quinze

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léa

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léa.

Je me remémorais, toutes les heures passé dans ce bureau a expliqué pourquoi j'avais voulu partir de ce monde. Combien de temps, j'avais expliqué mon ressenti visa vis de mon adoption via les Maisonneuve. Ma peine que m'avais fait endurer mes parents. Je pensais en avoir fini avec ça, j'avais tord une nouvelle fois.

Natalie — Léa ? je porte mon attention sur la femme devant qui me sourit tendrement en fermant son carnet de note. Je pense qu'il faudrait envisager de refaire un suivi. c'était la chose que je ne voulais pas. Je ne voulais pas revivre ce que j'ai vécu à l'époque. Je suis surchargée, mais je vais essayer de te trouver une place rapidement parce que c'est urgent.

Je hoche seulement la tête avec un demi-sourire et me lève pour sortir le plus rapidement possible du bureau.

Natalie — Essaye de te ménager être plus reposée de ne pas te mettre dans des situations qui te procure des émotions forte.

Facile à dire, plus compliqué à mettre en pratique.

— Merci.

Elle me sourit et je lui jette un dernier regarde avant de sortie du cabinet. Une fois dehors, je respire à nouveau et sors de mon sac ma gourde pour boire une grande gorgée d'eau. En même temps, je regarde ma montre qui affiche onze heures et hausse les épaules avant de me diriger vers ma voiture pour me rendre à un fast-food le plus poche et rentrer me reposer.

Je n'ai aucune envie de me rendre en cours, j'ai demandé à Alexia de prendre les cours et elle m'a prévenu qu'elle passerait dans l'après-midi, me l'ai donné. Je remerciais de m'avoir donné une amie comme elle.

Assis au volant encore à l'arrêt, j'envoie un message à Marcel pour le prévenir que j'ai eu mon premier rendez-vous. Il me répond dans l'immédiat, me disant qu'il est fière de moi et que je ne dois pas baisser les bras.

J'les aime bordel.

J'entre dans mon appartement avec les bras chargé de sac. Je fronce les sourcils et mon rythme accélère quand j'entends une voix dans le salon. Je sais que les garçons sont du genre a débarqué chez moi, import quand, mais ils n'auraient pas osé ne pas me prévenir. Je m'avance et laisse tomber les sacs au sol, écrasant sûrement toute ma nourriture. Je suis sans voix, la bouche entre-ouverte en n'ayant aucun mots qui ne sort.

Papi — Tu as vu un fantôme ma chérie ? il rigole, mais moi, je ne rigole pas du tout. Léa ?

— Après plus de six mois, tu t'es rappelé que tu avais une petite-fille qui t'attendait sur Paris. mes mots sont durs, mais je ne peux pas faire semblant. Je m'abaisse pour ramasser la nourriture étale par terre.

𝐛𝐞𝐡𝐢𝐧𝐝 𝐭𝐡𝐞 𝐜𝐥𝐨𝐮𝐝𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant