Chapitre 51

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C'était con, la devant son lit je ne savais pas quoi faire. Mitsuya était à côté de moi, Maiky sur un côté du lit Takemichou de l'autre. L'état de Maiky faisait peur, le miens aussi sûrement, mon corps refuser de me chauffer, je mourrais de froid le choc m'empêcher de me chauffer.. , je mnvança en même temps que mitsuya m'assis sur son lit, je m'attendais à se qu'elle bouge, qu'elle se lève en rigolant curant qu'elle nous avare bien eu. Mais elle ne le fit pas. Pourquoi ? Pourquoi je n'avais rien vue ? Pourquoi je n'avais pas peu l'aider, alors qu'elle l'avait fait tant de fois ? Pourquoi il n'avait pas peu protéger la protéger ? Je me s'était tellement coupable, son cœur était lourd. Baji, Pach, Kasu et maintenant elle. Je sentis mon ventre se tordre, j'avais envie de vomir. Désolé Baji, j'ai pas peu protéger tout les membre fondateur. La porte s'ouvra d'un grand coup. Une femme brune rentra elle nous poussa Mitsuya et moi. Mais je ne ragis pas mon corps étant de chiffons. Elle se recula et parl, honnêtement je ne l'ecoyta pas, je la vie juste lever de slettee, je m'approche.
- Donne le smoi je vais les distribué. Je pris le paquet dinna les lettre à Ema, Maiky et à Mitsuya, ils l'ouvrirebt d'un coups. Pourtant moi je n'ai pas eu la force. Je resta la a l'observer tendis Je sa mère repartais. Je la suivis mais partis sur le toit. Maoï avait peur des toit. Il regarda la pillé de lettre. Il était trois heure du matin, il devait tous dormir et pourtant il prit sa moto il les déposa dans la boîte au lettre des parant à Kazutora et Pach. Il se dirigea ensuite vers, la maison des jumeaux. Ilsouvrirebt la pètent en deux seconde les regardant d'un aire interrogatif. Il leur espliqua pas la situation leur tendis la lettre je n'avais pas la force de leur expliquer . Et il repartis, son moteur ronronner Maoï s'amuser souvent avec son l'accélérateur. Il arriva dans le aorque du Toman, c'était elle Ui leurs avait montrer cette endroit.
Je m'assis regardant la lettre mes larme coupais sallssabt l'enveloppe. Je me frotta les yeux merde. Je fini par l'ouvrir doucement. Je regarda sa fine écriture, elle aimer bien se venter de sa calligraphie, c'était vrai qu'elle était belle. Son parfum était encore inscrit sur le papier de la lettre.  Il lue enfin les première ligne
Yo Draken,
Déjà je pkesvuse pour tout le pal que je viens de te faire, si tu savais comme je m'en veux. C'est étrange dans ma vie tu as toujours était quelqu'un de rassurent, quand on est à côté de toi on a peur de rien, tout semble facile. Je suis désolé de t'abandonner sans avoir peu t'aider, de te laisser la.
J'aurais aimer te prendre dans mes bras une dernière fois te faisant râler, coiffer tes beau cheveux ou juste senti ton odeur. Mais tu a toi même ressentis sa, un cœur lourd à chaque pas, une torture lente. Je ne pouvais pas vivre avec sa, plus vivre avec sa. Dans mon chemin, qu'es m'a vue, je t'es rencontrer toi, toi qui a était désigné comme le grand frère du Toman, celui qui prenait soins de tous. Tu as était mon frère aussi, mon grand frère qui le sortait de mes mauvaise passe, Llegyeler dans les bêtises, tu es un frère que j' ai jamais eu. Les même ré fondateur du Toman, c'est eux la famille. Je sais que tu ne vas rien montrer, à eux ta famille, mais s'il te plaît ne reste pas seul. S'il te plaît Draken tourne la page rapidement. Je te le demmande à toi par ce que je suis sur que tu en as la force.
Une dernière chose Draken, dit tout à Emma, tout se que tu ressent pour elle. J'espère que tu arrivera à être heureux. Je t'aime mon frère
Maoï.
Purée, Maoï n'ecrivais pas bien, c'est mot n'était pas beau, mais chaqu'un de ses phrase touche son cœur, elle le connaissait si bien. Pourquoi es qu'elle a fait sa ?
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Draken avait poser la lettre dans les main, je n'avait pas bouger d'un millimètre. J'avais regarder tout se qui c'était dérouler comme si je n'étais pas là. Je déplus la lettre avec attention, c'était un cadeau précieux.
Coucou Emma,
Tu es une personne formidable, belle, forte, intelligente, j'espère que tu t'en rendra compte par toi même, je te l'ai déjà dit tant de fois. J'espère que tu ne doutera 0lus de toi. Tu sais je vais m'es user pour tout les autres, mais toi, toi j'en est pas la force. Es que je suis égoïste ? Honnêtement j'en sais rien, et cette question n'as plus d'importance. Je ne l'escuse pas, par ce que je sais qu'au font tu as compris, que t'avais compris à notre derniere journée passer ensemble. Ton étreinte n'était pa sales même, t'es mita non plus. Tu savais, parce que tu sais toujours tout. Tu m'as laisser partir, tu n'as peut être pas fait exprès, mais tu m'as laisser partir. Et je t'en remercie, je te remercie d'avoir était la, je te remercie de m'avoir épaulé, de m'avoir fait rire, de m'avoir aimé. Ne perd pas confiance en toi, jamais. Continuent à briller, comme tu le fait.
La deuxième partie de cette lettre serra bêtement moins drôle, mais Maiky n'aura 0lus que toi, tu le sais, tu l'as toujours sue, comme d'habitude. Alors prend soins de lui, mais aussi de Draken. C'est deux on une caraoasse en assier mais tu vas réussir à les percée je sais, de toute façon c'est se que tu fais tout le temps. Elours j'aurais une faveur à te demander. Emma ne reste pas seule avec t'es souffrance, tu ne oiyrras pas porter leurs peines plus les tienne seule, tu es gentille et généreuse mais tu vas finir par craquer. S'il t eplait ne vies pas pour eux, fait le aussi pour toi.
Je t'aime Emma. Et je t'aimerais toujours, bon courage.
Maoï.

Je rigola quand je finit cette lettre, un fou rire incontrôlable, elle... Elle était là fille la plus surprenant d el'histour, un mélange we culot, d'égoïsme, de gentillesse et d'amour. Maoï reviens vide je n'y arriverais pas toutes seule. C'est toi qui nous portait à bout de bras...

Une larme, un sourire, un espoir Mikey X OcOù les histoires vivent. Découvrez maintenant