**********Partie 11***********
(Besoin de toi)
"Je suis désolé ce mariage je n'en voulais pas je n'avais pas le choix. Yas c'est toi que j'aime malgré tout ce qui a pu se passer, mais depuis le début tu sais bien que toi et moi c'est impossible. J'aurais voulu éviter tout ça, je soufre le martyre quand je vois ce qu'on te fait j'aimerais agir mais je ne peux rien faire la cité et faite ainsi. Je ...ne peux rien pour toi même si j'aimerais. Je sais que je n'aurais jamais du te promettre toutes ces choses, te faire croire à tout ça mais je le pensais vraiment. J'aurais voulu qu'un jour toi et moi on se barre d'ici, qu'on quitte la cité ensemble, rien que toi et moi, mais je ne peux pas c'est impossible. Ma mère la découvert, moi c'est toi que je voulais, mais elle ne comprend pas, elle veut que j'épouse cette fille que je ne connais pas, parce que sa famille est aisée et qu'elle pourra m'aider à avoir un bon avenir. Mais moi je m'en fous de tous ça. Ce que je veux c'est être avec toi, c'est vrai mais je ne peux pas......
En bref il lui disait qu'il l'aimait à mort mais qu'il ne pouvait pas être avec elle parce que:
-Il n'avait pas le choix
- Que c'était pas une fille hellel
-Que sa mère ne voudrait jamais
-Qu'elle avait un passée trop chargée
???????
Mais malgré tous ça c'est elle qu' il aimait et qu'il aimera toujours.
Je n'arrive pas à lire la lettre jusqu'au bout tellement je pleure. J'ai l'impression d'avoir été trahis qu'on s'est moqué de moi. Je me lève alors brusquement attrape mon sac à main, mon portable, quitte la chambre et quitte l'appartement. Je dévale les escaliers en courant et sors de l'immeuble toujours autant en larmes. Je me dirige ensuite en courant comme une folle à l'arrêt de bus le plus proche, patiente même pas cinq minute et monte dans le premier bus qui se pointe, je pensais à une seule chose quitter cette cité au plus vite ! Le bus arrive alors au centre ville, je décide alors de descendre, je descend et rejoins un autre arrêt bus pour rentrer chez moi cette fois, (chez mes parent) tous d'un coup ma famille me manquer énormément et je voulais les retrouver malgré tous ce qui a pu se passer c'était ma famille. J'attend quelques minutes à l'arrêt de bus et prend le bus. j'arrive chez moi au bout de quinze minutes environ. Je descend et la soudain je suis prise de doute. Je me demande qu'est ce que je vais bien pouvoir dire à ma mère quelle explication je vais bien pouvoir lui donner pour expliquer ma venue. Je sèche mes larmes.
Je rentre et frappe à la porte. C'est mon petit frère amil qui vient m'ouvrir, je ne vous ai pas encore parler de lui mais mon petit frère amil à deux ans de moins que moi, il a vraiment un caractère de sale gosse de riche pourri gâté mais dans le fond il est gentil.
Amil- Salut, t'as oublié quelque chose?
Moi- non je viens juste comme ça.
Amil- Ah d'accord mais maman n'est pas la tu sais elle est sortie chez sa copine là.
Moi- ok c'est pas grave.
Je rentre alors et monte directement m'enfermer dans ma chambre, je baisse les volets et m'installe sur mon lit, attrape un cousin et fourre ma tête à l'intérieur et je pleure de plus belle. A force de pleurer je m'endors.
Elle- Laila!
J'ouvre tous doucement les yeux et aperçois ma mère qui remonte les volets de ma chambre.
Moi- ............
Elle- qu'est ce qui s'est passé ma fille? Sabri m'a appelé affolé, il a dit que t'était parti, pourquoi t'es revenue?
Moi- je voulais vous voir, vous me manquiez.
Elle- ah oui mais il fallait prévenir sabri que tu partais, il s'est inquiété.
J'avais toutes les raisons du monde d'être ici au lieu d'être chez sabri mais il était évident que je ne pouvais pas en parler avec ma mère.
