********* Partie 3**********
(Petite fille incomprise)
Quand mes parent on appris pour ce qui s'était passé entre Nassim et moi. Voilà ce qui on ont conclu, petite pétasse que j'étais pour eux c'était moi et mon comportement de pute avec mes fringue de pute qui avait chauffé Nassim, tout était de ma faute si je n'avais pas était celle que j'étais alors Nassim m'aurait jamais fait ça. Que ce qu'il m'avait fait je le méritais celons eux.
Je le méritais et en plus de ça je méritais une punition supplémentaire. Une punition j’appellerai moi plutôt ça une condamnation ! Je voyais mes rêves de m'en sortir un jour s’anéantir sous mes yeux.
C'est moi et non Nassim qui a payé ce que lui m'avait fait ! J'ai été battu et séquestré pendant plusieurs jours chez moi, en plus de la souffrance physique on m’attribuai une souffrance moral, me rabaissé sans arrêt, avec des insultes qui faisait mal à entendre pour la jeune fille fragile que j'étais des insultes du genre "Pute" "salope", "allumeuse", "bâtarde" et j'en passe des pires. Tout ses injures qu'on me balançait à tous va, tous ses coup qu'on me donnait, m'ont affectées autant moralement que physiquement, Je ressentais de la honte et de l'humiliation envers moi même.
Dans ma tête à ce moment là c'était l’incompréhension total, et puis surtout je me suis mise à culpabilisé, et j'ai fini par les croire et me dire que oui je méritais tous ça, que tout était de ma faute et si Nassim avait essayé de me "violer" ce n'était pas par hasard mais peut être parce que je l'avais cherché, même voulus, sa peut paraître fou mais c'est ce qui on réussi à me faire penser de moi même.
Je m'en voulais alors d'être celle que j'étais, à un point que j'ai préféré me taire au lieu de me révolter et accepter mon sort, celui d'être marié à un mec de cité que je ne connaissais pas... Le refus je n'y est même pas pensé.
Les jours passés et je changeais petit à petit de comportement d'abord, je me faisais plus discrète et me soumettais encore plus. Mais j'étais rongeais par de la rend cœur, entre l'injustice que je faisais preuve et la culpabilisation que je ressentais, j'étais complètement perdu !
Mais ce qui a déclenché mon changement radical s'est produit un peu plus tard dans l’année.
Je souffrais beaucoup de ce que j'avais été victime et la nuit ou quand je me retrouvé seule je me mettais soudainement à pleurer et ressentais une certaine haine envers moi d'abord et le reste de ma famille, et enfin envers Nassim ! Sa me rendais folle que lui n'ai pas payer ce qu'il m'avait fait ! A cause de cet état là j'ai complètement raté mon bac de français cette années là et je me suis récolté de mauvaise notes !
Quand mes parent on vu ça, mon père m'a dit:
Lui- Puisque tu ne veux pas travailler à l'école, alors je vais m'occuper de ton cas au plus vite, crois pas que je vais te laissé faire la folle !!
Au début j'ai pas trop compris ce qu'il avait voulus dire par là. Mais comme je connaissais bien mon père je crainiais pour moi le pire. Et je ne pensais pas si bien dire. Mais enfaîte ce que voulait dire par là mon père c'est que mon mariage n'était plus pour trop longtemps, il fallut vite qu'il me case avant que je ne sois plus vierge! Mais parent avait peur que je ne perde ma virginité avant d'être mariée pour eux ça serait la honte ! Mais il n'ont jamais vraiment penser à moi...
Pendant l'été ma grande sœur c'était mariée avec un homme dont elle était tombé amoureuse, elle la rencontré à la fac. Elle eu droit à un véritable mariage de princesse digne de ce nom, elle avait réussi ma sœur à s'en sortir malgré tous les coups qu'on avaient mangés durant notre enfance, malgré tous les interdit qui s'était braqué devant nous, elle elle avait réussi à trouver son prince charment, elle s'était mariée par amour ! Ce que moi je n'aurais pas la chance d'avoir...
