Une larme, un sourire, un espoir Mikey X Oc

Chapitre 35

- Je te raccompagne Maochou !
- Comme tu veux. Dit la brune en se levant il se dirigèrent vers la moto de Maiky. Il démarra la jeune fille s'zccorcha à lui. Le trajet se passa dans un silence calme bercé par la vitesse et les ronrons du moteur. La jeune fille se sentie libre. Quand ils arrivèrent devant la rue il posa sa moto. Et dessendis
- Tu fais quoi ?
- Je te raccompagne.
- Même pas en rêve. Je refuse que vous rentrer la.
- M'en fou. Je te laisse pas allez la toute seule.
-Maiky, je te verrais pas rentrer la en se moment c'est la panique tu risque de..
- Toi aussi, puis c'est plu sur a deux.
- Et quand tu rentrera.
- Je suis le chef DU roman rien peu m'arriver.
-Bon d'accord. Mais mes ta capuche. Elle rabati la sienne en se faufilant dans les rues. Dans un coins elle vie un groupe regrouper entrain de rzketer quelqu'un . Habituelle, mais elle tiqua au centre se tenait sa mère. Elle s'arrêta, Maiky l'esquive d ejusgesse.
- Tu fais quoi ?
- La mère... Elle est au centre...
- J'y vais...
- Maiky non... Mais trop tard il était partir. Il arriva est cria.
- Elle est sous la protection du gang  Tokyo Manjikai, d'où vous vous permettre de la toucher bande de bolosse.
Sa démarche était terrifiante et les yeux de sa mere perdu. La jeune fille était tétanisé, sa mère ne sa si pas pour le Toman, elle ne sais pas que sa fille était une demi ganté. Elle vis Maiky engagé le combat, un se dirigea vers sa mère, elle coura et Parra le coups. Elle Parra aussi le deuxième et balanca sont poing de toute ses force dans le foi du gas, il était résistant il envoyé son poing de la tête de la jeune fille. Elle ne l'esquive pas pour pas que sa mère soi blesser. Mais sa capuche colla. Elle enchaîna 5 coups rmaide et précis, genoux, côte, plaxuce solaire, Foix, et sous le menton il s'écroula. Deux se jetèrent en même temps su elle. Elle para le premier coups et esquiva le deuxième. Elle donna un coup d eboule ua premier qui tomba. Le deuxième sorti alor sun couteau la jeune fille grimaca il se jetta sur lui. Elle attrapa son boigner le mit en l'aire polenta son genoux dans son ventre. Puis elle fini par lui casser le bras. Elle rlerva la tête Maiky avait fini aussi de son côté.
- Maoï, qu'es que tu viens de faire.
- Mas ici maman. Maiky on se voix bientôt.
La brunette tirra sa mère jusqu'à l'appartement. Une fois dedans s amère était rouge de colère.
- Maoï ! Es0lique pourquoi tu sais aussi bien te battre ! Je t'avais interdit de retoucher à la baston ! Je te l'avais interdit ! Puis c'est quoi se gang qui nous protège ! TU NE VA SPAS FINIR COMME LUI ! TU M'AS DIS QUE TU KE TE VZTRAIS PLUS ! POURQUOI MA FILLE ET DEFENU UNE RACAILLE !
- Le Tokyo Manjikai et un gang...
- Mais encore ? Pourquoi il nous protège.
- OK à des amis en commun.
- Pas à moi Maoï ! Qu'es que tu as avoir avec eux et pourquoi t'y sais toujours aussi bien te battre sa devais fair 5 ans que tu ne touche plus à sa ! J'ai mit tant d'énergie...
- TU VEUX QUE JE TE DISE QUOI ! QUE TA FILLE EST VIOLANTE ? QUE C'EST UNE RACAILLE ET BEIN OUI ! APRÈS PAPA COMMENT VOULAIS TU QUE JE FAGE COMME SI TU ETIAT PARFAIT ? TU AS VUE  OU ON HABITE ? SI JE N'AVAIT PAS ÉTAIT LÀ AVEC SE PETIT GANG, ON SE SERRAIS FAIT AGRESSER TOUT LES JOURS ! TU R'ASURER PEUT ÊTRE SE LA FINANCE MAIS MOI JE GÉRER NOTRE SÉCURITÉ ! OUI JE VAIS PARTI DU TOKYO MANJIKAI ! JE SUIS MÊME UNE MABRE FONDATRICE ET LA CHEF DE LA QUATRIÈMEMENT DIVISION ! OUI JE ME BAT SOUVENT ! SA TE VAS!
