Partie 55

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Plus léger que jamais.

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TROIS ANS PLUS TARD














TASNIM









Après mon accident de voiture j'avais été hospitalisé immédiatement à l'hôpital et Al Hamdulillah mes filles et moi avions survécu.

Je dis « mes » car lors de mon accouchement par césarienne les sages femme on était tout aussi surprise que moi de voir qu'un deuxième bébé était sortit de mon utérus partiellement caché par sa sœur.

Elles avaient grandit dans la même poche des eaux mais elles étaient resté dans la même positions durant mes 9 mois de grossesse. Ce qui signifie qu'on avait pas pu la voir lors des échographies. La première la cachait très bien mdrrr. Et leurs cœurs battaient au même rythme ce qui nous a fait penser qu'un seule cœur battait. Hors qu'il y en avait deux.

J'avais donc finis par donné naissances à mes filles le 15 janvier à 22h45.

La première Firdaws est sortit à 22h45 et pesait 3k450 pour 50 cm. Lorsque je l'avais rencontré pour la première fois j'avais était hypnotiser par sa peau rose et clair et ses petits yeux clairs fermait. Elle était toute petite dans mes bras et elle me regardait déjà les yeux grands ouverts alors que je venait de lui donner la vie. Ma petite Firdaws. Ma deuxième fille. Mon bébé.

La deuxième Ahlam est sortit à 22h46 et pesait 3k280 pour 48 cm. J'ai était tout aussi amoureuse d'elle qu'avec Firdaws. De toute manière elles avaient les mêmes traits de visages. Mais je remarquais aisément que Ahlam était plus sensible que sa sœur. Elle avait tendance à vouloir être plus câliner que sa sœur qui elle était un peu plus indépendante. Mais je l'ai aimais du plus profond de mon cœur comme elles étaient.

J'étais une mère comblée d'amour. Et d'ailleurs Summayah avait très bien accueillis ses petites sœurs. Elle les lâcher jamais du regard. Toujours protectrice et un peu autoritaire avec elles. Mais tellement gaga.

Mes filles c'étaient toute ma vie.

Et quand on a soufflait la bougie des trois ans pour les jumelles elles sont commençaient à se poser des questions sur leurs père et je leurs et montrer les articles de journal qui signalait sa disparition.

On avait pas retrouvé son corps depuis trois ans et trois mois.

Les médecins légistes on dit qu'il avait été resté trop longtemps sous l'eau peut-être avait-il été engloutis par la boue. Mais au fond de moi il m'arrivait de penser qu'il avait survécue mais je chassais immédiatement cette idée de mon esprit. On était pas dans un film ou une série.

Ici quand t'es mort t'as pas 5 vies après. On est pas dans Mariokart.

Hessoul on était entrain de profiter du beau temps et de la mer en ce mois de juillet. Accompagnée de mes trois filles je fixaient le soleil qui était entrain de se coucher en imaginant Rezak avec nous.

Il aurait aimé vivre en paix et profiter avec nos enfants après tout ce que nous avons traversée.

Même après toute ses année je me rappelais de tout nos souvenirs.

Rezak & Tasnim : jusqu'ici tout va bien Où les histoires vivent. Découvrez maintenant