C'était le jour de son mariage, pour l’occasion Sarah, Sanae et moi étions ses demoiselles d'honneur. Ma sœur s'est levé au alentour de 9 heures, on a déjeuner tous ensemble avec mes parents, mes frères, des oncles, des tantes et des cousines et des cousins venue pour l'occasion, l'ambiance était bonne enfant. A 10 heures Sarah et Sanae sont venue me rejoindre chez moi pour se préparer ensemble, à 11 heures environs la coiffeuse et arrivé, elle nous a coiffée puis s'est attaquer à ma sister* !
Quand le coiffeuse à fini de coiffer et d'habiller ma grande sœur, wouha, mash'Allah*, ma sœur était M.A.G.N.I.F.I.Q.UE. j'en avais les larmes aux yeux, sa robe de marier lui allait tellement bien, elle avait les cheveux boucler qui tomber en cascade sur son dos, elle était vraiment superbe ! J'étais tout émus de la voir comme ça et je contenais mes larmes. Parce que j'étais à la fois triste qu'elle s'en aille, mais aussi très heureuse pour elle, elle avait enfin trouver l'homme de sa vie et elle avait l'aire tellement heureuse quand elle était avec lui et de voir comme ça ma sœur tellement heureuse, me rendait automatiquement heureuse. On avaient tellement galérer ensemble, tellement subi, sans jamais rien dire, sans jamais se plaindre, la voir se marier avec l'homme qu'elle avait choisi, l'homme qu'elle aimait était pour moi la concrétisation d'un rêve, je lui avait souhaitais se jour de tous mon cœur, quand depuis toujours je la voyais pleurer à cause du sors qu'on subissaient tous les jours à cause de notre statut de fille, entre elle et moi elle était celle qui accepter le moins se sors injuste dont on été victimes.
A grand coup de klaxon, et la musique à fond, le prince charment de ma sœur et venue dans une magnifique limousine, vêtu d'un élégant costard blanc et d'une rose rouge à la main pour sa bien aimé. Après s'être dit "oui" à la mairie ma sœur et son mari à présent sont aller à la plage pour prendre des photos souvenirs du plus beau jour de leur vie. Pendant se temps, avec les filles on est retourné chez moi, on a mangés et on s'est changés, on a ôté nos robes de demoiselle d'honneur et on revêtu nos caftan pour danser jusqu'au bout de la nignt ! Puis vers 7 heures on est sortis pour attendre mon frère Younes qui était sensée nous escortait jusqu'à la salle des fêtes, mais quand on est sortis à 19 heures il était toujours pas là, j’essaie de le joindre sur sont téléphone mais il ne répond pas. On a poiroté une demi heures en mangeant des dragée avant qu'il n'arrive enfin. Je m'avance alors vers sa voiture et là dans le siège avant coté passager j'aperçois un gars que je n'avais jamais vu auparavant, je connaissais tous les gars avec qui mon frère avait l'habitude de traîner mais lui je ne l'avais jamais vu, ce mec m'a soudain intrigué. On est montées toute les trois à l'arrière et mon frère à démarrer sans faire de commentaire, il y avait un long silence pesant durant tous le trajet. Moi je ne cessais de jeter des coups d’œil discrètement au nouvel ami de mon frère.
Mon frère nous a déposé à la salle et est repartit aussitôt. On est rentrés et on s'est installer, puis la fête à commencer, mais j'arrêtais pas de penser au mec qui était avec mon frère tout à l'heure.
La fête battait son plein puis à un moment le DJ a mis une musique, et là accompagné par Sanae et Sarah j'ai rejoins la piste de danse, j'ai commencé à danser avec les filles. La piste était pleine à craquer, j'étais à fond dans ma danse quand tous d'un coup j'ai croisé son regard, qui me regarder, il ne danser pas il était un peu à l'écart, il me regardait discrètement, et je faisais de même, quand je l'ai vu, mon cœur s'est mis à battre à toute à l'ure sans que je n'y comprenne rien. J’essayais de ne pas penser à lui, mais mon regard se dirigé automatiquement vers le sien. Il me regarder toujours lui aussi, il essayait d'être discret le sourire en coin mais je voyais bien que c'est moi qui regarder. Son regard m'a tellement perturbé que je me suis retiré de la piste de danse et que j'ai rejoins les toilettes me rafraîchir le visage et m’éclaircir les yeux, puis je suis retourner dans la salle et c'est là que ma mère m'a appelait:
Elle- Laila viens voir ma fille !!
