Irène
Alors que la pénombre de la nuit ne fait que s'assombrir au fil du temps, nous pénétrons à ce qui me semble être un parc, le taxi s'arrête et me communique que l'on est arrivés un haut de cœur me prend et mes poils s'hérissent la peur de l'inconnu me prend, et si cela n'était qu'un piège depuis le début ? Suis-je en train de me jeter dans la gueule du loup ?
J'inspire un bon coup et sort hors du véhicule, je paye et remercie le taxi, me voila seule face à l'entrée de ce gigantesque parc qui me semble est déserté, pas moins d'un bruit d'oiseau, je porte mes mains aux poches de ma doudoune puis prend mon courage et entre enfin dans le parc, je marche aussi vite qu'il le faut alors que je m'attendais à trouver directement la personne concernée je vois qu'il n'y a personne, et si tout cela était faux ?
Je continue ma balade tout en étant désorienter remettant ma venue ici en doute, je me suis à présent bien engouffrer dans le parc, je jette des coups d'œil un peu partout mais ne tarde pas à intercepter une chose qui ne fait pas partie du parc, du moins un humain, je plisse mes yeux pou mieux voir à vrai dire les lampadaire sont de mauvaise qualité on aurait dit, elles n'éclairent strictement rien, je m'avance vers cette personne vêtue en noir de la tête au pied pour vu que c'est lui, pas après l'autre je me retrouve à un mètre de lui, en sentant ma présence il relève la tête et ses yeux noisette me lorgne, un sourire vient étirer les commissures de ses lèvres tout en gardant ses yeux fixant les miens il se lève puis vient me tendre sa main pour le la lui serré.
Il pivote son regard vers sa main et mes yeux comprennent que je ne la lui serrerai pas.
- Oh oui, je m'excuse je ne me suis pas présenté, je suis Giovanni, tu dois être Irène c'est ça ? Me dit-il en rangeant sa main dans sa poche.
J'acquiesce en hochant la tête.
- Tu as perdu ta langue ou quoi ? Me dit-il tout en riant afin de ne pas semer le malaise.
Je daigne enfin prendre la parole.
- Qui êtes-vous ? Et pourquoi me harceler vous ? N'avez vous pas honte de faire sortir de force une femme défense en une heure si tardive ? Dis-je en haussant légèrement le ton en une pointe d'amertume.
Je suis fatiguée je n'en peux plus d'avoir à supporter cette peur et ce stress tous les jours, mais en plus de cela que des personnes dont je ne connais nullement l'existence surgir de je ne sais ou.
Je vois que son visage se braque perdant tous ses traits tendres, mais cela ne me fait pas peur je connais un qui me fait bien peur rien qu'à l'entente de son prénom.
- Je ne suis pas là pour perdre du temps non plus, cela ne m'enchante pas mais j'y suis obligée mon boss m'y contraint, nous tarderons pas, veuillez vous asseoir. Me dit-il en m'indiquant de sa main la place à côté de la sienne.
Je m'assieds donc sur le banc geler, il fait pareil juste après moi il sort de sa jacket en cuir une enveloppe de la même couleur, noir, je fronce les sourcils a la vu de l'enveloppe.
- Il s'agit d'une chose très importante Irène. Il est temps que tu saches la vérité qu'il te cache. Me dit-il sans penser aux conséquences de ce qu'il va causer.
J'avale difficilement ma salive et ma respiration devient lourde, que s'apprête t'il à me dire ?
-Ton mari Severino.
VOUS LISEZ
Milza
General FictionMes cauchemars me hantes, ses voix me tourmentes, pourquoi ai-je mériter ce sort? , ma vie, mon enfance, mes parents, mes amies, mon ex-petit ami ont détruit le peu d'espoirs qu'il me rester, le peu d'espérance qui me permettais de tenir le coup da...