents qui venaient vers moi.

- Mon poussin ! Quelle surprise ! … Papa dit en prenant dans ces bras … c’est bon de te voir !
- Comment vas tu ? continua ma mère
- Je vais bien… je veux dire… Ce n’est pas comme ci je m’étais fait renversé par une voiture !
Leurs sourire s’éffaca
- Bien sure que tu es faché avec nous ! Je le savais ! fit ma mère
- Alexandra ce rendez vous était vraiment important pour nous. Tu ne peux donc pas comprendre ca ?
- … et Matéo aurais pu mourir il y a tout juste 4 jours. Vous ne pouvez donc pas comprendre ca ?
- Ecoute. On s’est exusé au pres de lui. Il va bien maintenant. allons tirer un trait sur ce qu’il s’est passé s’il te plait ?
- tirer un trait ? Je ne voulais pas “tirer un trait “ quand vous nous avez laissé seul le jour de noël et je suis VRAIMENT loin de tirer un trait sur ce qui c’est passé.
- Alors pourquoi es tu venue ici si tes plans sont de nous hair ?
- Pour les gens que j’aime maman. je suis venue ici parce que Matéo m’a appris que les gens qui se font du soucis pour moi existent contrairement a l’exemple que vous m’avez donné.
- Que pouvons nous faire pur être pardonner ?
- et ben.. Y’avais ce truc que Matéo et moi avons vu a l’hôpital …
- Dis moi… le prix ne compte pas !
- Tu ne peux pas l’acheter papa. C’est ce qu’une mixture d’affection, d’amour et de joie donne. Ca s’appelle l’amour… tu en as déja entendus parler ?
- Alexandra ! gronda ma mère  … es ce que c’est la une facon de nous parler ?
- laissez tomber.

Je partis. Je chercha le bar ou j’avais laissé mon cocktail. Sur le chemin, je vis les parents de Paul, Mickael et l’amie de ma grand mère qui étais elle aussi convaincue de me faire sortir avec son mystérieux petit fils, Théo , qui étais nulle part en vue. Après avoir pris mon verre je visita la maison de Paul. Elle était superbe. Tout étais moderne et chaques chambres avait sa touche personnelle. Je stoppa mon petit tour improvisé de la maison dans la chambre de Paul. Par le simple geste d’ouvrire la porte, je sentis son odeur. Mon coeur commenca battre plus rapidement. Paul étais en bas… alors pourquoi me manquais t’il ? Je m’assieds sur son lit et m’allongea sur le dos. Regardant le plafond, je commenca a penser a toutes sortes de choses. Tout d’abord, mes fesses me faisaient toujours mal. Même si ce n’étais qu’une petite chute, ca me donnait envie de pleurer. Et si c’étais un signe ? Et si je ne devais pas venir ici ? Je suis contente de passer plus de temps avec ma grand mère qu’a New York mais et je ne me sens pas au bon endroit. J’ai l’impression de ne pas avoir ma place.

- Une fille aussi “mignone” que toi ne devrais pas faire une tête aussi triste… Je m’assieds pendant que Paul entrais dans la chambre… Pas mignonne excuse moi… Canon. Je voulais dire Canon.
Je rigola, en essayant de ne pas rougir.
-… daccord je dois dire que j’étais assez bizarre tout a l’heure.
- Pourquoi ? C’est moi Alexandra… je ne pense pas être un simple inconnu pour toi ?
-Pas du tout Paul… après tout ce qu’on a traversé et … tout ce qui c’est passé…. je ne sais pas… je ne voulais pas que tu sois froid avec moi parceque je ne t’ai pas dit que je venais. je ne voulais pas que tu te fache et … tu as pu voir ce que ca a donner...
Il s’assied a coté de moi.
- je savais que ce n’étais pas une surprise. La raison pour laquelle Matéo ne t’a pas appelé aujourd’hui est parceque il m’a appeler en premier pour ME demander comment tu allais. Je dois admettre que j’étais confus. J’avais peur que son cerveau est gardé des dommages parceque … CLAIREMENT, je n’étais pas a New york et tu n’étais pas ici avec moi non plus. Je resta silencieuse… Il pensait que tu viendrais me voir juste après l’aterissage et ...pour être honnête, moi aussi.
Je leva les yeux au ciel. Je ne pouvais vraiment pas attendre le jour ou Matéo quitterais l’hôpital.
- L’avion a attérit a 3 heures du matin ! protestais je
- C’est pas un problème ! je serais venu et t’aurais chercher a l’aéroport si tu me l’avais demander.
- Ma grand mère m’attendais!
- Je serais venu chez elle !
- AT 3 HEURES PAUL ?
- OUI !
- ....et tu aurais dormis quand ?
- S’il te plait… Ce ne serais pas la première fois que nous aurions partager un lit ensemble Al… tu as d’autres éxcuses ?
- je…. Je ne voulais pas t’embetter…
- Tu rigoles ? Tu ne m’embettes jamais Al  ! Qu’importe le jour, l’heure … je m’en fou. Tu ne m’embêtes jamais.
Son visage étais maintenant près du miens. Je pouvais a peine respirer de l’effet que ca me faisait.
- C’est bon a savoir… je suppose… baraguinais je

J’etais complètement perdue dans ces yeux. Je voulais toucher son cou, ces joues… ces lèvres. En penssant au plan, je tourna ma tête du coté opposé à son visage, en cherchant quelque chose de totalement ennuyant a dire.

- Qu’es ce que tu fais ici d’ailleurs ? tu n’as pas d’invités a recevoir ?
- Ma soeur a des invités a recevoir. J’étais fatigué de dire bonsoir.
- Je vois…
- Et toi ?
- Je me sentais seule. Mes parents me saoulent, tout comme ma grand mère et son amie… et mes fesses me font mal! … il me regarda avec imcompréhenssion … je suis tombé sur les fesses en montant Joyce. Cette jument est devenu une petite garce sensible.
- Paul ! Alexandra ! A table ! fit Norah en passant sa tête a travers la porte… Je vous ai assis ensemble , comme d’habitude !
- Merci Norah !
- On arrive dans quelque secondes Maman ! Fit Paul en lui souriant
- D'accord vous deux ! … Ne me faites pas revenir !

Another Story.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant