DIOSES

CHAPITRE 27 : I'm back, like him.

TW : Auto-destruction, cicatrices, description profonde, phrases pouvant être dérangeantes.

Faites attention à vous, tous ça n'est absolument pas a prendre a la légère, ne vous faites pas mal, pour aucunes raisons.

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Nos souffles s'accordent à perfection, son torse nu me fait face. Ses lèvres entre ouverte s'ouvrent à moi. Mon torse se gonfle, et redescend vite. Mon cœur bat si vite, que je ne ressent plus battements, pleut être qu'il ne bat plus ? pensais-je, intérieurement.

Ses doigts toujours aux contacts de mon corps, chaque mouvement qu'ils produisent me donne des frissons intenses. Mes paupières se ferment à chaque sensation ressentie.

Je vois le visage d'Owen s'attendrir, puis il vient déposer tout son poids sur le cotés de mon corps. Ses iris se déposent sur les miennes, je ne peux pas distinguer ses yeux mais je sais qu'ils sont posés sur moi.

- Je me demande bien ce que tu as pu demander à Noël. Dit-il entre deux regards de tendresses.

Sa question me provoque un sourire,c'est totalement hors contexte, mais surtout adorable. Mes yeux se posent dans les siens, le fixant, le sourire étirer sur les lèvres.

- Rien du tout, soufflais-je.

Je vois ses traits se durcirent, ses sourcils se froncent. Son corps viens passer au dessus du mien, et il me regarde, les yeux dans les yeux. A califourchon sur moi, il pousse une mèche de cheveux, les yeux brillants.

A quoi pense-t-il ? me disais-je, le sourire aux lèvres.

- Tu viens de trouver un cadeau de noël ? Lui dis-je, d'un air joueur.

Son visage se rapproche du mien, et son regard dévore l'entier de mon corps. Il sourie, effleurant ses lèvres sur les miennes, fière de ce qu'il vient de penser, ou plutôt d'imaginer.

- Je pourrais être ton cadeau, Ava, dit-il, ses yeux dans les miens.

Ses mots, sa bouche. Panique dans mon cœur, et mon corps.

★

Je suis assise dans l'avion, a coté de Noa, ma tête est en direction du hublot. Dire que ce matin je dormais dans les bras de Owen, maintenant je m'envole Philadelphie, dans ma maison, ma vraie maison. Je suis si heureuse, je déborde d'émotion. Noa a emmener Stan avec lui, j'aurais aimer pouvoir amener Emy, mais elle n'est pas la.

Noa dort paisiblement, juste a coté de Sofien et Stan. Nous sommes en début d'après-midi, les nuages cachent le ciel bleu. Je n'imagine pas la réaction de la mère de Noa, elle ne m'a pas vu depuis presque six mois. Après sa mort, je ne pouvais plus aller chez la maman de Noa, elle ne préférait pas, car Noa traversait un moment très difficile, tout comme elle.

Le vol dure trois heures, chaque minutes deviennent de plus en plus longues, je veut juste atterrir, et la retrouver, pensais-je. Mon visage se tourne, et je découvre les yeux de Sofien qui sont tournée dans ma direction, il ne me sourit pas, mais me scrute intensément. Je roule des yeux, et ses sourcils se froncent, un rire s'échappe de ma bouche, détournant le regard, il semble un peu endormie.