Ma mère était assise à une table avec une femme qui me disait vaguement quelque chose, je les rejoins aussitôt.
Elle- Laila, tu te souviens de ma meilleur amie d'enfance?
Moi- eu non...
Elle- mais si rappelle toi ! On a grandi ensemble elle et moi je t'ai parler plein de fois !
Moi-Ah oui c'est vrai ! Je me souviens maintenant( je me souvenais toujours pas enfaîte)
Elle- Assied toi donc avec nous Laila(elle s'est retourner vers sa copine) Laila et ma deuxième fille, elle va bientôt avoir 18 ans.
La copine- ah oui c'est bien, mash'Allah elle est très belle que Dieu te la garde.
Moi- merci.
Ma mère- Amin.
La copine- Tu va avoir 18 ans il est temps pour toi de te marier non ma fille? Qu'en pense tu?
Moi-inch'Allah.(je disais ça pour qu'elle me laisse tranquille)
La copine- moi j'ai marier toute mes filles, il ne me reste plus que mon fils, je dois absolument lui trouver une jeune fille de bonne famille. (devant nos tête médusé, elle a ajouté) il s'appelle Sabri, regarde Laila il est là bas.
Elle ma montrer du doigt quelqu'un qui se trouvait derrière moi je me suis retourner pour voir qui c'était je me tourne alors et je vois le garçon que j'avais vu avec mon frère Younes dans la voiture et qui n'avait cesser de me regarder pendant que je dansais et pour qui quand je l'ai vu mon cœur s'est mis à battre sans que je ne comprenne pourquoi, peut être de l'amour?
Je me suis retiré de la table et je suis allé rejoindre Sarah et Sanae. En essayant de me frayais un chemin parmi le monde qui avait je me suis rentré dans un mec sans m'en rendre compte qui était de dos, il se retourne:
Lui- Oh regarde ou tu marche non ?!
Moi- .... désolé.
C'était Sabri, le mec de tout à l'heure, le fils à la copine à ma mère....
Lui- ouais ben regarde ou tu marche non ?!
Moi- j'ai dit que j'étais désolé, c'est bon non?
Lui- non c'est pas bon !
Moi- ben si c'est bon ! Allez laisse moi passer.
Lui- Vas y je te laisse passé mais seulement parce que je te trouve mignonne.
Il m'a dit ça en me faisant un clin d’œil, j'étais choqué, il s'est poussé et je suis passé, le cœur battant fort. Et il a ajouté pendant que je m’éloignai.
Lui- très mignonne !
J'ai souris.
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Les vacances terminé c'était la rentré, j'avais passé un été pourris, je passé cette année en terminale, dans ma classe il y avait comme tous les ans une fois de plus, Sanae et Sarah mes deux plus fidèles amies ! A la rentré j'avais opérer un changement total en moi, j'avais fais entre guillemet le choix de porter le voile ! C'était intervenue en moi comme une évidence, non je rigole si je l'avais fait c'est pour que mes parents cesses de me soupçonner et je pensais qu'ainsi ils cesseront de me surveiller et qu'ils me feront plus confiances. Mais c'était aussi une manière pour moi de me cacher, à travers se voile j'avais trouvé un refuge. Je ne voulais plus jamais avoir à faire à un homme alors avec un voile sur la tête j'ai pensé qu'ainsi vêtu les hommes me respecteraient plus.
