Chapitre 4 - The liar.

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Le bruit assourdissant de mon réveil m'arracha péniblement à l'une des première nuits ou j'avais bien dormie. Mais ce matin, je trouve une vrai raison pour me revéiller : Paul.

 Je sais qu' aujourd'hui j'allais trouver une source de lumière dans ma journée...Enfin... je l'esperais.

 Aussitôt, j'enfilait une jupe noir , un chemisier ,une veste , un serre tête avec mes chaussures à talons . Matéo somnolait encore au dessus de son bol de céreal plein , sous le regard désaprobatif de Rosa , qui avais du comprendre qu'il avait beaucoup bu hier soir.

 -       Bonjour Rosa!  dis je avec un grand sourire

 -     Hola chica ! tu es de bonne humeur ce matin ! observa t'elle

 -       Ca nous change. lacha mateo d'un coup sec .

 -       On s'est levé du mauvais pied ce matin ? lui dis je avec une voix joyeuse ( juste pour l'ennuyer)

 -   Parle moins fort et va étaler ta bonne humeur hors de la cuisine. me dit il en mettant des lunettes noires.

 -    Mateo mangez ! lui ordonna Rosa Vous devez prendre des forces,entrainement plus  tard , très intensifs !

 Mateo la regarda et se contenta de se lever et de me voler la tasse remplie d'un espresso caramel que je venais de me faire.

 Je me préparais à la reprendre en protestant lorsque Rosa nous signala en regardant sa montre que la voiture nous attendais en bas. Matéo avait de la chance aujourd'hui.

 Il faisait plutôt beau. Le doux vent d'automne commençais à souffler et je me sentais plutôt bien.

Arrivé au lycée , je fit un tour par la bibliotèque pour emprunter un receuille de poèmes pour ma prochaine classe.

 Le cours de francais était le plus drôle. Notre professeur, persuadée de parler couramment le francais, s'énervais à chaque fois que Paul moi ou Matéo la corrigais sur ses terribles fautes de prononciation et d'orthographe. Heureusement, Elle n'avait jamais cours avec nous tous en même temps. Matéo avait un autre horraire.

 Mateo et moi parlons couramment francais. Depuis petits nous voyageons entre paris et NY avec ma mère. Au début c'étais paceque nous étions trop petits pour rester a NY seul lorsque mon père était en voyage d'affaire,  Mais au fur et à mesure nous nous sommes liés aux gens avec qui travaille ma mère. Lorsqu'elle était trop occupée à travailler ,c'est a dire tout le temps , Rosa et moi faisions du shopping  dans mon magasin préféré de l'époque ou je collectionnais les ballerines, Repetto. Pendant ce temps ,Matéo passais ces journée avec son meilleur ami, Christopher en stage dans un club de foot pour Junior.

C'étais en quelques mots nos vaccances d'enfance. Et puis avec le temps nous nous sommes interessé à plus grand : Monte Carlo , Cannes , et la Provence.

 En 1 ere heure , EPS et donc , cheerleading.

 Sans me poser de question je me mis en derniere lignée, souriant a  Paul qui me fit un clin d'œil a l'autre bout du terrain, ce que je pris pour une bonne nouvelle.

  -       Très bien les filles , voici l'enchainement suivant à réaliser pour le prochain match . cria eisley afin que tout le monde puisse entendre .

 La démonstration était absurde. On levait à peine les bras !  En effet, pas de pirouettes ou de pyramides, un sauté en avant et un long slogan : tout cela ne fit que démontrer ce que j'espérais être faux : elle ne sais pas faire de chorégraphie et pire, elle n'y connais rien.

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