Une larme, un sourire, un espoir Mikey X Oc

Chapitre 50

Mon téléphone sonne, je répond tout en m'étant le bol de lait devant Mana qui crillait contre sa sœur.

Je décroché en leur implorant le silence des yeux. Et attrapant un verre de jus de fruit

- Oui ?

- Euh salut y a Maoï qui a... Sauter d'un pont elle est entre la vie et la mort

Mon verre de jus de fruit s'éclata au sol. Mes sœur sursotaire.

- Elle est où ? Je peux la voir ?

- à l'hôpital faut que tu ailles chez Maiky Draken te rejoindra et vous irrais tout les trois ordre de Maiky.

- Très bien. Je raccroche, après Pach, Kasutora et Baji. C'est toi Maoï, mais hier pourquoi tu était si heureuse ? Je refusais de le croire. Se n'était pas possible. Je ne lr croyais pas. Alors pourquoi des goûté salé voulais sur mes joues.

- Taka ça vas? C'était Luna qui me regardais paniquer.

- Je sais pas. Euh je dois y allez j'ai une urgence n'allais pas à l'école aujourd'hui et rester à la maison, appeler maman pour lui dire que j'ai une urgence que je ne peux pas m'occuper de vous. Je partis en courant de la cuisine attrapa une veste une oerer de chaussure et partis en courant vers ma moto je d'emara à toute vitesse. L'aire sur le frond me fit du viens, je jouais avec mon accélérateur, Doubl1ns les voitures. Maoï, ma Maoï, toi et tez blague, toi et ta gentillesse, toi et ta tendresse, toi et ta force.

Non tu ne pouvais pas partir tu avais trop de chose à faire. Je voulais te voir te marier avoir des enfant. Se n'est pas veia tu vas t'en sortir. Pourquoi je pleurais tant ?

J'arriva chez Maiky cacha mes larmes.
Draken arriva quelque seconde plus tard lui aussi allais mal. On rentrais Maiky était déjà près de sa moto, regardant le sol.

On resta la quelque seconde sna sparkler. J'engage a la discutions. Pour savoir si quelqu'un savais quelque chose. Mais rien, se n'était pas possible. On partis tout les trois avec Emma qui nous rejoins on roula vite, trop, on arriva a l'hôpital j'etait incapable de dire quoi que se soit, je laissa Emma nous dirigeais vers la chambre. On rentra, Maoï était la allonger snas vie un gros masque sur sa bouge qui se remplissais de burr régulièrement. Le s in remplissait la salle, et deux de se smepbre était en plâtre. Se n'était pas possible je ne voulais pas croire t mes yeux.
-Maoï réveillé toi se n'est plus drôle !
Le crue de Maiky brisa les bon et le sortir de mes penser. Je le vis se reculer sur une chaise. Je m'av1nca en même temps que Draken. Je m'assis sur son lit et pries sa main, mon cœur s'arrêta, sa amin était froide.
Une dame arriva, la porte dans un grand bruit s'ouvrit. Elle se jetta dans le sbras Maoï. Draken et moi nous leviament juste à temps. Je la haïssait, Maoï avait souffert à cause d'elle. Maoï serrais sûrement allez mieux avec une autre mère. Je nneocuta pas son baratin debout 1 côté du lit de maoï toujours nos main lié. Je nneciyt1 pas son discourt et honnêtement je ne voulais pas l'entendre.

- Tien Mitsuya. Je regarde se que me rendais Draken, je vie l'écriture à Maoï, je l'ouvrit d'un coups. Lachant q main. Je reconnus son écriture fine. Et lue :
Coucou mitsuya,
Honnêtement, je suis sincèrement désolé de tout le mal que je viens de te faire. Je voudrait telement être heureuseuse. Je crois qu'avec toi je l'ai goûter, le bonheur. Tu m' as appris se qunetzit une famille. Et tu as fait parti de la mienne. Mon grand frère. Qui me qu'avez de tout mes mauvaise passe qui m'acceuiler chez lui. Mitsuya tu es vraiment un frère génial, je t'aime mon frère.
Je ne veux pas que tu te sente coupable, de ma mort, parce que tu m'a retarder, et tu m'as remis de voir, et vivre plein de nouvelle chose. Mais mon cœur et devenus trop lourd 1 porter et s ztu ne pouvais rien n'y faire même si avec toi mon cœur était un peu plus léger.
Mitsuya, tu es vraiment une personne incroyable. Je te l'ai pas assez dit.
Dit à tes sœur que je les aimerx aprz dtout c'était aussi le s petites sœurs.
Pardonne moi mon frère.
Prend soins de Maiky pour moi.
Maoï.
C'était vrais Maoï était vraiment.... Je... Une larme coula sur ma joue mais personne ne l'a vue. Maoï reviens je t'aime. Tu es ma sœur.