Infidèle [Tome 1] [Vampire] [Omegaverse] [DekuBaku]

Souffrance

PDV Katsuki :

Une fois chez moi Marius ma carrément kidnapper hors contacte d'Izuku, j'ai du lui expliquais la situation, après il avait vue le jeune garçon qu'on avait en quelque sorte sauver, il a acceptait de l'héberger avec moi, j'étais heureux mais aussi triste, triste parce que j'aurais jamais son ventre, j'aurais pas d'enfant, après on s'occupait de lui, Izuku lui devait rester cacher chez nous en attendent de trouver une solution a son problème, le lendemain le garçon était heureux d'avoir trouver des gens comme nous, certes c'était un Oméga tout comme moi mais j'aimais pas être a coter de lui, même pour manger.

La perte de mon bébé m'affectais beaucoup, parfois je restais dans ma chambre a sombrer, Marius venait me voir avec Izuku pour savoir comment j'allais mais je préférais me réfugiais sous la couette au lieux de les répondre, le lendemain c'était pire pour moi, le garçon était venu me voir mais ce qu'il ne savait pas c'était que c'était lui le problème, je souffrais de voir son ventre si rond alors que moi j'en n'aurais pas, ça m'attristais de plus en plus, je regardais souvent la baie vitrée de ma chambre a regardais des couples avec leurs enfants, je me haïssais du plus profond de mon être.

C'était de ma faute, alors comme chaque jours j'étais la a me torturais entrain de regardais c'est personne si heureux d'avoir une famille, je savais qu'on me regardait sans rien dire mais je fessais comme si le monde autour de moi n'exister pas, rien que moi et les familles heureuse que je regardais, j'étais vide d'esprit, j'étais plus moi même, je me morfondais en mangent de la glace au caramel que Marius acheter car il savait que j'en avais cruellement besoin, certes c'était pas bon pour moi de manger cette cochonnerie mais c'était la seule chose qui me fessais sentir bien.

- Izuku : *Prend le bot de glace des mains de Katsuki* Katsuki arrête de manger ça

- Katsuki : Je m'en fiche de ton avis

- Izuku : *Pose le bot* Tu te torture tout seul

- Katsuki : Qu'est-ce que ça peut de faire ?

- Izuku : Mais enfin Katsuki c'est pas en regardent les autres familles que tu vas aller mieux

- Katsuki : Laisse moi

- Izuku : Je sais que c'est douloureux de perdre un bébé mais faut passer a autre chose même si c'est douloureux

- Katsuki : Je ne pourrais pas

- Izuku : D'accord, je te laisse alors *Prend le bot et part de la chambre*

Après qu'il soit partie j'ai pleurais.

Comment pouvait t'il dire ça ?

Passer a autre chose ?

Sérieusement qu'est-ce qui cloche chez lui ?

On dirait que ça lui fait rien d'avoir perdu notre enfant.

- Izuku : *Pose sa main sur l'épaule de Katsuki* Bien sur que ça me fait quelque chose

- Katsuki : *Vois brisé* On dirait pas

- Izuku : Je suis désoler que tu le ressens de cette manière

- Katsuki : Je suis qu'un tueur d'enfant

- Izuku : Mais non voyions

- Katsuki : C'est la pure vérité

- Izuku : Katsuki tu sais parfaitement bien que les premiers mois sont risquée

- Katsuki : Je sais

- Izuku : C'est comme ça malheureusement c'est tombé sur toi et on y peut rien contre dame nature

- Marius : Il na pas tord Katsuki ce n'est absolument pas te ta faute si ton bébé est mort

- Izuku : Katsuki regard moi dans les yeux

- Katsuki : *Regard Izuku dans les yeux* Oui ?

- Izuku : Bon je sais que c'est pas le bon moment mais voila je t'aime Katsuki

Hein ?

- Katsuki : Quoi ?

- Marius : Ta une femme Izuku

- Izuku : Me parle pas d'elle je la considère même pas comme ma femme, elle vaut rien pour moi

J'avais envie de l'entendre encore, entendre << Je t'aime >> venant de ça pars encore et encore.

- Izuku : *Sèche les larmes de Katsuki* On va affrontait ça ensemble *Sourit*

- Katsuki : D'accord

Certes je souffrais mais ils étaient la pour m'aidais dans cette épreuve difficile, bien sur j'ai du dire au garçon qu'il me fessait souffrir avec son ventre et j'ai lui aussi dit pour ma fausse couche, il avait pleurait et m'avait demander pardon, mais c'était pas de sa faute, c'était de ma faute, je souffrais de je que j'ai vécus, de ma fausse couche, de la perte de mon bébé, de pas avoir de ventre, de ne plus être enceint, tout fessait que je souffrais et que je me réfugiais la dedans sans pouvoir en sortir mais heureusement pour moi je suis bien entourais de personne bienveillante.

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COUCOU LES LOULOUS,

C'est la fin du chapitre quarante-sept.