Mais cette année la j'ai aussi rencontré une nouvelle fille, elle s’appelait Yasmine, Marocaine de sa mère et espagnol de son père. On a vite sympathisé, elle était comme moi. J'ai de suite compris quel tous comme moi caché un chagrin au plus profond de son âmes. C'est à mis janvier qu'elle va pour la première fois ce confier à moi.
Yasmine fait partie des rares du lycée qui viennent d'une cité, la plupart sont des petit bourgeois qui viennent des beau quartier tous comme moi.
Bref se jour là elle ma raconter son histoire.
Yasmine- Tu sais si parfois j'ai le regard perdu, c'est que je repense à ma mère...
Moi- et?
Yasmine- Elle est morte quand j'avais 12 ans...
Moi- Oh, je suis désolé, sa crain !
Yasmine- ouais...
Moi- sa doit être dur.
Yasmine- parfois son absence me pèse tellement, que je me met à pleurer tous d'un coup... Tu sais depuis qu'elle est partit j'ai perdu le goût de la vie.
Moi- J'imagine.
Yasmine- sans ce pilier là la vie n'a aucun sens, tu sais Laila je tiens pas à cette vie, je suis prête à partir maintenant, j'ai l'impression que sans elle plus rien ne me retiens ici. Ma vie ne vaut rien du tous sans ma mère ! J'air dans cette vie sans savoir ou je vais, j’attends seulement le jour ou j'irais enfin la rejoindre la haut, en attendant j'air ici bas mais le cœur n'y plus...
Moi- ...................
Ce jour là Yasmine m'a fait beaucoup de peine, j'ai été ému et touché, quand elle a versé ses larmes quand elle à prononcer ses paroles sur sa mère.
Et c'est ce même jour que j'ai raccompagné Yasmine chez elle, enfaîte on avait une heure de trou entre de cours. Yasmine avait oublié chez elle son livre d'espagnol et avec ce nouveau prof d'espagnol si t'avait pas ton livre il nous viré directement. Alors pour éviter d'être viré de cour et d'avoir des problèmes avec son père, Yasmine a décidé de vite rentrer chez elle, pour aller chercher son livre. Et
Yasmine- Laila tu viens avec moi, j'ai pas envie d'y aller seule.
Moi- Non Yass tu sais bien que je ne peux pas !
Yasmine- Aller personne ne le sera t'inquiète pas ! On va faire vite on prend le bus et en moins de moins de deux on y. Ne dis pas non, assure !!!
Moi- Bon d'accord mais on traine pas chez toi hein !
Yasmine- mais non t'inquiète pas !
Moi- Ok, vas y bouge faut qu'on fasse vite !
Yasmine- Allez t'inquiète remercie moi tu va voir une cité pour de vrai !!
Moi- Ouha sa m’excite!!! Lol
Yasmine- mdr ! Une petite bourgeoise dans une cité on va voir ce que va donner!
Moi- je suis une arabe personne ne va me remarquer !
Yasmine- tsss allez bouge tu va voir, à la cité on détecte directe ce qui sont pas de la cité !
Moi- mdr !
On a donc pris le bus et on est arrivé dans sa cité.
On est descendu du bus et on est passé par un petit chemin, je suivais Yasmine on a pris un petit chemin et on arrivé devant une grande barrière, et là j'ai vu la clique, qu'il pleut ou qu'il neige, ces mecs la ne bouge pas de cette endroit ! Il y avait Mehdi le big, Salim la girafe, José le gitan, Karim le marrant et Sabri le "caïd"...
Sabri c'était le chaud du quartier, celui qu'il faut absolument respecte et craindre, celui dont les moindres désirs sont des ordres. Et je serais moi Laila pour très bientôt sa femme, mais sa je ne le savais pas encore.
On passaient alors devant eux, au moment ou je passe je me demandais si Sabri m'avait reconnu, parce que depuis la dernière fois que je l'ai vu j'avais mis le hijeb, quand:
Karim- oh Yasmine ! Tu va ou là?
Yasmine- j'ai oublié mon livre d'espagnol je vais le cherché à la maison !
Karim- ouais t'as intérêt à dire la vérité parce que si j’apprends que tu sèche...
