Une larme, un sourire, un espoir Mikey X Oc

Chapitre 33

Sa mère ouvrit avec un grand sourire, elle ne savais pas quand elle l'a vue elle sourie. L'invitant tout de suite à rentrer avec sont t'ont accueillant. Le cœur de Maoï était serré
- Maoï a faisait lontemps ! Je suis contente de te voir ! Tu es toujours aussi belle ! Et elle la pris dans ses bras. Sa faisait longtemps que personne ne l'avait pris dans ses bras elle referma c'est bras autour d'elle.
- Baji n'es pas avec toi ? Il l'a dit qu'il sortait.
la jeune fille recula souffla un bon coups.
- Il y a eu un conflit entre deux gang le vahallal et le Toman...
- Il est blesser ? Il est à l'hôpital il faut que j'y aille ! Elle chercha elle se releva les la jeune fille Pisa la main sur son épaule. Pendant se combat un amis la poignarder. La flamme blanchie d'un coups son regard devient encore plus abpler la jeune fille continua tout de même Dans le dos. Baji pour ne pas que cette amis est à supiryer cette acte irréparable , et que pour que nous n'en voulions pas 1 cette personne, 8l à décider de partir lui même au ciel. Sa mère ne reajis pas regardant dans le vide puis elle l'a contourna..
- C'est bon je sais que c'est une blague il est où ? Elle le chercha devant la porte dans le hall derrière le canapé.
- Mia, il ne reviendra pas... Baji est partie, pour toujours.
- NON ! sa mère hurla et s'avança vers elle en courant et la secouant. Mon bébé mon petit boue de chou n'est pas parti c'est pas possible tu m'entand! Il était si fort ! Puis il avait tant d'amis pour le protéger ! Il avait tant de rêve !
- il est... C'est mot lui arracher ent la gorge, elle refuser elle même d'u croire, et quand elle le prononça sont sœur se brisa en mille morceau.mort. Il raisonna 0lusieir fois dans sa tête. Puis elle souffla et continua. On y peux rien faut l'accepter. La mère se mit à pleurer, tout les larmes de son corps. Murmurant pas mon bébé tout sauf mon bébé.elle s'assis sur sa chaise en pleurant. Sous le regard perdu et panique de la jeune brune. Puis la mère de Baji se releva. La jeune fille retenais de justesse ses larmes pour Baji. Elle devait être forte pour sa mère maintenant mais elle pourais d'envie d'allais de réfugier dans sa couette.
- Tu était ou toi Maoï ! Pourquoi tu ne la pas protéger ! Tu l' avais promis de prendre soins de lui ! C'est toi qui l'a tuer ! Pourquoi tu n'a pas peu l'aider ! Son cœur qui était en pile morceaux se brisa une nouvelle fois sa deuxième mère l'accuser d'avoir tuer son frère. Pourtant elle ne lui en voulais pas elle n' avait pas tord...
-Je suis désolé, telement désolé Mia... Je n'est rien peu faire j'etait la impuissante... J'aurais dus savoir, j'1urais dus agir...
Mia leva sa main puis s'arrêta à quelle que centimètre de la joue de la juene fille. et pleura encore plus fort. La jeune fille l'a pris dans ses bras la berçant. Retenant c'est propre larme, son corps battais si fort, alors que celui de Baji était arrêter. Et cette femme dans ces bras qui avait tout subis, et maintenant la perte de son fils. Elle sentis une main se posais sur sa joue.
- Je suis désolé de t'avoir dis sa... Se n'est pas ta faute je suis même sur que tu as tout fait pour l'aider. Je suis contente que sa sois toi qui mes indiquer sa... Je suis contente que tu sois là... Je vais allez le voir, lui dire aurevoir. Merci d'être passer. Elle partie en courant et pris le premier bus. Maoï laissa coller son dos contre le parois le long du bâtiment le regard au moins. . Baji... Son grand frère, son meilleur amis. Son pilier, son avocat, son psy. Son inspecteur, son humoriste son énergie. Sans lui... Pourquoi lui est pas elle. Elle souffla effacez ses larmes dessebdit les escalier. Elle rentra chez elle à pied. Dans les rues mal famé, maintenant beaucoup connaissait la etite et l'aimer bien, et la respecter elle n'avait plus besoin de longer les mûres et regarder les gens faire du centre. Elle vis un groups s'acherna contre une personne elle le reconnus aussitôt.
- Maiky ?
- Maoï je voulais te parler sa tombe bien.
- Mais où c'est toi Maoï désolé on savais pas que c'était ton pote. C'était Étienne un étranger qui cela epter au nouveau mais qui était plutôt simpa.
-- Pas grave à plus. Maoï se rabatta au bord et train à Maiky à travers les petite ruelle jusqu'à sa maison. Elle entra, Maiky dernier elle et referma la porte.
- Qu'es qui ta pris de venir dans ces rues ! Tu sais bien que c'est dangereux quand on est pas habituer !
- Je sais me défendre.
-Ici les gens sont armée ! Il peuve de braque un flingue en pleine gueule ! Et même si tu sais te défendre tu ne pourra rien faire !
-Il ne sais rien passer.
- Et si il t'avais tuer ! Si il te planter toi aussi ! Baji 1usis savais se défendre. Les yeux noir de Maoï avait perdu tout tracé de bonheur. Il n'avais plus la petite ville lumineuse qui brillaos, ils étaient devenus le reflet de son âme. Vide.
- Je ne vais pas mourir...
- Baji me l'1vez promis ! Et pourtant.... Elle s'effondra en larme devant Maiky. Elle n'arrivais plus à respirer l'aire manqué, provoquant des hiqueter à travers ses larmes. Puis elle sentie soudain deux bras s'enrouler autour d'elle. Une odeur de jasmin. La même que quand Sanjiro la réconforter. Et elle pleura de plus belle resserrant la prise dans le dos de Maiky. Qui rester neutre.
- Pleure toi aussi tu en a besoin... Je peux voir t'es larme elle me dise que tu es en vie. Et Maiky laissa voulais quelque larme. Maoï était un coffre fort. Si elle pleurer devant elle, personne ne me serrait, et elle ne serrais pas sur son dos. Alors il pleura avec elle. Chasu'u' se servant de l'autre comme réconfort... Ils finirent par se séparer.
- Sa fait du bien de pleurer... Dit Maiku
- C'est sure...
-Ah des cambrioleur !!!! Je dois appeler la police vite ! Sa grand mère était la.. Agoler la jeune fille s'approcha
- Ne m'approcher pas ! J'ai un pistolet !
- Mamie c'est moi. Maoï... Ta petite fille. Dis la brune en essuyant ses larmes.
- Non, non est elle pleura. La jeune fille m'a recoucba la consola, avec un petit sourire rassurant et elle se rendormir.
- Tu veux venir à la maison se soir ? Demanda Maiky. Ema serras contente, et papy aussi sa fait lontemps il t'as pas vue...
- J'ai envie de rester seules...
-Un ne dessendre pas en bas. Dans ta salle d'entraînement ?
La jeune fille ne répondis rien.
- Viens à la maison, s'il te plaît.
-D'accord. Je vais chercher quelque affaire. Elle pris un vieux sac de sport mieux y foutra so' pijama sa trouce de toilette et une tenus de rejange et elle suivis Maiky.