Je me lève doucement et me jette d'un coup en larmes dans les bras de ma mère. J'avais tellement besoin de réconfort. J'avais besoin qu'on me prenne dans les bras, j'avais besoin de pleurer.
Elle- Laila, qu'est ce qui a ma fille?
Moi- rien c’est juste que tu me manquais maman....
**********************
Sabri- Laila chérie qu'est ce qui s'est passé?, pourquoi t'es parti comme ça?
Laila- C'est bon arrête là avec tes chérie de pacotille je sais tous !
Sabri- tu sais quoi?
Laila- je sais pour Yasmine et toi et je sais que tu te sers de moi !
Sabri- ..................
Sabri s'est bloqué d'un coup, il ne bougeait plus et ne il disait plus rien.
Laila- je reviendrais pas. Je sais pas pour qui tu m'a prise mais tu te trompe, on se sert pas de moi comme ça !
Sabri- .............
Moi- J'aurais honte d'être à ta place pfff.
Mais Sabri se ressaisi très vite.
Sabri- Qu'est ce qui te fait croire que Yasmine et moi?
Laila- La lettre, la lettre ou tu déclare tes sentiments pour elle, je l'ai trouvée Sabri !!!!
Sabri- La lettre?
Laila- Oui la lettre "yas, je suis désolé mais je n'avais pas le choix et blabla et blablabla c'est toi que j'aime mais je peux pas", et tous et tous je l'ai trouvée je te dis alors sa y est, arrête de te foutre de moi !
Sabri- ah.
Laila- et oui tu peux dire ah maintenant !
Sabri- non mais....
Laila- Il y a pas de mais Sabri !
Sabri- Non mais sa date ça !
Laila- Comment ça?
Sabri- je l'ai écris avant de te rencontrer Laila, la preuve c'est moi qui l'ai sinon je lui aurais donné tu crois pas?
Laila- oui mais tous ce que t'as écris tu l'as pensé non?
Sabri- même pas ! Tu crois que j'aime cette pute ?!
Laila- ben... mais pourquoi vous dites tous que c'est une pute? C'était ma copine yas c'est pas une pute.
Sabri- Quoi c'était ta copine?
Laila- ben oui
Sabri- Ah oui c'est vrai que t'étais venue avec elle à la cité, je me souviens, non mais je veux pas que tu traine avec elle, ok?
Laila- euh tu n'as pas à me dire avec qui je traine.
Sabri- Je t'ai dit de ne plus traîner avec elle !!!!!!
Laila- Ouah c'est bon calme toi là !!
Sabri- désolé, écoute je veux pas que tu traine avec elle, c'est n'est pas une bonne fréquentation, elle va t'apporter que des problèmes ici.
Laila- mmh ouais mais je m'en fous de ça, j'ai vu cette lettre Sabri et elle m'a anéanti après tous ce que tu m'as dit!
Sabri- non mais je viens te le dire sa date ça, c'est plus d'actualité, je suis passé à autre chose, Yasmine c'était juste une passade.
Laila- Une passade?
Sabri- ouais une meuf d'un soir quoi !
Laila- ...................
J'aimais pas quand il disait ça, comment pouvait il avoir relation qui dure qu'un soir? Je ne comprenais vraiment pas comment on pouvait sortir avec une personne juste un soir mais j'ai fermé les yeux sur ça je voulais croire à ce que disait Sabri parce que je m'étais attachée, parce que j'avais quelques sentiments pour lui, parce qu'il me permettait d'oublier Nabil, parce qu'il m'apportais de l'amour, ce que je n'avais jamais eu auparavant, parce que parce que tellement de petites choses, qui me poussais à me persuader de ne pas renoncer à ces petites choses sans intérêt initial.
Laila- D'accord.
Sabri- D'accord? ça veut dire que sa y est tu ne me fait plus la gueule, tu va revenir?
Laila- je sais pas.
Sabri- je te promets que c'est fini avec Yasmine.