Mehdi- hé Yasmine, tu nous à pas présenté ta copine !!
Salim- ouais Yasmine, présente nous là !
Tout d'un coup je me suis sentis mal à l'aise.
Sabri- C'est bon les gars fermer votre gueule laissait là tranquille !.....................
*********Partie 4************
(Inentandu mais inévitable)
A ce moment là tous le monde se tait, je ne savais plus ou me mettre et je me demandais si je devais le remercier ou pas, j'ai pas le temps de penser à ça trop longtemps, que Yasmine me tire par le bras et on repart. Quand on s'est éloigné du groupe, j'ose enfin parler:
Moi- C'est qui?
Yasmine- Le premier qui a parler c'est Mehdi, lui il se prend trop pour le beau goss du quartier, toute les meuf elles sont en chien sur lui, après c'est Selim de son surnom la girafe mdr tous le monde l'appelle comme ça parce qu'il est grand de taille, comme t'as sans doute pu le remarquer et celui qui a pris ta défense c'est... Sabri !
Quand elle a prononcé le prénom de Sabri, elle s'est arrêter de marcher et a fixer l'immeuble en face d'elle, l'air rêveur, on avait l'impression qu'elle venait de prononcer le nom d'un grand seigneur.
Sabri était un canon, de beau yeux marron/vert, des cheveux coupé dégradé et un corp sculté grâce à la boxe anglaise avec un sourire rayonnant.
Moi- Ah, et celui qui t'as demandé ou tu va? C'est ton frère?
Yasmine à détourné le regard quand je lui ai posé cette question et a dit d'un ton qui se voulait froid:
Yasmine- non, je n'ai pas de frère.
Moi- Ah ben c'est qui? Il a l'air de te bien te connaitre.
Yasmine- c'est personne oublis.
Moi- mais.
Yasmine- bon tu viens? Faut qu'on se dêpeche là !
Moi- OK j'arrive.
On est monter chez elle on a pris le livre d'espagnol, Yasmine m'a expliquer qu'elle vivait ici avec son père et ses deux petites soeurs.
On sors ensuite de son appartement et on commence à descendre les escaliers, quand je voit un mec en jog et TN au pied, il montait les ecaliers, là dés qu'on la vue, Yasmine a changé de comportement on dirait qu'elle était mal à l'aise, quand il arrive à notre hauteur il attrape Yasmine par le bras et lui dit tous bas mais j'ai tous entendu:
Lui: Alors sayer tu t'es faite serrer par Karim? Tu viens me faire la même chose à moi maintenant.(tout à rigolant)
J'ai vu le rouge monter en Yasmine, elle a baissait la tête est a acceléré le pas.
Je croyais connaitre la vie de Yasmine mais enfaîte j'étais encore à mille lieux de connaitre la vie quel
mené, la fille qu'elle était ici à la cité. Je ne connaissais pas encore les tourmentes dans elle était victime.
J'ai pas oser lui demander qui était le gars qui lui a dit cette chose affreuse, de plus Yamsine était devenue tous d'un coup très silencieuse. Mais moi je posais plein de question sur ce que le gars avait dit de Yasmine. Je voulais en parler avec Yasmine mais depuis se jour elle est devenue distante avec moi et parler de moins en moins, elle était la plupart du temps silencieuse et ne disait jamais rien.
Au cour de cette année, la soit disant meilleur amie à ma mère et qui est aussi la mère à Sabri, venait régulièrement chez moi s'entretenir avec ma mère. Souvent elle voulait que je vienne m'assoir avec eux, j'esquivais un max mais parfois je n'avais pas le choix et là commencer à chaque fois un intérogatoir sur ma vie, sa me soulait mais je répondais toujours poliment par respect.
Jusqu'à ce jour, quelque mois après mon anniversaire.
C'était un samedi, le matin ma mère et venue me réveiller très tôt, je crois que j'avais déjà compris à ce moment ce qui se passer, mais je ne disais rien, je ne réalisais pas.
