UN CHAPITRE POSTÉ AVANT !!!
Contente de publier ce deuxième chapitre qui est .... Distribution d'air ! 💨
Une musique s'affiche en gras à un moment :
I feel like I'm Drowning de Two feet ! Pensez à la mettre quand elle s'affiche, deux fois plus de plaisir :) 🤐— On dirait bien qu'il ne reste plus que nous.
Il regarde derrière moi Julian, mais se rend rapidement compte qu'ils sont dans leur bulle et ne nous voient plus.
— On dirait bien, abdique-t-il, que proposez-vous bébé Gabrielle ?
L'envie de lui faire disparaître ce surnom déjà.
— N'as-tu jamais aimé ?
Il manque de s'étouffer avec la gorgée de cognac qu'il prenait.
— Hm, non jamais, et toi sole mio ? As-tu trouvé quelqu'un d'assez fou pour ça ?
Je suis assez proche pour que le côté de nos genoux se touchent, nous sommes tous les deux adossés au dossier, noyés dans les yeux de l'autre,
— Tu penses qu'il faut être fou pour m'aimer ?
— Je n'ai pas dit ça.
— Alors exprime ta pensée.
— Il y a beaucoup de risque, si un homme tombe amoureux de toi, il ne pourrait t'avoir qu'un temps très limité.
Comme du barbelé autour de mon cœur, la vérité m'irrite et me fait mal, mais je continue notre petit jeu en m'approchant plus proche de lui encore, jusqu'à ce que son souffle, imprégné de nectar ambré, se mélange au mien.
— Et tu penses que ce temps très limité avec moi ne vaut pas le coup ?
Quelque chose passe dans son regard, une lueur joueuse et espiègle qui a envie de voir jusqu'où je suis prête à aller.
— Tu ne cuisines pas très bien, tu portes des pyjamas sur lesquels il y a de quoi discuter, tu es miss catastrophe, et..
— Mais tu ne connais pas mes talents dans la chambre, murmurais-je en le coupant d'un air effronté.
Il fronce les sourcils, surpris sans doute, j'ai piqué sa curiosité, mais ses yeux passent sur mes lèvres.
— Et que feriez-vous pour satisfaire un homme bébé Gabrielle ?Son soudain vouvoiement me montre que j'ai réussi à le perturber, j'entends vaguement Julian et Lara se lever derrière moi pour partir Dieu sais où, et les premières notes de I feel like I'm Drowning de Two feet 🦋commence. J'inspire à la fois pour me donner la confiance nécessaire pour ressembler à une séductrice, mais aussi pour m'imprégner de l'odeur dévorante de Tonío.
— D'abord, je le laisserai allonger confortablement sur un lit.
— Facile, ricane-t-il.
— Ensuite, je le laisserai me regarder pendant que j'enlève mon débardeur, un de mes débardeurs blancs que vous trouvez ridicule, dans lequel mes seins seraient bien trop à l'étroit, ils auraient tellement besoin d'être touchés, mais c'est quelque chose qui n'arrivera qu'après.
— Qu'après quoi ? Dit-il d'une voix plus rauque, plus pâteuse.
Sa réaction me donne assez confiance pour continuer un de mes fantasmes que j'imagine. Avec lui. Toujours avec lui. Mais il l'ignore. Et l'ignorera toujours.— Une fois, mon t-shirt jeté au sol, mes seins douloureux seront lourds pour mes épaules nues, mais je resterais droite, laissant cet homme me dévorer du regard, puis, lentement, très lentement, je descendrai un de mes shorts, celui avec les petits donuts dessus. Il glissera sur mes jambes jusqu'à ce que je doive faire un pas sur le côté pour être totalement nue devant cet homme. Il me regardera, aura envie de m'embrasser,
Je m'approche encore plus que je ne le puisse, mon souffle imbibé de liquide au fruit de la passion lui effleurant sans doute les lèvres.
— De me goûter,
Mes joues prennent une teinte rose et son expression semble troublée, comme s'il visualisait complètement la scène, alors je continue.
— Mais je lui interdirais de me toucher, pas encore, et il ne pourra pas se toucher non plus.
— Tu es cruelle.
Je hausse les épaules,
— Doucement, je baladerai mes mains sur ma nuque, puis je descendrai empoigner un de mes seins pendant que l'autre caresse la peau laiteuse de mon ventre. Son regard m'enflammera, il aura envie de me toucher, mais il ne pourra pas, je remarquerai la bosse dans son pantalon qui se fait chaque seconde plus grosse en me léchant les lèvres, avec cette envie de le voir et de le toucher m'embrasant,
J'accompagne mes paroles en passant ma langue sur ma lèvre inférieure avec lenteur et il suit mon geste, un désir marquant sur le visage.