Laila- j'aimerais bien te croire mais elle, elle aussi tu penses qu'elle croit que c'est fini.
Sabri- ben oui elle sort avec Karim depuis !
Laila- ok.
Sabri- Tu reviens alors?
Laila- oui je reviens.
Ma mère rentre alors sans frapper à la porte dans ma chambre:
Elle- Laila, Sabri descendez ton père veut vous parler.
Laila- ok on arrive.
Je me lève et sors de la chambre avec Sabri on descend au salon et on s'assoit face à mon père.
Mon père- j'ai un cadeau pour vous les enfants.
Tiens c'est la première fois que je vois mon père si heureux en ma présence et il a un cadeau pour nous en plus de ça, je m'incline !
Mon père- Voilà je vais vous offrir une maison.
Sabri- Quoi?
Moi- Pourquoi?
Mon père- ben pour vous, pour vos futurs enfants.
Moi- mais on a pas besoin d'une maison pour le moment!
Sabri- Bien sur que si !
Mon père- je m'occupe de tous les frais. C'est moi qui vous l'offre, je vais pas laisser ma fille vivre dans une cité!
Mon père a une grande entreprise de maçonnerie donc nous construire une maison ne lui coûterait rien. Mais moi je ne voulais pas, je ne voulais pas qu'il m'offre quoi que ce soit, je lui en voulais encore trop, je voulais faire ma vie sans lui.
Moi- je suis très bien dans une cité.
Mon père- Laila voyons ne dis pas n'importe quoi, d'ailleurs, toi Sabri qu'est ce que tu en penses?
Sabri- sa tue ! Je veux bien une maison moi!
Mon père- c'est bien mon fils.
Moi- non.
Mon père- Qu'est ce qui a encore Laila?
Moi- je veux pas !
C'était la première fois que je m'opposais à mon père comme ça.
Moi- non papa, je veux vivre avec les moyens que dispose Sabri, c'est lui mon mari et c'est à lui de m'offrir une maison quand il en aura les moyens. En attendant je me contenterais de ce qu'il peut m'offrir je veux pas me précipiter, chaque chose en son temps.
Vengeance, vengeance, Sabri. J'avoue la maison me disais bien, mais je voulais d'un coté me venger de Sabri mais aussi je pensais vraiment que c'était lui qui devait travailler pour avoir une maison, il devait la mériter.
Mon père- Oui c'est vrai tu as raison Laila, je sais même pas pourquoi je dis ça.
J'ai jeté à ce moment là un coup d'oeil vers Sabri, euh comment vous dire, il avait la "haine" !! Il me regardait, on dirait il allait me sauter dessus.
Après le dîner on rentre ensemble chez lui, enfin chez nous. Tout le long du trajet Sabri ne me parle pas, il ne m'adresse pas un seul mot.
Quand on rentre dans l'appartement, sabri claque fort la porte derrière lui, pour bien me faire comprendre qu'il est sur les nerfs.
Moi- qu'est ce qui a?
Lui- Ta gueule !
Moi- Pourquoi?
Lui- Tu sers à rien ! tfou vas y me parle même pas ok tu ferme ta gueule et tu me soûle plus !
Moi- je te hais !
Lui- Moi aussi ! Allez casse toi va dormir et me casse plus les c****** salope !
Moi- Va te faire voir !
Lui- j'y vais t'inquiète pas pour moi !
Moi- Pourquoi tu fais ça, pour la maison? Mais tu crois peut être que tu la mérite? En fait c'est vrai tu te sers de moi, la preuve !
Il me lance un regard scarface est sort d'un coup de la maison.
Je me laisse alors tomber sur le canapé, et me mets à pleurer. Tous ça, c'est loin d'être la vie dont je rêvais. Quand j'ai fini de bien pleurer, je me lève et me mets dans mon lit, Mais je n'arrive pas à dormir, je passe toute la nuit à fixer le plafond jusqu'à que le sommeil m'absorbe.
