Partie 18

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J'ai sentis le poids de la culpabilité pesait lourdement sur mes épaules.

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J'ai supplié les filles de me ramener à l'hôpital. Elles sont hoché la tête et elles m'on conduit la bas.

Elles m'on conduit jusqu'à sa chambre. J'ai vu Esma pleurait à côté de son lit, les mains sur le visage. Khadija aussi était là. Elle tenait la main de son frère mais elle pleurait pas. Jamais même. C'était troublant d'ailleurs. Elle avait une sorte de carapace. C'était compliqué de la cerner. Farid et Hajar attendait dehors avec ma mère, que j'avais pas revu depuis que j'étais rentré d'Algerie. D'ailleurs mes valises étaient encore dans le coffre de la voiture de Fanta.

Yemma : je suis soulagée que tu sois rentré benthi

Je l'ai serré contre moi. Elle avait des cernes et le visage mouillés de larmes. Qu'est ce qu'elle avait enduré ma mère... Subhan'Allah. Et elle était toujours debout.

Moi : comment il va ?

J'ai jeté un coup d'œil à travers la vitre transparente de sa chambre. Il était reliait à plusieurs machine. Son rythme cardiaque était surveillé par une machine qui faisait un « bip » monstrueux. Et dans sa bouche yavais un tuyau pour qu'il puisse respirer. Sur son torse y'avais plusieurs pansements. Il était tombé sur le ventre. Il avait plusieurs côte fêlés. Je pleurais. Mais c'était trop tard. J'aurais dû réfléchir avant de partir au bled. Je culpabilisais trop même si il avait en partie fauté. J'aurais dû avoir une discussion avec lui.

Au final on est resté là toute la nuit et le lendemain on a été réveillé par un médecin. Il nous a dit que son était était inquiétant ce qui nous a démoraliser encore une fois. Je suis entré dans la chambre, j'ai pris Esma dans mes bras et elle s'est accroché à mon pull pour pleurer. Khadija est sortit de la chambre pour passer un coup de fils et ma mère a conseiller à Esma de manger quelque chose. Donc elles sont sortie toutes les deux chercher de quoi se nourrir.

Le liens quelles avaient entre elles deux c'était grave perturbant. Elles se comprenais en un seuls regard et elle se serrer les coudes entre elles. C'était rare une amitié qui durait aussi longtemps et qui était autant fusionnel. C'était deux sœurs Subhan'Allah. Et je pouvais pas m'empêcher de me dire qu'elle s'était retrouvé grâce à Rezak et moi. Si j'avais pas étais chez lui pour lui « donner une leçon » je l'aurais jamais vu et elles auraient jamais pu se retrouver.

J'ai inspirais lourdement. J'ai pris mon temps pour regardé le visage de Rezak. Et j'avais l'impression de le voir pour la première fois. Mon cœur il battait vite. Je remarquai le grain de beauté au dessus de sa paupières droite il était petit mais beau. Il rendait son visage plus jolie, plus doux. Ses lèvres étaient assez rose mais pas trop non plus. Sa lèvre du bas était plus gonflé que celle du haut. Son nez était petit et je le trouvais mignon. Et ses yeux.. j'aurais aimé voir leurs couleur verte forêt. J'aurais aimé regarder ses pupilles.

Je veux qu'il ouvre les yeux. Je déteste voir ses yeux fermés.

J'ai détestais voire le tuyau dans sa bouche, j'ai détestais voir ses yeux fermés, j'ai détestée son visage jaune, j'ai détesté les battements lents de son cœur, j'ai détestais son corps qui ne réagissait pas au miens.

J'ai posé ma paume de main sur son cœur.

Quand j'étais petite ma grand mère et mon père voulait toujours que je récite des sourates. Ils me disaient que j'avais une voix d'ange et à chaque récitation que je faisais il finissait par pleurer. J'avais déjà récitait dans des mosquées, j'étais petite mais les gens pleurait. Sa l'es touchais. J'ai plus récitait depuis mes six ans. Depuis que mon père est décédé. J'ai récitait le jour de son enterrement, ça a été m'a plus belle récitation parce que mes émotions était trois fois plus grande. Tout les gens pleuraient, des gens c'était arrêté dans la rue juste pour m'entourer.

Rezak & Tasnim : jusqu'ici tout va bien Où les histoires vivent. Découvrez maintenant