— Que ferais-tu ensuite, sole mio?
— Ma main continuera à descendre le long de mon corps, me donnant des frissons et des bouffées de chaleur dans tout le corps, et doucement, très doucement, j'arriverais plus bas. Je me caresserai en voyant sa frustration de ne pas pouvoir me toucher, mon doigt se ferait une place entre mes lèvres interdites et je ...l'enfoncerais en moi.
Mon cerveau a clairement fondu, car je fais clairement n'importe quoi à cet instant, mais cet homme me rend folle, son corps dégage une chaleur soudaine qui me donne envie de perdre la tête. Ma main a attrapé le tissu du plaid qui recouvre mes jambes et je le serre pour évacuer cette tension. J'essaie de me montrer séductrice et voilà que c'est moi qui suis excitais.
Il prend une inspiration et passe sa langue sur ses lèvres à son tour,
— Comme il fera face à ça ? Il ne bougera pas ?
— Non, je pince mes lèvres, il ne le fera pas. Il aura une envie désespérée de sentir sa queue au fond de moi, mais il attendra que ce soit moi, brûlante et humide qui le suppliera de craquer.
Ses paroles font réduire ses dernières barrières et je sursaute quand je sens une main m'effleurer la cuisse sous le plaid. Il la retire immédiatement, mettant ses mains de chaque côté de son corps et je fais un truc débile, je passe mes jambes sur ses genoux, ayant une envie totale qu'il me touche.
— Tu sais ce que je ferais ensuite ? Demandais-je car je le sens sur le point de partir, car il réalise que c'est une énorme bêtise.
Mon cœur accélère et mon palpitant vibre dans ma poitrine quand je me rends compte qu'un de mes mollets est collé à quelque chose de dur et raide. Je l'excite carrément et son jogging ne peut pas le masquer.
Il fait non de la tête, et par réflexe, il pose ses mains sur mes jambes et les rapproche dans un geste furtif contre lui, comme un accout, comme s'il ne tenait plus. Il me relâche tout aussi vite, et quelque chose grésille entre nous.
— J'ajouterai un deuxième doigt et je.. Je ferme les yeux car c'est trop. Trop pour moi. Je retiens un gémissement, mais ses doigts chauds se posent sur mes jambes à nouveau, cette fois, il n'hésite pas, il colle sa masculinité à ma jambe et appuie assez pour me montrer que je n'ai pas rêvé.
— Après, je ferai des va-et-vient en imaginant qu'il est en moi. Blotti si loin dans ma chaleur que j'en verrai des étoiles.
— Putain, gronde-t-il et des mordillements sur mon cou me font ouvrir les yeux.
Ses dents passent au crible la peau fine, mais jamais ses lèvres se joignent à la danse, comme s'il refusait d'admettre qu'il se passe quelque chose. Sa part raisonnable affronte celle qui me désire, celle de l'homme, de l'animal, tapi depuis plusieurs semaines dans l'ombre. Pour moi, c'est des jours et des jours de frustration, je désire cet homme depuis le baiser qu'il m'a offert à Doux baiser, peut-être même depuis que je l'ai aperçue dans cet ascenseur. Il m'a tout de suite intriguée, absorbée.
Je veux qu'il cède, qu'il m'embrasse, que cette frustration s'arrête. Je veux le sentir, voir qu'il me désire, qu'il assume, qu'il me veut.
Une de ses mains s'est déplacée sur ma cuisse, et remonte doucement vers ma fesse, il la frôle du bout des doigts et je me cambre parce que je ne veux pas de douceur. Je ne veux pas son hésitation. Je veux qu'il me prenne. J'en ai oublié complètement mon tampon qui semble soudain bien trop petit par rapport à ce que je souhaite vraiment.
— Touche-moi.
Il recule et hausse un sourcil.
— S'il te plaît, craquais-je.
Il se fige, sa main sur mes jambes se lèvent, l'autre qui dessinait mes cuisses la suit et il devient soudainement froid, il soulève mes jambes et les remets face à moi. Je le regarde s'éloigner, le souffle court et mes membres dans un état de nerfs épouvantable.
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Le Motesine
RomantizmTonío Motesine n'a qu'une mission : surveiller Gabrielle De Luca, la fille du parrain de la Cosa Nostra. La rouquine New-Yorkaise vit dans l'anonymat depuis trois ans, pensant que tout le monde ignore où elle se trouve. Alors, quand on la menace e...