-JE T'INTERDI DE DIRE QUE JE NE SUIS PAS AU COURANT DE LA MAINERE D'OÙ ON VIS MAIS CROIE MOI C'EST CERTAINEMENT PAS TOI QUI ASSURER NOTRE SÉCURITÉ ! TU CROIS QUE C'EST POURQUOI QUE JE BOSSE AUTANT ! JE LES PAYE TOUT LE SMOIS POUR QU'ON SOIS EN SÉCURITÉ ! ALORS MAINTENANT JE T'INTERDI DE VOIR MIKEY, DRAKO, MARCO, CHIFUMI ET BAJI ILS ONT UNE MAUVAISE INFLUANCE SUR TOI ! ET QUE TU QUITE LE TOMAN !
- TU T'INTÉRESSE SI PEU À MOI QUE TU NE SAIS MÊME PAS LE NOM D ZMES AMIS ! C'EST MAIKY DRAKEN, MITSUYA ET CHIFUYU ! ET T'INQUIÈTE JE NE VERRAIS PLUS JAMAIS BAJI ! PUISQU'IL EST MORT ! MAIS JE PENSE QUE SA AUSIS TU T'EN FOU ! ET NON JE NE QUITERAIS JAMAIS LE TOMAN !
-POURQUOI TU REFUSE TOUJOURS DE M'EOCUTER ! J'AI TOUT FAIT POUR TOI !
- TU N'AS JAMAIS DONNER DES CONSEILLE QUI LE CORRESPONDE À MOI !
- RÉFLÉCHIT A TOUT SE QYI C'EST PASSER ES QU'IL T'ON VRAIMENT APIRTER DU BONHEUR ! ES QUNUK NE SONT PAS UNE PARTIE DU MAL ÊTRE QUE TU RESSENT ! ES QUE TU AULE VRAIMENT LA VIOLENCE ?.
- OUI ! OUI IL M'ON APIRTER BIEN PLUS QUE TU PENSE ! OUI J'AIME LA VIOLANCE. ME DÉFOULER SUR DES CLAQUE À. CLAQUE! OYI JE NE T'ÉCOUTE ! MAIS JE TNEMMERDE TU N'AS JAMAIS ESSEYER DE ME CIMORENDR !
- ET TOI TU AS ESSEYER D ÈME COMPRENDRE!
- "MOI J'ÉCOUTE SE QUE TU ME DIS VAS TE FAIRE FOUTRE !
- SI TU REFUSE SA QUITE MON TOUT JE NE VEUX PERSONNE DE VIOLANT SOUS MON TOIT !
- TRÈS BIEN !
Elle récupéra à la vas vide quelque affaire et claqua la porte elle couru jusqu'àu parque en vas de chez elle. Elle alluma sa clope retenant ses larmes. Elle allez l'allumer quand une voix resonna dans sa tête. "promet moi d'arrêter tout se qui est auto destruction." elle jetta sa clope. Il était midi elle se dirigea vers une boulangerie. Acheta un sandwich et retourna dans le petit parc. Elle s'assis elle mit son mp4 en route. Elle laissa les musique d'enfiler. Elle sortis de son sac un carnet, elle commença à gribouiller ses penser les plus noir, ses analyses sur cette société, sur ses émotions. Des lettre à son père, à Sanjiro, et Baji. Dans se carnet il y avait tout, tout son cœur, toutes ses emitio', ses espoirs ses meure, ses larmes. Écrire mettait plat toutes ses émotion qui lui traverser la tête, toute se spenser qui bouger dans tout les sens. Au bout de 6 page écrite elle se leva et commença le chemin jusqu'à la tombe de Baji. Chifuyu était devant avec la moutier d'une boîte de patte. La jeune fille se mit à genoux à côté de lui. Il pleurer à chaude larmes. Elle posa sa main sur son épaule.
- C'est dure un...
- Comment veut tu que sa ne sois pas sûre ?
- C'est la troisième personnes qui les cher que je perds, tu te sens seul, perdu, tu as un trous dans ton cœur, tu passe un bon moment puis son visage arrive et tu dis que lui ne vivera plus jamais. Tu te dis que tu veux te peindre à personne par ce que tout le monde vas mal. Do c tu te renferme. Chifuyu n'oublie pas de continuer à vivre. La brune se leva et partir. Chifuyu resta sans savoir quoi dire. Maoï était bien plus style que se que n'importe qui pouvais dire. Elle restais clame même la.