•Chapitre 19•

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PDV : Bakugo

La policière Toga vien juste de partir. Je soupire, qu'est ce qui va se passer maintenant ? Je vais avoir un cassier ? Je vais me faire virer du lycée ? Ou je vais aller en prison ?

Bon c'est pas comme si je le méritait pas. Clairement pas mais j'ai peur, j'ai peur que ça gâche ma vie, peut être celle de mes parents ou encore celle de Kiri.

Je soupire, j'en ai marre de réfléchir. Il faut que quelqu'un me sorte d'ici. On dirait bien que le monde m'ait écouté car une personne rentre soudainement dans la pièce. Je reconnais rapidement celle-ci, c'est Toga.

Elle s'approche de moi et me tend un téléphone pour vite rajouter :

-tiens, c'est ta mère. Elle voulait le parler.

-merci. Dis-je en attrapant le cellulaire.

Elle ne répond pas et sort de la salle. Je dirige donc mon attention vers l'objet parlant dans ma main. J elle rapproche et dit :

-allo ?

-oh Katsuki ! C'est enfin toi ! Ne t'inquiètes pas j'arrive dans 5 minutes ! Je vais juste aller le dire à mon patron et j'arrive !

Je rigole, c'est tellement drôle quand elle panique. Tu l'entends rien qu'à sa façon de parler : elle parle tellement vite que tu as du mal à discerner ce qu'elle dit.

- t'inquiètes. T'as pas besoin de venir.

-raconte pas de conneries Katsuki ! J'arrive payer ta caution !

-ça ne sert à rien que tu viens et je veux encore moi que tu payes ma caution.

-pourquoi i faut toujours que tu sois si têtu ?!

-maman, ça sert à rien. Ne gâche pas ton argent.

Elle ne répond pas immédiatement, surment choqué du faite que le l'appelle maman, ce qui arrive presque jamais. Elle sais que c'est toujours sincères et sérieux quand je l'appelle avec ce surnom.

-vraiment maman, s'il te plaît.

Je crois que je l'ai achevé avec mon "s'il te plaît" mais il le fallait : j'ai vraiment pas envie qu'elle se mette dans la merde pour moi ni avec son putain de patron ni avec l'argent.

-euh d'accord, si ça te tiens tant à cœur que ça. Je vais quand même rester avec toi au téléphone !

-je suis pas sûre que ce soit possible. Dis je en voyant Toga rentrer à nouveau dans la pièce.

-je suis désolée mais je vais devoir te reprendre le téléphone. On te l'a laissé car tu es mineur même si on avait pas vraiment le droit.

Je lui passe alors le téléphone sans broncher toute en la remerciant au passage. Elle a vraiment pris un risque en faisant ça. Je pense qu'elle est vraiment plus gentil que les deux gars qui m'ont arrêté y a deux heures à peine.

J'en garde d'ailleurs une putain de douleur aux genoux ! Quelqu'un a surement déjà essayé de mes tuer, pour qu'ils aient autant de haine envers moi.

Je soupire encore, je suis de nouveau seul maintenant. Qu'est ce que je suis sensé faire ? J'ai tout raconter à Toga et maintenant ? Est ce que j'aurai un quelconque impacte dessus ou est ce que si le père d'Uraraka veut le faire tomber, il tombera ?

Putain tellement de différents scénarios peuvent se produire mais je n'eu pas vraiment beaucoup de temps pour y penser car j'ai entendu un cri que je reconnu rapidement.

C'était Kirishima qui venait de criait dans le commissariat.

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552 mots

Heyyyyyyy les gens ! Putain il m'en aura fallu des recherches pour ce chapitre et pour cette fic en général ! J'ai fait des recherches sur les systèmes juridiques du Japon et de la France car je trouvais rien sur Japon enfin les trucs que je cherchais. Enfin bref j'arrête de me plaindre car c'est totalement normal et que j'ai vraiment envie de faire en sorte que mon histoire soit un minimum réaliste (je vais essayer).

Tchouss mes beatchs<3

Par ma faute ~Kiribaku~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant