𝑺𝒍𝒐𝒘 𝑩𝒖𝒓𝒏

𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝟑𝟗

Hello alors j'espère vraiment que ce chapitre va vous plaire ! Il est plus long que d'habitude (presque  1000mots de plus que d'habitude). 
J'attends vos commentaires avec impatience !!

Bonne lecture <3

Pdv de Stella :

-Toi et Tony ? Je croyais avoir déjà eu la vraie sensation du « mon sang se glaça » mais je ne l'avais jamais vécu jusqu'à ce que j'entende la voix de ma mère aujourd'hui. 

Je tourne la tête en me séparant de Tony qui me tenait fermement. La tête de ma mère se décomposa en voyant que c'était bien réel et je pense que de notre côté on doit avoir l'air de deux ados qui se font surprendre.

Moi : Maman ça n'est pas du tout ce que tu crois on...

Mary : J'ai vu assez pour savoir que c'est effectivement ce que je crois.

Tony : Mary on...

Mary : Toi tu ferais mieux de partir. Stella je vais chercher ton père et on va en parler.

Moi : J'ai vingt cinq ans, on ne va pas en parler comme si j'en avais seize !

Mary : On va en parler maintenant. Elle partit rapidement à la recherche de mon père dans l'autre salle et là je suis partagée entre l'envie de paniquer et de rire.

Moi : Je suis dans la merde.

Tony : On est dans la merde. Je devrais y aller d'ailleurs sinon ton père va me tuer de ses propres mains ici.

Moi : Tu vas vraiment me laisser seule ici ?

Tony : T'as une autre solution. Dit-il en souriant en coin. J'attrape sa main et on part presque en courant jusqu'à sa voiture où son chauffeur se trouve déjà. T'es sûre de vouloir faire ça ?

Moi : Je suis majeure après tout, ils ont le droit de mal le prendre, mais je fais encore ce que je veux ! Dis-je en m'installant. Il sourit et referma la porte derrière lui.

Tony : Je serais toi je couperais mon téléphone. Je baisse les yeux vers celui-ci et vois que ma mère est déjà en train d'essayer de m'appeler. Je sais que ça ne se fait certainement pas, que mon comportement peut-être lâche ou stupide, mais ça a été tellement dur d'en arriver à cette relation avec Tony que je ne veux pas que quelque chose vienne le gâcher. Je sais cependant que je vais forcément devoir faire face à mes parents à un moment car Tony reste un homme de quinze ans de plus que moi et leur ami.

Moi : Ils savent où tu habites ?

Tony : C'est pour ça que l'on ne va pas chez moi. Dit-il en souriant. Ma curiosité fut vite piquée.

Moi : On va où ?

Tony : C'est une surprise.

Moi : Tu devrais savoir que je déteste les surprises.

Tony : Pas quand elles viennent de moi. Je tourne ma tête vers la fenêtre pour ne pas qu'il remarque mon sourire mais je crois que c'est peine perdue. Je te vois sourire tu sais ?

Moi : Je souriais pour la vue.

Tony : Bien sûr. Il m'attira contre lui et je ne fais rien pour l'en empêcher. Notre relation évolue de jour en jour et ça ne me déplait plus du tout.