𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝟑

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Bonne lecture <3


Pdv de Stella :


Tony : Je veux juste te montrer qui a le contrôle entre nous deux. Je prends quelques secondes pour analyser ce qu'il vient de me dire.

Moi : Tu n'as aucun contrôle sur moi Stark. Si tu avais un semblant de contrôle sur moi ça serait peut-être sur ma patience.

Tony : Ah bon que sur ça ?

Moi : Tu veux que je te dise quoi ? Tu n'auras jamais aucune sorte de contrôle sur moi, à moins que tu en rêves la nuit. Dis-je avec un petit rire moqueur. Il se releva du bord de son bureau pour se mettre vraiment devant moi. Je ne reculerais pas, tu ne m'impressionnes pas. Dis-je pour le défier.

Tony : Je n'ai pas prévu de m'arrêter de m'avancer. Je lève les yeux au ciel en comprenant où il veut en venir. Il ne me rend pas les choses faciles. Au fond de moi je le déteste, mais l'avoir à moins de cinquante centimètres de moi, sentir son parfum tout ça combiné à son foutu charme. Cependant je sais moi aussi user de mon charme, donc s'il veut jouer à ce jeu là, pas de soucis je peux y jouer aussi.

Moi : Je veux que l'électricité soit remise dans tout mon immeuble dès que j'aurais remis les pieds à l'intérieur. Soufflais-je alors que l'on était plus qu'à une vingtaine de centimètres l'un de l'autre. Je reprends mon sac et sors en prenant soin de bien claquer la porte au passage. Je peux jurer l'avoir entendu ricaner mais je n'ai pas le temps pour ses conneries. Il m'a déjà fait perdre un temps précieux.



Thomas :

Tout l'immeuble est de nouveau alimenté, le problème a été réglé.


Moi

Merci, j'arrive dans 5 minutes.


Je retourne dans mon répertoire pour trouver le numéro de Stark. 


Moi :

Comme quoi tu as bien fais de vouloir me montrer qui avait le contrôle entre nous deux, on sait que c'est moi maintenant.


Tony :

Darling, je peux faire ce que je veux quand je veux, ne crois pas avoir le dessus.


Je lève les yeux au ciel en lisant le petit surnom qu'il m'a donné. Je le hais.

 
Quelques heures après ma dispute avec Stark je suis de nouveau interrompu mais par Steve. J'enregistre mon travail et décroche mon téléphone.



Conversation téléphonique :


Steve : Salut Stella, je suis en bas. Je peux monter ? Demanda t'il.

Moi : Oui bien sûr, dernier étage comme d'habitude.

Steve : J'arrive.

𝑺𝒍𝒐𝒘 𝑩𝒖𝒓𝒏Où les histoires vivent. Découvrez maintenant