Oppression [ Taekook ]

Chapitre 40: Libération [ FIN ]

Salut les copains.

Comme vous le savez, ceci est le dernier chapitre de Oppression.

Un sentiment toujours étrange de finir une histoire après tant de temps, d'émotions et de mois de travail.

Je ne vais pas m'étaler plus longtemps, on se trouve sur la page d'après pour des remerciements comme il se doit.

Je vois laisse avec le final, et vous souhaite une belle et merveilleuse lecture.

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Je m'étire de tout mon long, mes bras ainsi que mes jambes et rigole discrètement quand je cogne sans faire exprès Taehyung qui est dos à moi.

Je plisse mes lèvres pour m'empêcher de rire et je me recouche normalement après l'étirement habituel matinal.

— Je suis réveillé tu sais ?

Mon corps se fige en entendant sa voix rauque et lentement il se tourne pour me faire face.

Ses cheveux en bataille qui sont maintenant plus long tombent sur le coussin d'une manière élégante laissant une mèche rebelle plus haute que les autres.

Je ne me lasserai jamais de le regarder au réveil, Taehyung est magnifique en toutes circonstances mais le matin c'est quelque chose de précieux à voir.

— Pardon, dis-je pour l'avoir cogné plus tôt.

— Hum.

Il ferme un instant les yeux avant de les ouvrir à nouveau, il s'étire à son tour et fait exprès de cogner sa main sur mon visage.

Fier de lui il se met à rire tandis que je le regarde les lèvres en avant, faisait la tête.

Il est pire qu'un enfant parfois. Mais je ne dirais rien car j'aime le voir comme ça.

Amusé et joueur.

Il comble le petit espace qu'il y a entre nous en se tournant vers moi, je sens son souffle sur mes joues et tendrement ses lèvres viennent embrasser l'endroit ou sa main ma cognée.

On se regarde pendant de longues minutes, admirant chaque détail de l'autre.

Chaque parcelle de son visage est encré dans ma tête, chaque petit grain de beauté, absolument tout.

Lentement sa bouche arrive vers mes lèvres et je me retiens pour ne pas sourire.

— On ne sait même pas encore brossé les dents, dis-je en murmurant contre lui.

Il passe sa langue sur ses lèvres pulpeuses pour les humidifier et il hausse les épaules.

— Ce n'est qu'un détail, souffle-t-il.

Je le regarde dans les yeux une seconde et doucement mais avec tout l'amour qu'il possède il pose ses lèvres sur les miennes.

D'abord de manière douce puis plus agressive, nous nous savourons.

Il avance davantage vers moi pour me rallonger et ainsi se mettre sur moi.

Ses mains passent sous mon t-shirt caressant ma peau tandis que les miennes viennent se perdre dans ses cheveux soyeux.

J'essaye de me reculer quand j'entends notre réveil sonner à trois reprises en dix minutes.

Il grogne contre moi pas décidé à se lever mais je le recule gentiment après qu'il possède mes lèvres une dernière fois.