Irène1 Semaine plus tard
Cela fait 1 semaine que je fais des aller-retour, de ma chambre a la cuisine, de la bibliothèque, au salon puis au jardin, le fait que tout mes camarades étudie et prépare leurs examen de fin d'année, et que moi j'ai dus tout lâcher a la dernière minute, j'étais a 2 doigts de le faire putain, mon rêve était d'obtenir ma licence en finance-économie, j'ai toujours était passionné par les chiffres, les calculs, les mathématique, la majorité trouve sa trop complexe, ou inutile dans la vie, mais moi au contraire je trouve cela comme un jeux, une sorte d'énigme a résoudre, c'est casse-tête certes mais c'est ce qui fait tout le charme de cette matière, la raison elle fait passer une morale, qui est que malgré que le problème ou l'exercice est complexe, voir insoutenable a la fin il y a toujours une solution, il y a des règles des consignes, si l'on suit a la perfection chaque étapes, on finit toujours par le résoudre, c'est pareil dans la vie il se peut qu'on arrive a un stade ou tout nous parait impossible, ou l'on commence a baisser les bras, mais a cette instant ou on a l'impression que tout s'écroule, une solution s'ouvre a nous et tous nos problèmes s'évapore tel qu'ils n'ont jamais exister.
Pour ma part ce n'est toujours pas le cas je pense que je suis une règle a l'exception, depuis ma naissance je n'ai jamais connu la vrai sérénité, paix, fin je penser l'avoir près de moi a un certain moment mais il fut éphémère.
J'étais allonger sur mon lit en étoile de mer entrain de fixer le plafond pour là je ne sais combien fois depuis que je suis privé d'aller n'importe où, jusqu'à ce que j'entende quelqu'un toquer dans ma chambre, je me redresse et crie légèrement.
- Oui, entrer !
La poigner de ma porte se baissa doucement, et je vis l'allure d'un homme, grand de taille imposant comme tous les hommes qui rode dans la grande baptise, il me fixa d'un regard neutre, et me leva de mon lit pour le questionner sa présence dans ma chambre.
- Oui, que faites-vous la ? demande-ai-je d'un ton calme mais je stress à l'intérieur.
- Mademoiselle, Blinkers je viens ici pour vous prévenir que la date de votre mariage a était rallonger, il sera d'ici 3 jours, donc sanger à préparer vos valises, prenez le strict nécessaire arriver sur place, un rapprovisionnement d'habits sera effectué, le vol est programmé pour demain 9h, je vous laisse faire.
Je ne sais plus où donner de la tête, entre mes picotements au cœur, mes douleurs au ventre, ma migraine, et ma respiration saccadé, il y a trop d'informations à digérer, et mes infimes questions, pourquoi ? comment ? ou va ton ? que va-t-il se passer une fois arriver, ou vais-je ? il veut dire quoi par strict minimum ? a force de penser a tout cela un coup de vertige me vint, je déambule et l'homme en face de moi qui n'a pas bouger depuis tout ce temps, le remarqua et se précipita vers moi, et m'attrapa par la taille, pour me tenir debout, il m'accompagne au chevet de mon lit, et m'aida a m'assoir, ce geste doux, me surprena, malgré tout, aucun homme ici de m'offre un regard les seuls sont des regards froid, vide, ferme.
- J-je vous remercie pour votre aide, mais juste ou va ton ? dis-je d'une voix faible.
- Je suis navré mademoiselle, je ne peux vous partager la destination votre oncle souhaite la garder secrète, jusqu'à arriver sur place. Dit-il d'une voix étonnamment douce.
Son ton est si apaisant le fait qu'il me parle de cette façon, calme doucement ma crise débutante.
- Je crois que cela ne servira à rien si je persiste ? je le questionne avec un maigre sourire.
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Milza
General FictionMes cauchemars me hantes, ses voix me tourmentes, pourquoi ai-je mériter ce sort? , ma vie, mon enfance, mes parents, mes amies, mon ex-petit ami ont détruit le peu d'espoirs qu'il me rester, le peu d'espérance qui me permettais de tenir le coup da...