Une Interview qui change tout... (Jortini)

Chapitre 16 Partie 2 : Te amo cosí tanto...

PDV de Tini

Je lui laissa donc environ trente minutes pour qu'il prépare ce qu'il voulait. Pendant ce temps, je réfléchissai à ce qu'il allait me dire tout en enfilant ma robe. Je préparais de quoi répondre pour n'importe quelle explications il voulait me dire. Je ne sais pourquoi, mais je me sens tellement tracassée cela me parait assez bizarre qu'il veule me parler maintenant, juste après notre explication. Je lui avais laissé assez de temps pour qu'il prépare quelque chose.

En descendant des escaliers, je vis une table bien dressée. Je pense qu'il veut me parler de la garde pour Éléonore. Je redoute le pire... Qu'il me traine devant les tribunaux pour avoir la garde partagé. Si il me l'enlève, je ne pourrais pas lui en vouloir mais.... Je ne voudrais pas qu'il l'ai pour lui tout seul c'est assez égoïste de ma part... J'allais pour rentrer dans la cuisine, et une odeur délicieuse s'en échappait. Je pense avoir découvert le plat. J'allais rentrer quand Jorge me dit :

-Ne rentre pas va t'asseoir directement à la table., gronda-t-il depuis la cuisine.

En l'écoutant, j'alla m'asseoir à ma table. Il suffisait que le plat arrive pour vérifier mon intuition ! Et si c'est ça,il s'en souvient encore...

Je jouais avec la broderie de la table quand Jorge rentra avec deux assiettes. Je crois que c'est bien ce que je pense....

-Poulet basquaise et riz pour madame,dit-il en me la posant devant moi avec un léger sourire.

-Tu t'en souviens ?,lui demandais-je sachant bien la réponse.

-Je n'aurai pas oublier l'un de tes plats préférés, me répondit-il avec un grand sourire.

-C'est très gentil de ta part Jorge,lui avouais-je sincèrement.

-De rien, cela m'a fais plaisir de te faire faire plaisir Tini. Tu t'es changée ?,me demanda-t-il.

-Oui, manger en nuisette, c'est très peu pour moi,lui répondis-je.

-Tu sais je préférer ta tenue DD tout à l'heure !,me lança-t-il avec un sourire pervers.

-Je te reconnais bien là Jorge !,lui rétorquais-je.

-Tu n'as pas tord,m'avoua-t-il.

-Bon tu voulais me parler,commençais-je en entamant mon assiette.

-Au dessert s'il te plait,me demanda-t-il.

-D'accord... Mais tu as fais un dessert ?

-Oui... Trois fois rien, un fondant au chocolat,déclara-t-il.

-D'accord mais depuis six bras te sont poussés ?,en essayant de ne pas rire.

-Le gâteau est une préparation que tu avais Tini, et non je ne suis pas un monstre !,dit-il en riant légèrement.

-Je n'ai jamais dis ça,déclarai-je en finissant mon assiette.

-Je sais Tinouille La nouille je te taquine !,me dit-il.

-Hey ! Je suis pas une nouille OK ?

-Non tu es une grenouille !

-Pfff... Espèce d'ourson va !,dis-je en me levant pour débarrasser.

-Non Tini laisse ça là, je m'en occupe.

-Tu es sûr ourson car je peux le faire.

-T'inquiète je m'en occupe Grenouille !,en prenant mon assiette.

-Merci.

-Je vais mettre un peu de temps car je dois monter la chantilly.

-Pourquoi te donne-tu autant de mal  ?

-Parce que ça me fait plaisir Tini...,s'écria-t-il en montant la chantilly.

-Je trouva ça bizarre qu'à minuit tu me fasses un diner.

-Ne soit pas tant sur tes gardes Tinouille !,me rétorqua-t-il en revenant avec deux assiettes.

-Ouais... Tu voulais me dire quoi Jorge ?

-C'est à propos de ce qu'on a parlé ce soir...

-Oui... Et ?

-D'accord.... Je vais te le dire mais ne me coupe pas.

-D'accord !

-Voilà, ce soir on a discuté et on a mis les choses au clair. Mais, je vais quand même te dire quelque chose. Je me suis rendu que même après un an de séparation, je ne peux t'oublier. Et même si dans tes yeux je ne voisin plus cette petite flamme, en moi elle brule toujours. Je t'ai dis que je n'étais pas jaloux de Peter mais c'est totalement faux. Je suis peut-être égoïste mais je veux que tu n'appartienne qu'à moi seul. Je suis possessif quand il s'agit de la femme qui me fait perdre la tête et que je n'arriverais jamais à oublier . Je sais que je suis extrêmement jaloux même si tu ne le comprend pas mais je ne peux pas t'oublier. Alors je sais que je vais peut-être regretter ce que je vais te dire mais Martina Stoessel Alejandra Muzzlera... Je suis littéralement et  inconsidérablement amoureux de toi ! Te ami cosí tanto !