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Le lendemain matin, je me réveille, c'était la première nuit que je passais chez Sabri et il n'avait même pas dormi avec moi. De toute façon je l'aimais pas alors pourquoi j'étais triste, non je ne devrais pas....
Je me lève sur la pointe des pieds et me dirige vers la douche, me douche, m'habille etc et je me dirige vers la cuisine.En allant dans la cuisine, je passe devant le salon et là je peux apercevoir Sabri dormir sur le canapé. Je vais dans la cuisine et me prépare un cappuccino, le boit et retourne dans la chambre. On était en août donc j'étais encore en vacances. A la rentrée je devais aller à la fac et j'étais pressée d'y être, c'était pour bientôt quelques semaines un truc comme ça je me souviens plus exactement, mais j'avais hâte d'y aller, au moins sa m'occuperais et je n'aurais plus à rester ici. Je reste un bon bout de temps dans la chambre sans rien faire, puis je l'entends qui quitte l'appartement, à ce moment je sors enfin de ma chambre et me mets à ranger tel une maniaque la maison ensuite je fais la cuisine. A midi je mange seule puisque Sabri n'est pas rentré et je passe l'après midi devant la TV, enfin en début de soirée il rentre, il ne me salue même pas et s'assoit dans le salon sans rien dire. Je l'ignore alors à mon tour. Sa dure plusieurs heures, quand j'entends quelqu'un sonner à l'appartement, je me lève alors automatiquement pour aller ouvrir quand:
Sabri- non! je vais y aller laisse
Moi- ok.
Il se lève et se dirige vers la porte, il ne referme pas totalement la porte derrière lui et là je l'entends parler à Yasmine, je reconnais directement sa petite voix pour l'avoir souvent entendu. Je m'approche alors de la porte le coeur battant fort, j'ai du mal à y croire, je tends l'oreille et là:
Lui- Qu'est tu fais là?
Elle- j'ai besoin de te voir, tu me manques..........................
*****Partie 12********
( C'était ton fils, père ! )
Sabri- Non ! je vais y aller, laisse !
Moi- Ok.
Il se lève et se dirige vers la porte, il ne referme pas totalement la porte derrière lui et là, je l'entends parler à Yasmine, je reconnais directement sa petite voix pour l'avoir souvent entendue. Je m'approche alors de la porte, le cœur battant fort, j'ai du mal à y croire, je tends l'oreille,et là :
Lui- Qu'est-ce tu fais là ?
Elle- J'ai besoin de te voir, tu me manque.
Lui- Moi aussi.
Elle- Il a recommencé.
Lui- Qui ?
Elle- Karim !
Lui- Putain je vais le niquer ! Je lui ai dit d'arrêter sa race !
Elle- J'en peux plus Sabri, j'en ai marre il me menace, je peux rien faire.
Lui- ...
Elle- Sabri s'il te plaît, je t'en supplie...
Yasmine a déposé ses mains sur le torse à Sabri et elle a commencé à sérieusement pleurer.
Elle- T'es le seul qu'ils écoutent, fais quelque chose, aides-moi. Une fois, je te demande juste ça, aide moi Sabri s'il te plaît...
Lui- D'accord je lui parlerais, c'est bon là arrêtes de pleurer.
Elle- Merci...
Lui- Il a recommencé quand ?
Elle- Hier !
Lui- Ils étaient combien ?
Elle- Cinq, ça a duré toute la nuit...
Lui- Je vois.
Elle- Tu va m'aider hein ?
Lui- Ouais ouais.
Elle- Tu sais que j'ai personne d'autre à part toi ?
Lui- Ouais. Vas-y rentre chez toi maintenant.
Elle- Sabri il faut que je te dise quelque chose, j'aurais même dû te le dire il y'a longtemps mais....
Lui- Quoi ?
Elle- Pas ici...
Les larmes coulent sur mes joues pendant que j'entends ses mots que je ne comprends pas, et que je ne veux pas comprendre non plus, mais qui sont pourtant là dans ma tête et qui me détruisent.
