Par ma faute ~Kiribaku~

•Chapitre 12•

Bonjour ! Oui encore un message oui je sais mais il faut encore que je vous remercie !on a dépassé les 500 et même les 600 vues ! On est à 666 (oui je trouve ça drôle) donc je voulais vous remercier de continuer à lire mon histoire et d'être au rendez vous ! Certains d'entre vous saute sur la notif et franchement je ne savais pas que cela pourrait être possible pour mes livres. J'ai l'impression d'halluciner, vous vous rendez compte y juste 2 chapitres on était à 450 ? Vous êtes des tarés je vous aime<3 Merci encore<3 pour toute la motivation que vous m'apportez en votant, commentant ou simplement en lisant !

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PDV : Bakugo

-après une semaine...

J'ai arrêté d'écouter le reste de sa phrase. Comment ça une semaine ? Une semaine que je dors ?

-hein ?

Ce fut la seule chose que j'étais capable de prononcer. Je suis tellement fatigué mais comment est ce possible ? J'ai dormi une semaine.

-enfin bref fini de rigoler ! Tes parents sont en bas à la cafétéria ils attendent Uraraka et ses parents.

-quoi ?! Elle va bien ?! Elle est sorti de l'hôpital ?!

-wow wow respire ! Il lève les mains en l'air comme si je comptais lui tirer dessus. Alors oui elle va bien mais non elle est pas encore sorti quand même.

Je soupire j'aurais aimé dormir 1 mois  peut être qu'à ce moment là cette histoire sera enfin derrière moi...

-katsuki !

Je me tourne vers la voix qui avait hurler mon nom : super maintenant j'ai un mal de crâne merci le daron.

Mes parents me firent un rapide câlin tout en me disant à quels points je leurs avaient manqué.

-la veille, j'ai compris que je t'ai manqué c'est bon pas la peine de me donner une migraine.

-je me dois de te faire la morale ! Et puis arrête de m'appeler comme ça !

-oh s'il vous plaît arrêté. Vous allez pas commencer alors que ça fait à peine 5 minutes qu'on s'est retrouvé.

Je soupire et détourne le regard et un silence s'installa dans la pièce vite interrompu par une toux.

On se tourne tous vers le bruit totalement simulé.

-oh pardon ! Entrez.

Elle parle à qui ? Je pu rapidement répondre à ma question : c'était Uraraka et ses parents. Putain tout mais pas ça et j'ai même pas eu l'occasion de réfléchir à ce que j'allais leur dire ! 

-bonjour Bakugo.  

-euh-

Je baisse la tête en coupant ma propre phrase. Qu'est ce que je suis sensé dire où même faire !? Putain ! Je suis dans la putain de merde ! Si seulement j'étais pas un putain de monstre !

Je me fis interrompre par la main bienveillante d'Ei suivit d'un petit sourire, avant de soudainement s'éloigner pour passer l'embrasure de la porte : nous laissant seuls avec Ochaco.

Plusieurs minutes passent, où je n'ose pas la regarder. Je sais pas pourquoi ça me touche au tant mais c'est comme si mon cœur était comprimé par la culpabilité.

Je croyais mettre enfin débarrasser de cette sensation que je déteste du plus profond de mon âme.

Elle finit par enfin ouvrir la bouche pour me couper de mes rêveries.

-écoute Bakugo, je ne t'en veux pas comme tu as sûrement dû le croire car tout est de ma faute. J'ai été ignorante et je suis rentrée dans ton intimité alors je te demande pardon.

Je ne pu m'empêcher de laisser sortir un petit soupire soulager tendit qu'elle sourit je compris alors rapidement qu'elle était fière que je me sois un minimum inquiété pour elle.

-tu crois vraiment que je me sens coupable ? Évidemment que c'est de ta faute ! Criais je sans vraiment le penser.

Elle rit doucement, devant pas du tout le croire.

-bas voilà je te reconnais mieux là ! Continua t elle de rigoler.

Elle se fout ouvertement de ma gueule en plus ! Bon je suppose que ça passe pour cette fois et puis je suis fatigué.

Pendant que je cherchais des excuses pour ne pas exposer Uraraka qui n'atteindront pas trop mon ego, quelqu'un rentra dans la pièce et se plaça dernière elle en mettant ses mains sur ses épaules.

-ma chérie il faut qu'on y aille ton infirmière nous attend. Dit son père doucement elle s'empresse alors de partir de la pièce pour rejoindre sa mère dehors, me laissant seul avec son père.

Il se tourne vers moi pour ajouter : ma fille t'as peut être pardonné mais pas moi alors non c'est histoire n'est pas fini tu ne va pas t'en sortir comme ça.

Il ne reste pas plus longtemps et part, putain moi qui croyais que c'était bon et que je pouvais enfin respirer sans me sentir comme étouffé. Eh bien la sensation est déjà revenu...

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668 mots

Heyyyyyyy les gens ! Vous croyiez que c'était fini ? Et bien non ! Toujours le darons pour protéger leurs enfants ! N'est ce pas trop chou ?! Bon désolée j'arrête les conneries ! En réalité j'ai beaucoup hésité car je suis toujours dans ma fase "s'il vous plaît donnez moi du cute je veux pas de problème juste de cuuuuuute !" (Oui c'est précis) donc justement j'ai hésité à mettre des problèmes. Enfin bref je suis toujours là à vous raconter ma vie mais je vous ai jamais écouté oulala qu'est ce que je suis chiant désolééééé !

Tchouss mes beatchs<3