J'ai pris mon petit déjeuner normal comme tous les jours et je suis remonté ranger ma chambre, après environs une heure ma mère et revenue dans ma chambre et elle m'a dit:
Elle- Laila assied toi il faut que je te parle.
Moi- Oui( je vais m'assoir sur mon lit à coté de ma mère)
Elle- Tu a 18 ans à présent, tu es une femme désormais.
Moi- oui et alors?
Elle- il est donc temps que tu te marie.
Moi- Mais je ....
Elle- Je sais mais il fait que tu comprennes que tu te marie pour être protégé...
Moi- protégé de quoi? Je comprend pas.
Elle- A ton âge moi j'étais déjà mariée!
Moi- et alors?
Elle- bon Laila, écoute c'est comme ça ma fille, ton père veut que tu te marie, et il ne faut pas que tu voie ça comme un punition, ton père à raison et si il fait ça c'est pour ton bien. Il fait ça pour ton bonheur. Et puis regarde les bon coté des choses, tu aura un mari et des enfant un foyer c'est la plus belle chose qui soit. En te mariant tu accomplira la moitié de ton dine, c'est un devoir pour tous musulmane que de se marier.
Ma mère m'annoncer que j'allais me marier, qu'ils allaient me marier avec un homme que je n'avais pas choisi, et je ne m'énervais même pas, j'étais neutre. Je ne savais pas alors que j'avais le droit de me plaindre, de pleurer et de leur dire non, de me prononcer et de leur dire clairement que je ne voulais pas me marier avec un homme que je n'aimais pas ! Mais au lieu de ça, je ne disais rien, je les laissais prendre mon destin en main. Je posais seulement des questions pour en savoir un peu plus mais à aucun moment je leur ai dit ce que je pensais vraiment.
Moi- Avec qui je vais marier?
Elle- tu sais pas?
Moi- ben non.
Elle- Sabri le fils de ma meilleur amie tu sais.
Moi- Quoi? Mais pourquoi lui?
Elle- parce que c'est lui que ton père veut pour toi ma fille.
Depuis la fameuse histoire avec Nassim mon père me detestait, je le savais bien mais pas à ce point pas au point de me marier avec un homme comme Sabri, Sabri était tous l'inverse de l'homme de mes rêve. Quand j'ai appris ça j'étais dégoûté j'avais la haine contre mon père, je me disais mon père me deteste à un point de me marier avec un mec comme Sabri, mais je ne savais pas encore que ce mariage était enfaite un accord passé entre mes parent et les siens depuis bien longtemps maintenant. Sachant que j'allais être mariée à Sabri face à mes parent je n'ai pas montré le moindre désaccord parce que je savais que sa ne seravait à rien, il m'avait promise à cet homme depuis bien longtemps et il ne me laisserait pas gâcher cet accord. J'ai rien fait rien dit, je les ai laisser me prendre le peu dignité que j'avais et m'arracher à mes rêves les plus cher.
Elle- Ce soir sa sera le helel inch'Allah.
Moi- Quoi se soir ?! Ce n'est pas trop tôt?
Elle- non, je t'ai préparé ta robe je te la ramène de suite, attend moi.
Ma mère est sortis de la chambre et est revenue avec la fameuse robe, c'était un caftan blanc pour mariée. J'aurais pu le trouver magnifique si je ne savais pas ce qu'il symbolisé, ce caftan me dégoûter mais je ne disais rien, je n'ai jamais rien dis...
C'est allé trop vite je n'ai même pas eu le temps de digérer quoi que se soit je l’apprenais le matin et le soir même je faisais mon helel.
J'avais 18 ans j'étais encore qu'une gamine, je me demande comment mes parent on pu me faire ça? N'avaient ils pas de coeur ou voulaient il tous simplement se débarasser de moi avant que je ne fasse un scandale? Aujourd'hui j'en veux à mes parents malgré tous parce qu'à l'époque je n'étais qu'une gamine, je ne comprenais rien. Pourquoi n'ai je pas dit non?
