Nos destins liés 2, Musa&Riven

Chapitre 3

MUSA

« Cali God » Grace Mitchell

C'est la rentrée aujourd'hui à Alfea. La courre est remplie de nouveaux étudiants, tant mieux.. je passe encore plus inaperçue comme ça.

En 8 mois, rien n'a changé. Les bâtiments sont les mêmes, les élèves pareil. Mon coeur bat un peu plus vite, j'angoisse légèrement. Le fait de retrouver tout ce monde m'effraie un peu sur le moment.

Cependant, je ne flancherai pas, je ne baisserai pas la tête. Je reviens forte, c'est un nouveau départ pour moi.

Maintenant, je me connais.
Et je l'es connais également.

La voiture se gare au milieu de l'allée, quelques regards viennent sur nous.

- On y est, enfin. Lance Ayden avec un sourire en coin.

Celui ci ne perd pas de temps et sort de la voiture, je le suis donc.

- Et donc maintenant quoi ? Tu vas rester avec moi ? Lui demandais je.

Ayden n'a que faire de m'écouter, son regard se balade sur la foule. Comme le mien.

- Il n'est pas là. Dis je.

Etant donné que moi aussi je cherche du regard des personnes que je connais..
Et puis s'il était là, j'aurais directement senti la présence de Riven dans cet amas d'étudiants.
Ayden porte alors son regard sur le mien, et je sens bien que j'ai touché une corde sensible de son côté. Car c'est également une corde sensible du mien.

- Un conseil, et c'est le premier et dernier que je te donne. Dit il en s'avançant vers moi.

Son ombre vient m'écraser de mon être tout entier. Il me force à relever ma tête de façon à croiser son regard. Sauf que je ne faibli pas.

- Ne me gêne pas. Ne t'occupe pas de moi. Ou.. je t'assure que je peux être ton pire cauchemar. Son regard glacial me foudroie.

J'inspire et relâche ma respiration qui commençait à s'accélérer. Je ne prend pas à la légère ses menaces, mais je lui montre qu'il ne m'impressionne pas.

- Je voulais juste savoir si j'allais avoir un chien sur le dos. Lui répondis je en ne pouvant pas contrôler ma pique.

Sa poigne vient m'encercler le bras. Il serre de plus en plus son emprise, en me foudroyant de ses iris.

Je vois bien qu'il serre ses dents, se retenant de me renvoyer la pareille. Sauf qu'heureusement pour moi, il y a beaucoup trop de spectateur.

- Ne crois pas inverser les rôles. C'est toi qui est a ma botte. Dit il en plantant d'un coup une seringue dans mon bras qu'il tenait.

Je sens d'un coup une gêne et m'en mord les lèvres pour ne pas lâcher un crie d'un coup.

Bordel, je sens quelque chose d'électrique se propager dans ton mon corps. Heureusement ce frisson ne dure que quelques instant.

- une des dernières technologies du conseil, je t'ai injecté une puce que je peux contrôler à distance, au cas où tu déciderais de peter les câbles. Et ne me demande pas ce que ça fait si jamais... j'appuyais sur le bouton.. T'inquiète tu verras par toi même.