Partie 19

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Je me sentais enfin vivante.

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On a été réveillé par nos mères qui sont entrés dans la chambre d'hôpital. J'ai laissé Rezak avec elles et je suis sortie de la chambre. Mes copines m'ont prise dans leurs bras. Fanta elle m'a fait un câlin sur le côté parce que son ventre il commençait à s'arrondir. Ça se voyait bien maintenant.

Moi : ça se voit bien maintenant

Elle pleurait, comme d'habitude depuis 5 mois. Elle pleurait sans arrêt.

Cherifa : alors ???

Cherifa elle s'est tourné vers Fanta surexcité et moi j'ai fronçais les sourcils.

Fanta a sortit une enveloppe de sa poche et elle nous l'a tendu. J'ai compris que là dedans y'avais le sexe de son premier bébé.

Cherifa et moi on s'est collé l'une contre l'autre et on l'a ouvert. On a crié de joie, et pleurer de bonheur.

Moi : t'avais raison... c'est un garçon !

Cherifa : je suis tellement contente pour toi... alala

Moi : je suis trop émue w'Allah félicitations ma sœur

On l'a prise dans nos bras et on a toute les trois pleurés. On a appeler Souhil en face time qui était en Lune de Miel à Madrid avec son mari, Abdel. Elle semblait rayonnante. J'étais trop émue de la voir.

Souhil : je suis trop contente pour toi Fanta ! vous manquez tellement...

On a continué à parler un peu avec elle, puis elle a raccroché et on est sortie de l'hôpital pour prendre l'air. Je leurs est expliqué qu'avec Rezak on semblait détendue pour une fois. On a su parler sans crier et sans nous menacer. Je sentais que les choses s'arranger petit à petit. Je savais pas encore ce que notre relation signifiait mais enfaite je m'en foutait je voulais juste profiter du moment présent. Il venait d'échapper à la mort alors j'allai tout faire pour profiter avec lui.

D'ailleurs avec les filles on est allée chercher à manger pour tout le monde et je lui est tendue son menue. Il m'a souris.

Rezak : j'en avais trop envie ! tu sais quoiiii

J'ai rigolé et on s'est assis en face de l'autre et on a manger en silence. C'était un silence qui faisait du bien. Sans bruit. Ça me permettait de me vider l'esprit et de me concentrer sur son visage. Lui aussi il me fixait mais j'avais l'habitude de son regard sur moi alors c'était pas gênant. Ses yeux verts forêts il m'analyser de la tête au pied. Son regard il était grave déstabilisant je vous jure. J'aurais trop aimé savoir ce qu'il pensait dans sa tête...

Rezak : je pense qu'on devrait partir en vacance

J'ai écarquillés les yeux. Alors là je m'y attendais grave pas.

Moi : t'es sérieux ou tes entrain de me faire une blague ?

Rezak : est-ce que j'ai l'air de rire là ?

Non. Son visage je l'avais jamais vu aussi sérieux.

Moi : alors c'est vraiment ce que tu veux ? qu'on parte en vacance ? tout les deux ?

Rezak & Tasnim : jusqu'ici tout va bien Où les histoires vivent. Découvrez maintenant