Soleil 16

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La semaine d'après, on retourne mener l'enquête, on suit notre piste principale : le Nightclub. Phaeron a réfléchi à une approche différente.

Il a eu des renseignements concernant le gérant du Nightclub, il a un faible pour les filles inaccessibles et déjà prises. Alors on a convenu que l'on devait jouer un rôle, celui de deux personnes très proches.

J'attendais Phaeron devant l'entrée de la boîte. Il était encore plus attirant dans ses vêtements que la dernière fois.

Il portait un jean de couleur bleu délavé, un tee short blanc quasi transparent je pouvais aisément voir sa musculature parfaite.
Une de ses mèches dépassait et venait se poser délicatement sur son visage.

Quant à moi, je me suis lâchée cette fois. J'ai opté pour une combinaison noir opaque avec un décollecté plongeant, je n'avais pas mis de sous-vêtements, il était impossible d'en porter avec cette dernière.

La combinaison était recouverte de broderies de fleurs rouges. Le pantalon descendait jusqu'à mes pieds en pattes d'éléphant. Mais il était transparent mais pas au point de voir mes jambes distinctement. Il n'y a qu'au niveau de mes parties intimes où la combinaison était plus foncée.

Je m'étais lissée les cheveux et je les avais plaqué en arrière. En arrivant dans la file, Phaeron ne me lâche pas du regard. Cette fois, il ne pose pas sa main juste au-dessus de mon postérieur, il pose la main sur mon postérieur. Je le regarde surprise.

« Le jeu a commencé, prépare-toi. »

Je souris.

Ce jeu comme il dit, va fortement me plaire. Je pose ma main aussi sur son postérieur. Cela le fait sourire aussi.
Une fois à l'intérieur, la lumière fait ressortir le tee short blanc de Phaeron et moi simplement ma peau, puisque je n'ai pas mis de sous-vêtements. Phaeron m'attire sur la piste de danse.

Il pose ses mains d'abord sur mes hanches en les faisant glisser délicatement. Mon corps commence à s'enflammer, chaque partie qu'il touche ou frôle flambe instinctivement.

Mon souffle est de plus en plus lourd, je suis obligée d'entrouvrir la bouche afin de pouvoir respirer correctement. Ses yeux verts ne me lâchent pas du regard, il relève mon visage avec ses doigts sur mon menton. Il sourit. 

***

Caliente les deux

Aket, le soleil se lève en Orient[TERMINÉE] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant