he know

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Irène

Il est là debout face à mon corps frêle écraser contre le sol humide et froid, me logeant de son corps gigantesque, je n'ai pas peur j'appréhende ce qui va se passer à l'avenir en compagnie de cette animal enfermé avec sa proie dans une cage sans aucune issue, ses yeux quittent les miens pour aller prendre une chaîne en m'étale déposée sur une petite table bois écorchée disposée au coin de la petite pièce, j'ai dus mal a réaliser ce qu'il m'arrive vais-je encore subir la même chose d'il y a huit ans ?

Les images de la fois où mon géniteur m'a attachée dans la c-cave pour me battre de haine et de dégoût en raison de mon existence.

Le même sourire qu'au début méprisant est scotché sur sa face, mais il se transforme peu à peu en un sourire d'amusement, en effet il prend plaisir à me faire vivre cette atrocité.

- Lève-toi. M'ordonne t-il d'un ton sévère.

Je reste figée sur le sol, non pas parce que je le veux mais parce que je ne peux pas me redresser mes jambes congelés dû au froid de la pièce me l'on empêche, et oui je sais que je vais le payer pour cette désobéissance, mais je n'y peux rien.

- Il faut te le dire par la force pour que tu comprennes alors. Dit-il d'un ton sec.

Il détient les chaînes qu'il a prises plus tôt entre ses mains gantées.

Je n'arrive pas a parler, rien ne veut sortir de ma bouche, mes membres ne bougent pas et il n'y a rien qui puisse m'aider maintenant.

Sans que je ne m'y attende il enroule ses doigts autour de mon corps me soulevant d'un violence, il me plaque contre le mur mes pieds ne touchant pas le sol, je suis au bord de perdre connaissance, ma tête se met bourdonner et a sifflé, je ne fais aucun effort pour me débattre, c'est enfin arriver je vais enfin allée de ce bas monde pour aller rejoindre ma mère d'entre les cieux.

Je me sens partir peu à peu jusqu'à ce qu'il brise mon rêve et me lâche subitement, je m'écrase à nouveau contre mon meilleur endroit jusqu'à présent au sol, je tousse de toutes mes forces donnant petit à petit de l'air qui manque à mes poumons.

Ma brûlure à mon avant bras me tire me rappelant sa présence.

Pourquoi ne pas m'avoir laissé mourir ?

- ça serait trop facile sinon. Me dit-il sans contexte.

Je ne fais pas attention à ce qu'il dit, il lui faut un psychiatre ce gros fils de con.

- De mourir voyant ça serait trop facile de te laisser mourir aussi facilement si c'est ça t'as question.

Mais comment sait il ? Comment a t'il pus deviné que mon souhait est de mourir avant tout, non, cela veut dire qu'il en jouera de ça et me fera toujours croire qu'il est sur le bout de me tuer mais alors qu'il s'arrêtera à la limite, fils de pute va, si c'est comme ça c'est moi qui te tuerai alors ?

Je rassemble la faible force qui me reste dû à la colère qui m'encourage je lève ma tête jusqu'à mon tordre le cou de douleur s'il le faut et lui crache en pleine figure.

- Va te faire enculer sale vaut rien. D'un ton aussi sec que lui.

Sa veine sur le front apparaît comme un tour de magie ni une ni deux il m'attrape le bras avec la brûlure, je serres des dents mais n'émets aucun bruit et me met au milieu de la pièce en ayant tout ces gestes brusques l'enveloppe que j'ai caché avant de rentrer à l'intérieur de ma doudoune tombe et fait résonner un bruit qu'il ne loupe pas, il tourne sa tête en direction de la provenance du bruit, ses yeux pivotent vers l'enveloppe noir au sol a coter de moi j'essaye de la cacher avec mon pied mais elle est trop grande et il l'a déjà vue.

MilzaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant