J'étais de retour a la soirée. Tout le monde s'amusait, sauf moi. Je me dirigea vers Matéo qui roulais des pelles a Suzanne. Mon choc fut énorme. Quand ils me virent ils me regardaient d'un sourire moqueur.
- on peut faire quelquechose pour toi?
- Es ce que Léa sait ?
- on s'en fou de Léa ! répondit Poppy.
- occupe toi de ce qui te regarde ! ca ne m'étonne pas que vous vous voulliez la foutre dehors de votre équipe. elle ne sert a rien. dit il en s'adressant a Suzanne
- je te l'avais dis !
Puis ils continuerent leurs roulages de pelle Extreme.
Je me dirigea vers Poppy , qui était avec Carter.
- Vous avez parlez a Suzanne ? qu'es ce qu'il lui prends?
- oh elle doit juste en avoir marre de toi, tout comme nous !
Il commencèrent a rigoler. Je ne resta pas plus longtemps. je ne comprenais pas ce qui se passais. Je marchais dans un couloir très sombre. C'ést après avoir réajusté mon costume qu'une main me tira dans un coin noir. La personne, Paul, commenca a m'embrasser de pleine bouche. Il me plaqua contre un mur de fassant violante,et, tout en m'embrassant , me toucha les fesses.
- PAUL ! lui dis je en le repoussant
- quoi ? me dit il en rigolant
- tu ne peux pas faire ca !
- c'est juste un jeu alexandra ! me dit il d'une voie moqueuse.
- juste un jeu ?
- tu crois vraiment que MOI, je suis capable de ressentir quelque chose pour...TOI..? HAHAHA ...non tu te fais des idées ma pauvre !
- Mais ...je....
Puis je commenca a entendre des rires, des doigts se pointaient sur moi.
BIIIP ! mon téléphone me ramena a la réalitée. Celle d'une chambre d'hotel refroidit par l'air conditionné et d'une fille seule et triste. MOI.
Je grogna dans mon oreiller.
Je me reveilla aussi vide que la veille. Je n’avais pas envie d’afronter la réalité. Bien que les volets etaient fermés, arivaient dans ma chambre de fins faisceaux de lumière jaune. J’entendais des petits frappements contre la fenêtre. Il devait sans doute pleuvoir. Je me forca a sortir du lit et me débarbouilla le visage. Je penssais avoir dormie une nuit étant donné le noir dans lequel je m’étais plongée . C’est pour cela que je n’en revint pas quand je vis inscrit sur l’écran de mon téléphone déchargé qu’il était deux heures de l’après midi.
Et maintenant? Penssais je silencieusement.
Je n’avait pratiquement rien avec moi. Pas de chaussures, pas de vetements. J’avais l’impression d’être une fugueuse devant recommencer une nouvelle vie. Je ne comptais pas retourner chez moi de si tôt. Je tenais a ne pas les revoirs, a ne pas leurs parler.
Bien heuresement , ma plus fidèle amie était avec moi , toujours.
Non, je ne me suis pas faite de nouvelle amie en une nuit, je parle de ma carte de credit.
J’enfila la tenue que j’avais préparé pour la fête, une robe de couleur rouge , ( réference a la couleur des tigers ) et des escarpins noirs. Je ne pris avec moi que mon porte feuille qui me servit de pochette, et mon téléphone. Le sac de sport aurait cassé la tenue. J'ai beau être déprimé, je tiens encore a mon apparence.
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Another Story.
Подростковая литератураCela faisais environ trois mois que j'étais partie, et je suis désormais de retour. Pourtant, me réintégrer dans mon ancienne vie n'est pas chose facile. Mon petit copain n'est plus plus mon petit copain, mes amis ne sont plus mes amis et Paul...dis...