Cold storage

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                                              Irène
Tw: violence, maltraitance, mot grossiers





J'ai froid, mes mains brule de froid, ma tête bourdonne, je ne sens plus mes jambes, aucun membre, je suis paralysé, par le froid mais ainsi par la peur, j'ai peur, je crains, je stress, j'angoisse, je sais ce qu'il va se passer, tout cela a cause d'une cuillère, j'ai eu le malheur de faire tomber ma cuillère pendant le repas de famille, mon père nous avez averti dès le départ qu'il veut que tout ce passe comme lui l'a décrit, c'est-à-dire aucun bruits, rien juste le silence, il fallait passer le repas dans le plus calme qu'il soit, mais bien évidemment conne et maladroite que je suis je fais tomber la cuillère et un bruit aiguë a casser toute l'ambiance que mon père a voulu tenir jusqu'à la.

Dès l'instant où j'ai réaliser ce qu'il c'est passer, je ne pus m'empêcher de pleurer, je lâche un regard de rescousse a Mon frère, je vois qu'il sert des poing, et a le visage crisper par les nerfs, il sait, je sais, sans que je ne puisse l'apercevoir une poigné viens tiré violemment ma longue chevelure brune, et un cri strident m'échappa, je me prends une énorme gifle, pour me faire taire, mais cela empire mon cas car je pleur deux fois plus, et sanglotes, ainsi que des crie m'échappe je le supplie :

-         PAPA ! NON JE SUIS DESOLE JE N'AI PAS FAIS EXPRES JE TE LE PROMETS PARDONNE MOI JE FERAI ATTENTION !!! Cri-ai-je de toute mes forces.

-         Rien qu'à devoir supporter ta présence depuis le début du repas sa m'agacer alors voilà tu as trouvé le moyen que tu paye sans avoir eu recours à grand renfort me cracha-t-il sans une once de compassion.

Il renforce sa prise et j'étouffe un cri par peur de recevoir une autre gifle, il me fait trainer, il ne se soucie pas de me blesser ou non sa a toujours était le cas donc je me prends toutes sortes d'objets, un coin de table, les pots de fleurs, les mures, les marches d'escaliers tout.

Arrivé à l'endroit qui me terrorise la chambre froide, il me geste tel une vieille serpillière, mon crane se cogne violement au mur et le seul bruit dont je me souviens était lorsqu'il fermait la porte à clé.

J'entends des pas derrière la porte, il est là, c'est bon le moment que je déteste le plus est arrivé, je me retiens de pleurer, des frissons s'empare de moi, je me retiens, je suis habitué certes mais je n'arrive pas, c'est trop douloureux, trop dur, trop sauvage.

Click

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La serrure est déverrouillée, la poigner s'abaisse tout doucement, il sait ce qu'il fait, il prend plaisir à me faire peur, cela est devenu jouissif chez lui, c'est un psychopathe, comment peut il trouver sa amusant de torturer et traumatiser un humain ? il faut que je cesse de me poser des questions connes, comme être étonné rien ne tourne rond dans sa tête.

Je le vois dépasser l'encadrement de la porte un sourire de névrosé étire ses lèvres, un haut de cœur me prends, il avance, assez pour être a ma hauteur lorsqu'il est assez proche il sort :

-         Alors ? pas trop froid ? ne t'inquiète pas c'est fait exprès plus t'auras froid plus les coups procurer seront douloureux.

Je ne réponds rien car la peur m'en empêche pourquoi diable faut-il que je passe mon temps à souffrir si ce n'est pas mentalement c'est physiquement, et vice-versa, mon cœur, j'ai mal.

Il se leva et part en direction d'une table, je le vois récupérer du scotch, et un non pas sa déjà ? il commence déjà par le niveau supérieur il n'a jamais fait sa auparavant, il s'avance vers moi, et je ne sais d'où je rassemble le peu de force malgré le fait que je ne sens aucun de mes membres, je recule le plus loin possible je ne veux pas non, des larmes roules le long de mes joues, je sens un gout de fer et vite j'en déduis qu'avec le choc de tout a l'heure j'ai dus m'ouvrir le crâne, mes larmes et le sang c'est donc mélanger.

MilzaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant