L'Embrasement. (Finnick x oc) [Tome 2]

Chapitre 9 : Mais pour ça il me faut mon couteau.

ça fait trois jours que Finnick est partit, et ça fait trois jours que je n'ai pas vu Emily et ça m'inquiète beaucoup. Annie vient me voir touts les matins pour vérifier que je mange bien et me tiens un peu compagnie. Je regardais encore la télé et c'était encore une émission sur les amants maudits du district 12. ça en deviens laçant à force. Je tourne ma tête vers le calendrier, il reste quatre jours avant le retour de Finn. Qu'est ce que je vais faire en attendant ? Je vais pas rester devant la télé. J'éteins cette dernière, me relève et me dirige vers l'entrée. Je ne pense même pas à prendre mes chaussures ni une veste.

La neige recouvrait encore le sol d'un épais manteau. Je ne sais pas où je vais, je suis la direction décider par mes jambes. Après bien trente minute de marche je m'arrête enfin. Je me trouve sur notre plage. Je me laisse tomber sur le sable qui se mélange avec la neige et j'observe l'océan. ça doit bien faire cinq ans que je n'ai pas nager. J'avais réessayer après les jeux. Mais à chaque fois, je ressentais la même chose que dans l'arène. L'envie de ne pas m'en sortir. Alors pas lâcheté je ne suis plus allé me baigner, j'occupais mes journées plage par de l'observation et la contemplation du monde. Pour essayer de me rappeler ce que j'étais prête à ne plus voir. D'y retrouver la beauté du monde et ne plus voir que les mauvais côtés.

La neige m'entourait et m'empêcher d'être libre, à l'image du président Snow. Me dire qu'a cette heure si, Finnick et sûrement avec lui me donne envie de vomir. Cet oppresseur me donne l'envie de l'assassiner. De libérer Finn de ses chaines, de me libérer de mes cauchemar. De venger Katy, Iâhmen et touts les autres. Ne pas venger que les morts bien sûr, les vivants aussi. Que notre vie nous appartiennent enfin ! Mais pour ça, il faut se débarrasser de cet enfoiré de Snow.

Les flocons commencent à recouvrir mes cheveux et je sens que mon petit gilet ne me suffit plus. Mais je me sens vivante et c'est tout ce qui compte. Car tant que je suis vivante, j'ai une chance de tous nous venger.

 Mais pour ça il me faut mon couteau.

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Merci d'avoir lu !

ça m'a fait bizarre de pas écrire de dialogue.

J'espère que ça vous a plu.