Sous l'effet de la colère, je donne un grand coup sur la porte, histoire qu'ils comprennent que je suis là, que je ne suis pas invisible et que je les entends ! Mais apparemment j'étais leur dernier souci, ils n'ont pas fait un geste envers moi, j'avais le sentiment qu'ils n'avaient aucun respect envers moi.
Je m'écroule ensuite contre la porte mais je ne pleure pas, non, pas cette fois. J'ai déjà trop pleuré, j'ai déjà trop donné, à ce stade là j'ai beaucoup trop mal mais je ne pleure pas. C'est fini, plus de larmes. Je ne voulais plus verser une larme pour eux.
J'ai mal à trop entendre ce genre de choses qui me font si mal, ouais ! N'aurais-je donc jamais le droit au bonheur un jour ?
J'ai le cœur brisé et le pouls qui ne bat plus. Je veux partir, quitter ce monde ou me perdre à jamais car plus rien en vaut la peine selon moi, à ce moment là de ma vie.
Je me relève et me dirige dans cette chambre où je dors seule, je m'allonge sur le lit et contemple les trois étoiles présentes ce soir là par la fenêtre de cet HLM que je maudis de tout mon cœur.
J'ai 18 ans et des rêves plein la tête dont un qui ne me quitte jamais. Ce rêve auquel ,malgré tout ce que je vivais, je voulais continuer à croire, continuer à croire qu'un jour je serais heureuse, qu'un jour quelqu'un part dans le monde ici où ailleurs, que quelqu'un me regardera pour celle que je suis et m'aimera pour celle que je suis et pas pour ce que je vaux.
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Moi- Je peux savoir t'étais passé où ? Je me faisais un sang d'encre ! Préviens quand tu te barres avec une pute !
Lui- Comment tu me parles toi ?!!!
Moi- Je te parle comme je veux, à cause de toi j'ai pas dormi de la nuit !
Lui-Laïla vas-y ferme ta gueule, me cherche pas là, je suis pas d'humeur à supporter tes caprices !
Moi- Mes caprices ? Tu te fous de ma gueule ?! T'as pas honte ?! Tu ramènes ta meuf jusqu'ici, tu te barres avec elle et tu veux que je dise rien peut-être ?!! Tu m'as prise pour une pigeonne ?!
Lui- Ta gueule là, con de toi !!!!!! N'ouvre plus ta gueule !!!!!!!!!!!
Je l'avais déjà vu en colère mais jamais, jamais à ce point là... Je le voyais bien qu'il était plus énervé que d'habitude, ce soir, mais moi aussi ce soir, pas de chance pour lui, j'étais encore plus énervée que lui sans doute, alors j'ai pas lâché l'affaire, je voulais des explications, je voulais crier et m'imposer pour une fois.
Moi- Non je ferme pas ma gueule !
J'ai rien vu venir, Sabri se jette sur moi et me met une droite d'une telle violence que je virevolte contre le mur, et retombe au sol comme une poupée de plastique. J'essaie après quelques secondes de me relever. Tout en essayant de me relever, j'ai eu le mot de trop, le mot qui ne fallait pas prononcer.
Moi- Vas te faire ******** !!
Là, il m'a limite sauté dessus... Mais que dis-je? Il ma sauté dessus ! Il m'a attrapé et m'a frappé à plusieurs reprises la tête contre le mur. Je n'ai même pas la force de me débattre, même plus la force de hurler, la douleur était telle que je ne pouvais plus rien faire, ni crier, ni bouger, je m'épuisais chaque seconde à cause des coups qu'il me donnait sans relâche, il se défoulait sur moi. Soudain alors que je n'imagine plus m'en sortir, alors que je suis persuadée que je vais mourir sous les coups de Sabri, il s'arrête et s'écroule à mes pieds, entre deux larmes. Il m'annonce la voix cassée:
Lui- J'ai un fils............
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Chronique d'une cendrillon promise à un prince de tess
Ficción Generalmariage forcée réelle trés belle histoire c'est pas moi qui l'a ecrite je l'ai juste enregistrée