Parce que de toute façon je savais depuis bien longtemps que ma vie était foutue, si ce n'était pas Sabri que j'épousais sa serait un autre, mon père ne me lâchera pas et il était bien décider de me caser au plus vite. C'est triste, sa peut paraître fou mais c'était comme ça chez moi, je n'ai pas eu le droit à une enfance comme toute les jeunes filles de mon ages on eu la chance d'avoir alors pourquoi j'aurais un avenir meilleur, on a toujours décidé de tous pour moi, et voilà qu'on décider même de mon mari. Je n'étais pas consentante mais je n'ai rien dis pour ne pas decevoir mes parents ou tous simplmeent parce que chez moi une fille de se prononce pas !
Juste hier jétais une fille "normale" et maintenant me voilà mariée, j'avais l'impression d'avoir était vendu comme une marchandise.
Après voir inspecter que ma robe m'allait bien ma mère est sortis pour descendre préparer le dîner de se soir, j'ai été conne quand même je n'ai même pas remarqué que mes parents organisé mon helel derrière mon dos sans que je ne sache rien, il avait invité de la famille, réservé un imam ect et ils ne m'on prévenu que le jour J et avant ce jour je n'étais au courant de rien, peut être pour éviter que je m'enfuis? Sans doute. Sa parait affreux hein? Sa l'était ! Vous vous dites comment des parents on ou faire ça à leur fille? Ils m'ont déjà fait pire ! Sa ne m'étonnais même plus. Je savais quelque part au fond de moi que je finirais comme ça. Une fois seule dans ma chambre, j'ai pleuré. J'ai tous vidé, tous se que j'avais sur le coeur, cette haine, cette rage, ce sentiment d'injustice, d'incompréhension.
Voilà comment s'est déroulé la soiré ou plutôt mon helel avec Sabri ce mec de tess que je détestais rien que parce qu'il venait d'une cité. J'aimais pas les mecs des cités, j'ai été élevé comme une bourgeoise, je cotoyer que les riches les fils à papa, ces gens là quand ils veulent un truc ils n'ont cas claquer des doigts et voilà que sa apparait comme par magie, enfaîte j'ai été élevé dans l'illision de la vie.
Ce que je pensais de Sabri? Que ce n'étais qu'une putain de racaille, de voyou, un voleur je suis sur ! Ha je voulais le détester rien que pour ça mais je n'en menais pas large, au fond j'avais déjà des sentiment pour lui. Comment moi amoureuse d'une mec de tess !? Ah sa que non ! J'empacherais mon coeur de tomber dans se piège là, mais pourtant je me mariais avec lui ce soir, ah non ça je le fais pour mes parent parce que je n'ai pas le choix... Dans ma tête c'était Bagdad ! je ne savais plus ce que je pensais, je ne savais pas ce que je voulais, je ne réalisais pas ...
20 heures, j'ai mis mon caftan blanc, un voile transparent sur la tête et une petite courone toute mimi, maquillée pour l'occasion j'avançais toute tremblante vers le salon ou devait se trouver Sabri et sa famille ainsi que l'imam qui allait nous unir lui et moi pour la vie.
J'entre dans le salon accompagné de ma maman, j'avais la tête baissais, parce que j'avais trop honte mais surtout pour cacher ma tristesse. Une fois assise j'avais les yeux baissés, et j'étais de plus en plus triste et mal, et dégouté, et anéantis, et chagriné et fatigué, et épuisé, et consternée, et abbatus, démolis, brisé !!!!!! Je voulais mourir. Crevais, quitter se monde...
L'imam lui a alors demandé s'il accepter de faire de moi sa femme, il a dit
Sabri- Oui, de bon coeur.
L'imam s'est tourné vers moi et m'a posé la même question, j'ai dit
Moi- Oui, parce que je n'avais pas le choix.............................
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Chronique d'une cendrillon promise à un prince de tess
Fiction généralemariage forcée réelle trés belle histoire c'est pas moi qui l'a ecrite je l'ai juste enregistrée